[Canard lecture] Vous lisez quoi, episode four : Le Guin über alles

[Rao]

J'ai terminé Brume de Stephen King, j'en avais gardé un bon souvenir et j'ai apprécié la relecture.

J'ai enchainé sur la suite de la série des Serge Storms, The Stingray shuffle
https://www.goodreads.com/book/show/...ingray_Shuffle
J'avais plutôt aimé les premiers.

D'ailleurs vous me conseillez quoi dans le genre contemporain un peu barré genre Serge Storms, les livres de Palahniuk, de Christopher Moore ou de Jerry Stahl ?

[fycjibe]

Serge

Je ne peux m'empêcher d'imaginer comment il réagirait en ce moment entre la covid et Trump et qanon. Du pain béni pour Serge tout ça.

[pseudoridicule]

J'ai commencé Killing Floor de Lee Child, le premier roman mettant en scène Jack Reacher. Oui, de la paresse intellectuelle totale. C'est pas excellent, mais ça se lit comme on lit l'arrière d'une boite de céréale au petit déjeuner. Donc passe-temps correct.
Par contre, je me rend compte que Tom Cruise était peut-etre le pire choix possible pour une adaptation ciné. :/

[Rao]

Serge

Je ne peux m'empêcher d'imaginer comment il réagirait en ce moment entre la covid et Trump et qanon. Du pain béni pour Serge tout ça.

En effet les possibilités sont, disons, intéressantes

[Jeckhyl]

J'ai commencé Killing Floor de Lee Child, le premier roman mettant en scène Jack Reacher. Oui, de la paresse intellectuelle totale. C'est pas excellent, mais ça se lit comme on lit l'arrière d'une boite de céréale au petit déjeuner. Donc passe-temps correct.
Par contre, je me rend compte que Tom Cruise était peut-etre le pire choix possible pour une adaptation ciné. :/

La série se bonifie vraiment progressivement. Les premiers tomes sont les moins bons - avec des méchants très méchants et des traîtres très traîtres. Le pire de la série est même assez tôt - je ne me souviens plus du numéro exact. il y a dedans des meurtres en série mis en scène (des corps nu dans des baignoires remplies de peinture), la narration est impeccable, les motivations du tueur pareil, mais son mode opératoire a failli me laisser lâcher la série. Mais j'ai continué et chacun des romans est meilleur que le précédent. Cependant il est conseillé de faire des breaks .

Ce pourquoi je me suis mis dans le roman historique saxon-vikings, dont j'ai parlé plus haut.

[pseudoridicule]

La série se bonifie vraiment progressivement. Les premiers tomes sont les moins bons - avec des méchants très méchants et des traîtres très traîtres. Le pire de la série est même assez tôt - je ne me souviens plus du numéro exact. il y a dedans des meurtres en série mis en scène (des corps nu dans des baignoires remplies de peinture), la narration est impeccable, les motivations du tueur pareil, mais son mode opératoire a failli me laisser lâcher la série. Mais j'ai continué et chacun des romans est meilleur que le précédent. Cependant il est conseillé de faire des breaks .

Ce pourquoi je me suis mis dans le roman historique saxon-vikings, dont j'ai parlé plus haut.

Merci pour cette info. Les livres étant en promo dans mon supermarché, je compte bien continuer la série. Car si ça ne vole pas trop haut, Reacher est un bon personnage.
Je suis en manque de Rex Stout, donc les breaks seront obligatoires quoiqu'il arrive.

[Tremex]

Elles ne se rendent pas compte de Vernon Sullivan, traduit par Boris Vian (c'est écrit comme cela).

Un petit air de Certains l'aiment chaud, car le "héros" et son frère vont se déguiser en filles plus de la moitié du roman, suite à une méchante embrouille avec un gang. Mais là où les protagonistes de Billy Wilder cherchent juste à sauver leurs miches (vraies ou fausses), ici nos "héros", donc, vont aller mettre leurs grands pieds dans le plat en contre-attaquant ! Et en manquant tout flanquer par terre, heureusement Papa a le bras long...
C'est plein de lesbiennes à "déniaiser", pratique quand on a le bon déguisement. Heureusement que le roman ne sort pas de nos jours sinon j'entends d'ici les hurlements sur les réseaux sociaux. Ça n'a pas dû être triste à l'époque.
Au demeurant parodie de livre policier fort sympathique mais bien un cran en-dessous de "Et l'on tuera tous les affreux" déjà décrit par ici. Il n'en resta pas moins que Vian avait du talent !

