Bon courage d'un Français qui est parti faire ses études à l'étranger, et qui n'a sûrement pas l'intention de revenir s'installer en France après.
Pour le coup de la solitude, on ressent tous ça. Forcément dans mon cas c'est un peu atténué, vu que nous sommes une promo de francophones (français, tunisiens, marocains, quelques algériens, et deux-trois "africains du plus au sud"), on peut tisser des liens plus facilement, entre expats, on se lie surtout pour une question de langue.
Et ne te voile pas la face, la séparation avec la famille et les amis (et la copine.
) n'est pas moins douloureuse un an et des brouettes après.