Après avoir détesté l'Assassin Royal quand je l'ai lu jeune adulte, je l'ai relu cet année (beaucoup moins jeune adulte) et j'ai adoré.
Le personnage principal est bien plus héroïque que la plupart des jeunes premiers de la fantasy classique, en celà qu'il va faire le taf' alors qu'il n'a aucun espoir du début à la fin du cycle.
Son côté chouineur qui refuse de se prendre en main et qui se laisse rouler dessus pendant la totalité du récit peut agacer.
(moi ça m'a saoûlé, même si ça reste bon)
- La version 3 est arrivée !
Je ne peux pas encore me prononcer sur l'histoire, étant au début, mais l'ambiance me plait bien, et le style d'écriture aussi (passé simple, mots employés, formulation de phrase etc...)
Jeu(x) du moment : Diablo IV; Overwatch; Far Cry 6.
J'avais bien aimé aussi l'assassin royal que j'ai lu étant plus jeune. J'avais enchainé sur les aventuriers de la mer. Et après j'ai lâché l'univers
Mais j'ai des goûts de chiotte ( j'ai pas aimé le cycle Malazéen et je suis entrain de lâcher The Expanse au tome 4), ne me faites pas confiance
( je crois que j'en ai ma claque des cycles en X volumes )
ZzZzZzZzZz
Pareil que Roupille, j'ai bien aimé le premier cycle de l'assassin puis ai voulu continuer par les aventuriers et j'ai lâché au deuxième bouquin du cycle.
J’ai fini ça :
Le premier est un roman qui commence comme les deux autres de Vernon Sullivan et finit comme un pastiche de L’île du docteur Moreau, version Boris Vian. Ici, l’auteur aborde la notion de canon de beauté, de perfection humaine (en gros, c’est pourri) : les affreux ne sont pas les méchants mais les laids.
Le deuxième est un recueil de nouvelles tranches de vie, dans la veine des romans psychédéliques. Je les préfère à ces romans.
Je commence ça :
une balle, un imp (Newstuff #491, Edge, Duke it out in Doom, John Romero, DoomeD again)
Canard zizique : q 4, c, d, c, g, n , t-s, l, d, s, r, t, d, s, c, jv, c, g, b, p, b, m, c, 8 b, a, a-g, b, BOF, BOJV, c, c, c, c, e, e 80, e b, é, e, f, f, f, h r, i, J, j, m-u, m, m s, n, o, p, p-r, p, r, r r, r, r p, s, s d, t, t
Canard lecture
Pas repris La Forêt Sombre (ma liseuse a planté et a supprimé l'epub..), j'ai démarré La Stratégie Ender, j'en suis à la moitié.
C'est cool, et je me demande où ça nous mène.
La Bibliothèque idéale de l'imaginaire, c'est bon pour les noeils et l'esprit.
Aaah Ender's Game, ma justification pour séparer l'oeuvre de l'artiste...
J'ai lu la trilogie d'origine (Ender's Game / Speaker for the Dead / Xenocide) jeune adulte, et j'ai adoré (le ton change beaucoup entre le premier et les deux suivants, attention). Je les ai relus plus d'une fois, je continue à accrocher (je ne sais pas si ce serait le cas si je les lisais pour la première fois aujourd'hui).
Il a écrit une (ou plusieurs?) suites plus récemment, et il me semble que j'étais moins client.
Ah ben précisément j'avais pas du tout accroché à cette série. Je ne sais plus si j'étais arrivé au bout du premier volume - toujours à la même époque. (C'était le début de ma période ayatollah de la VO, donc Tales of Alvin Maker pour moi).
Je n'avais pas énormément de recul ni de culture lorsque je l'ai lu. Je n'ai toujours pas de culture mais un peu plus de recul, pas sûr que j'apprécie toujours, c'est peut-être la raison pour laquelle je ne l'ai pas repris en main. Je n'ai pas envie que ça me fasse comme Dune (le premier) que j'avais lu assez naïvement mais que j'ai plus de mal à aimer désormais.
Bon, après Une assemblée de chacals, j'ai enchaine sur du plus léger avec Au revoir là haut de Pierre Lemaitre. Un bien joli roman, bien troussé comme on dit, avec des personnages super attachants.