[coklicot]

La série se bonifie vraiment progressivement. Les premiers tomes sont les moins bons - avec des méchants très méchants et des traîtres très traîtres. Le pire de la série est même assez tôt - je ne me souviens plus du numéro exact. il y a dedans des meurtres en série mis en scène (des corps nu dans des baignoires remplies de peinture), la narration est impeccable, les motivations du tueur pareil, mais son mode opératoire a failli me laisser lâcher la série. Mais j'ai continué et chacun des romans est meilleur que le précédent. Cependant il est conseillé de faire des breaks .

Ce pourquoi je me suis mis dans le roman historique saxon-vikings, dont j'ai parlé plus haut.

J'ai commencé pendant le confinement sur les conseils du topic (3tomes), une idée du tome maudit pour reprendre la série (une fois que j'aurai fini le t6 de the expanse !)

[n3fox]

Je suis en train de terminer Le Signal de Chattam. Je suis carrement fan des tous ses romans mais celui là... Bof bof. Du King pour le début, mise en scène et déroulement de l'histoire pas mal, et une fin que je n'ai pas encore fini sauce ado Stranger Things indigne de Chattam. Bref un peu déçu. Je m'attendais à mieux.

[Vhipata]

Elles ne se rendent pas compte de Vernon Sullivan, traduit par Boris Vian (c'est écrit comme cela).

Un petit air de Certains l'aiment chaud, car le "héros" et son frère vont se déguiser en filles plus de la moitié du roman, suite à une méchante embrouille avec un gang. Mais là où les protagonistes de Billy Wilder cherchent juste à sauver leurs miches (vraies ou fausses), ici nos "héros", donc, vont aller mettre leurs grands pieds dans le plat en contre-attaquant ! Et en manquant tout flanquer par terre, heureusement Papa a le bras long...
C'est plein de lesbiennes à "déniaiser", pratique quand on a le bon déguisement. Heureusement que le roman ne sort pas de nos jours sinon j'entends d'ici les hurlements sur les réseaux sociaux. Ça n'a pas dû être triste à l'époque.
Au demeurant parodie de livre policier fort sympathique mais bien un cran en-dessous de "Et l'on tuera tous les affreux" déjà décrit par ici. Il n'en resta pas moins que Vian avait du talent !

L'émission "Une histoire particulière" sur France Culture vient de faire une émission en deux parties sur Boris Vian / Vernon Sullivan et sur la malédiction "J'irais cracher sur vos tombes". A écouter ici si ça vous dit : https://www.franceculture.fr/emissio...sur-vos-tombes

[fycjibe]

Fini La Promesse de l'aube de Romain Gary. Une sacrée claque, voilà un homme qui aimait énormément sa maman.

[jeanba]

Fini La Promesse de l'aube de Romain Gary. Une sacrée claque, voilà un homme qui aimait énormément sa maman.

Par contre, le tennis, c'est pas ça
Un de mes livres préférés.
Ce mélange d'optimisme, de réalisme est une vraie leçon de vie.

[FMP-thE_mAd]

Deux livres finis récemment :



Comme pour le premier volet (Du Côté de Chez Swann), c'est très difficile à lire du fait du style hyper dense de Proust. J'ai mis du temps à le finir, parce qu'au bout de 5 pages on a l'impression d'en avoir lu 300 d'un bouquin "normal". C'est véritablement épuisant, presque physique. mais c'est ce que j'ai aimé aussi.
Ce tome raconte les amours du narrateur à Balbec, une station balnéaire fictive. Et comme d'habitude chez Proust, c'est l'occasion de digresser sur plein de sujets (l'art ; les amours ; les relations sociales dans Balbec et quantité d'autres choses). Il y a de vrais moments drôles, d'autres cyniques, et évidemment la beauté de la langue utilisée est incomparable à tout ce que vous pourrez lire par ailleurs.
Ce qui fait tout l'intérêt de l'eouvre, ce sont les descriptions hyper détaillées de tout. On voit vraiment les personnages devant nous, on les imagine dans leur moindre geste et évidemment, on admire le style.
J'ai beaucoup aimé, même un peu plus que le premier volet.



J'ai bien aimé les deux livres de Gaudé que j'ai déjà lu ("Ouragan" et "Eldorado") mais celui-là m'a a demi-convaincu. L'histoire racontée est assez simpliste (un espion qui doit aller à la rencontre d'un ancien militaire et parallèlement une archéologue qui va essayer de préserver des oeuvres). Les deux histoires ne s'imbriquent presque pas, bon, ok. Mais surtout, c'est extrèmememnt répétitif.
Heureusement c'est entrecoupé de scènes historiques, mettant en relation les défaites avec ce qui s'est produit ensuite dans l'Histoire (d'où le titre). On suit alors la campagne d'Attila, de Grant et d'Hailé Sélassié. Au final ce sont ces histoires qui sont presque plus intéressantes à suivre.
Le problème ensuite c'est le découpage. A mon goût c'est trop. On lit une demi-page sur un personnage, puis ça passe à une page sur un autre avant de passer à une autre demi-page sur un 3eme... J'ai trouvé ça pénible, surtout au début quand on n'a pas encore bien en tête les persos. Mais même après, j'en avais un peu marre que ça saute constamment de l'un à l'autre.
Bref, finalement un peu déçu.

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Pour la suite : je continue Proust et parallèlement je vais essayer de me remettre un peu à la SF quand même.

[leeoneil]

Deux livres finis récemment :

https://www.livredepoche.com/sites/d...103-001-T.jpeg

Comme pour le premier volet (Du Côté de Chez Swann), c'est très difficile à lire du fait du style hyper dense de Proust. J'ai mis du temps à le finir, parce qu'au bout de 5 pages on a l'impression d'en avoir lu 300 d'un bouquin "normal". C'est véritablement épuisant, presque physique. mais c'est ce que j'ai aimé aussi.
Ce tome raconte les amours du narrateur à Balbec, une station balnéaire fictive. Et comme d'habitude chez Proust, c'est l'occasion de digresser sur plein de sujets (l'art ; les amours ; les relations sociales dans Balbec et quantité d'autres choses). Il y a de vrais moments drôles, d'autres cyniques, et évidemment la beauté de la langue utilisée est incomparable à tout ce que vous pourrez lire par ailleurs.
Ce qui fait tout l'intérêt de l'eouvre, ce sont les descriptions hyper détaillées de tout. On voit vraiment les personnages devant nous, on les imagine dans leur moindre geste et évidemment, on admire le style.
J'ai beaucoup aimé, même un peu plus que le premier volet.

Je surkiffe Proust et notamment toute la série de la recherche du temps perdu.
Et effectivement, de temps en temps je les ressors et c'est de la lecture active, impossible de ne pas se concentrer, sous peine de râter des perles de style.
Et cet effort ancre les scènes très profondemment, perso je ne me suis jamais aussi senti envahit par un bouquin, alors que l'on est simplement en train de regarder la mer ou les pavés sous la pluie avec l'auteur...

edit : Et Romain Gary, cité plus haut... La promesse de l'aube... Pour moi ça a été l'un des livre les plus insuportable que j'ai eu à parcourir. Je ne sais pas pourquoi, mais je sentais une suffisance insuportable transpirer à chaque page de ce bouquin, j'ai détesté !

[FMP-thE_mAd]

Et cet effort ancre les scènes très profondemment, perso je ne me suis jamais aussi senti envahit par un bouquin, alors que l'on est simplement en train de regarder la mer ou les pavés sous la pluie avec l'auteur...!

Exactement. Je lisais souvent quelques pages avant de m'endormir, et dès le bouquin posé, j'avais dans la tête les scènes, j'étais à Balbec et je voyais l'hotel, la plage, les filles... Et il a un art pour dire des milliers de choses en si peu de mot que c'est incroyable. Ses phrases sont d'une densité...

[Mordicus]

J'ai lu "Du côté des Guermantes" cet été, et j'ai eu plus de mal que sur les deux premiers tomes. Le narrateur est finalement assez antipathique, c'est une sorte d'hypersensible mais assez peu empathique, pas moins snob et superficiel en fin de compte que tous les autres personnages qu'il croise. Dans les jeunes filles en fleurs, il y avait les descriptions de la nature, des jeunes filles... Là, tu as des soirées mondaines qui n'en finissent pas s'étalant sur des centaines de pages, avec la médiocrité humaine et le néant des individus sans cesse rabâchés. Il n'est pas interdit de s'emmerder un peu lorsque les personnages évoquent les liens familiaux de leur noble famille pendant 20 pages. Il y a des passages qui m'ont plus ou moins intéressés, cela dit, je vais éviter d'évoquer trop précisément pour ne pas "divulgâcher" (bien qu'on peut pas dire que le suspense tienne une place majeure dans le bouquin !).

Quant au style, je dirais que lire Proust c'est un peu comme déchiffrer une langue étrangère ou du vieux Français : il faut que l'esprit s'habitue à cette gymnastique littéraire faite de phrases interminables aux incises multiples, aux digressions infinies, qui dissèquent la réalité au scalpel d'une prose minutieuse. Mais bon, je ne regrette pas ma lecture, comme souvent j'en oublie les longues pages d'ennuis pour garder un souvenir positif des passages plaisants et de l'ambiance générale.

[FMP-thE_mAd]

On le voit déjà dans le 2eme, son côté snob et un peu antipathique (quand il juge les filles au début par exemple, en les pensant d'origine modeste). Et ses stratagèmes un peu pathétique pour les approcher aussi.
A voir donc, je verrais bien ce que ça donne ce 3eme tome. Mais dans le 1er, les passages où il décrit vraiment la bourgeoisie et la "cour" qu'ils se font (autour de Swann par exemple) étaient parmi mes préférés.

[ajcrou]

Je viens de terminer l'Intégrale 1 de la Compagnie Noire (Glen Cook). Malgré une impression assez mitigé du premier volume (La compagnie noire). J'ai finalement beaucoup plus apprécié les deux suivants (Le château noir et La rose blanche). Notamment dans l'évolution des différents protagonistes avec un certain attachement (notamment dans le troisième volume), ainsi que dans l'univers proposé.

Question bête, mais est-ce que les volumes suivants méritent la lecture ou il est préférable de se limiter à ce premier cycle ?

[ducon]

Continue, la descente vaut le coup.

[Harlockin]

Sauf le dernier sortit récemment, c'était un ou deux crans en dessous selon moi.

[madgic]

Moi j'ai bien aimé tous les volumes même si ça met de temps à chaque fois à démarrer.

Et pas oublié la pointe d'argent qui est un peu à part mais qui permet de savoir le destin de certains personnages et qui est très bien aussi (il fait parti de l'intégrale 2)

[ajcrou]

Merci pour les précisions.

Je vais commandé donc l'intégrale 2 sur ma liseuse.

[ducon]

Sauf le dernier sortit récemment, c'était un ou deux crans en dessous selon moi.

Ha, chez l’Atalante ?

[Harlockin]

Non en VO. Remarque c'était y a un moment en a peut être eu un autre depuis.

[ducon]

Ça se passe après la fin en queue de poisson du précédent dernier (arrivés chez les statues) ?

[Harlockin]

"Soldats de pierre" le dernier livre du cycle en fait.

Le dernier paru en 2018 est une sequel/prequel entre les deux premiers cycles, je l'ai pas lu finalement, j'ai dû confondre vu que c'est la même année ou j'ai lu tout les bouquins.

[Tremex]

Les mutants du brouillard, de Arkady et Boris Strougaski.

Les "frères Stalker" ont finalement été assez prolifiques, ce doit le troisième bouquin écrit par eux que je lis.

Net progrès dans la qualité d'écriture par rapport aux précédents "Albin Michel" chroniqués ici. Mais ça fait beaucoup moins SF par contre, probablement plus une satire politique (écrit à Leningrad en 1966-1967, indiqué à la fin du texte). Une obscure ville de province est plongée dans un brouillard et une pluie permanente, depuis que certains habitants semblent atteints d'une "lèpre" et vivent dans un sanatorium local.
On comprend progressivement qu'il s'agit de mutants ? surdoués regroupés pour de possibles applications militaires, mais qui vont prendre leur destin en main pour créer leur monde à eux, qui exclut les humains normaux.
Le tout narré par un écrivain paumé qui hésite entre (re)devenir écrivain officiel du régime ou rester dans une forme d'opposition, le tout à grand coup d'alcool.

C'en est presque poétique, et me donnerait même envie de lire de l'auteur russe plus classique. Ça tombe bien, je viens de récupérer "Crime et châtiment".

Ça reste positif, on n'est pas dans le "Village des damnés". Il y a aussi un pendant américain, où des enfants surdoués finissent par s'isoler derrière une barrière/champ de force et s'ouvrir d'autres univers, à l'aide d'une physique incompréhensible pour le reste de l'humanité. Oublié le titre, par contre.

[Ckao]

Chien du Heaume de Justine Niogret.

Chien est une mercenaire à la recherche de son identité dans un moyen-âge sombre, froid et poisseux. Sa quête l'emmène à la rencontre d'anciennes connaissances de son père, mercenaire lui aussi, qui ne lui a jamais parlé de ses origines.
J'ai préféré ce livre pour son ambiance et sa précision historique et technique que pour son histoire finalement peu palpitante et manquant de rythme. L'auteure est passionnée par la forge, qu'elle pratique, et ça se sent dans les longues descriptions des ateliers et des forgerons au travail. La vie au petit château où se déroule la majorité de l'histoire est également très bien décrite, mais cela se fait au détriment de la "quête principale" qui se résout presque par hasard sur la fin de l'ouvrage.

Le personnage principal n'est pas particulièrement sympathique, sa principale caractéristique étant la grande hache qui ne la quitte jamais venant de son père. C'est une guerrière et en dehors du combat elle ne connait pas grand chose, son enfance s'étant passée sur les routes auprès d'un père violent et froid. Je n'ai pas ressenti d'empathie particulière pour elle, mais de son côté elle ne fait pas beaucoup d'effort pour paraître agréable.

Un livre intéressant quand même, mais plus pour le monde environnant que pour les pérégrinations de Chien.

[Tremex]

Hier, les oiseaux, de Kate Wilhelm.

De la SF "post-apo" comme on en faisait dans les années 70s : l'effondrement total se produit en quelques années : plus d'oiseaux, de biodiversité, les derniers humains sont infertiles, etc. Dans une discrète vallée de Virginie, un groupe tente un pari : cloner les survivants.
Mais comment ces clones "à l'esprit de rucher" vont-ils se comporter dans un monde à l'agonie quand ils n'ont pas plus d'individualité qu'une fourmi, et qu'ils ne peuvent pas supporter le seul humain capable d'autonomie ?
Bouquin assez déprimant, sans pistolasers, robots et autres technologies en folie (sauf le clonage), mais que l'on peut dire positif à la fin, un peu comme "La Terre demeure", prototype de ce style de post-civilisation. Inintéressant à découvrir, tout du moins. J'ai deux autres livres de la même autrice, à voir.

[LaitLucratif]

Je lis pas mal en ce moment et je cherche des recommandations de trucs cools à lire en medfan/fantasy/sword & sorcery, vous auriez des titres ? Même des classiques, en vrai j'en ai peu lu. Moorcock c'est vraiment chouette ?

Pour référence, j'ai ADORÉ le cycle des Princes d'Ambre, mais aussi Conan et globalement le taf de Robert E. Howard. En ce moment je suis en train de lire Clark Ashton Smith et j'adore aussi. Là j'ai acheté deux romans tirés de Donjons & Dragons (un Ravenloft, un Forgotten Realms) pour quedal, je m'attends pas à de la grosse qualité mais eh ça m'intéresse et ça va se lire vite.

Ah et si par hasard vous avez des bouquins :
- Axés particulièrement sur les gobelins, et qui ne soient pas totalement humoristiques
- Qui proposent un dungeon crawling intéressant
ça m'intéresse lourdement !

Merci