J'avais vu le film il y a quelques temps, et c'est impressionnant à quel point le personnage de Maillard et celui de Pradelle ont trouvé des interprètes (Dupontel et Laurent Lafitte) qui leur collent aussi bien.
Bon, maintenant Satan dans le désert de Boston Teran. Ca a l'air super léger...
Moi aussi j'avais attaqué l'Assassin Royal quand j'avais la vingtaine et j'ai abandonné après le quatrième tome. Le souci n'est pas tant que Fritz chouine en permanence, c'est qu'il chouine en permanence ET fait quasi-systématiquement les pires choix imaginables. Même en suspendant mon incrédulité autant que possible, j'avais vraiment l'impression que même quand il s'en prenait plein la tronche, il s'en sortait malgré tout parce que c'était le héros et qu'il était donc protégé par une épaisse armure de scénarium. Mention spéciale au passage oùSpoiler Alert!
En plus à côté de ça les gentils sont très gentils (même si bourrus) et les méchant sont vraiment, vraiment méchants et complotent non-stop mais personne ne semble jamais le remarquer. De ce côté c'est sans doute Royal qui gagne la coupe.Spoiler Alert!
J'ai abandonné sans doute au moment où j'ai découvert le Trône de Fer et cette claque de "Tu vois Ned Stark, le personnage principal dont tu penses que ça va être le héros droit et intègre que tu vas suivre tout au long de la série? Ben regarde bien ce que j'en fais."
Bref bref, mes lectures de mon côté, en "succinct":
Début 2019, je m'étais mis comme objectif d'enfin lire les livres qu'on m'avait offert à Noël depuis deux-trois ans (dont UN SEUL qui était sur la liste de livres qui m'intéressaient que j'avais envoyée à ma famille pour en finir avec les livres random), plus deux autres achetés durant cette période de lecture. Début 2020, nouvel objectif: j'avais trop de séries de romans entamés à gauche à droite, le but était donc de toutes les terminer en 2020 (à l'exception des Pratchett parce qu'il y en a trop, et de Honor Harrington parce qu'il y en a aussi pas mal et que ça fait si longtemps que je peux quasi tout reprendre depuis le début), en n'entrecalant que des lectures de livres "solo". Objectif atteint le 23 décembre, timing parfait donc. En vrac:
- Origine, le dernier tome de la trilogie des Univers Multiples de Stephen Baxter. Sans doute le moins convainquant des trois, j'y ai retrouvé son habituel souci de construction de pas mal de personnages (même si on finit par s'attacher au vieux Malenfant, version après version), avec en prime un arc scénaristique de plus en plus glauque et qui en plus ne se rattache même pas aux autres, peut-être vaguement du bout des griffes et encore.
- Dracula cha cha cha de Kim Newman, évoqué ici, long et assez initéressant étalage des références vampirico-pop culture de l'auteur.
- Les tomes 2 et 3 de la Terre fracturée de N. K. Jemisin. Vraiment excellents, mais qui demandent une vraie concentration avec un récit très axé sur les sentiments et émotions des différents personnages, bien souvent brisés par leur vie et la violence avec laquelle on les a littéralement "dressés", et qui finissent par reproduire ces mêmes comportements envers la génération suivante. Tout ça avec des pouvoirs d'une puissance incroyable et en pleine apocalypse.
- The Expanse, sauf le dernier tome qui vient de sortir en janvier 2021, sympa et se lit agréablement, avec ici et là de beaux pieds de nez aux "tropes" attendus, des événements littéralement énormes et la toile géopolitique sans cesse mouvante de cet univers.
- Axis et Vortex de Robert Charles Wilson, les suites de Spin: Déçu par le second tome qui n'atteint jamais le niveau et l'incroyable ampleur du premier, le troisième rattrape heureusement l'affaire mais Spin reste indéniablement le tout, tout meilleur des trois, et un des meilleurs (LE meilleur?) livres de Wilson.
- Comte Zéro et Mona Lisa s'éclate de William Gibson, les suites de Neuromancien: Compte Zéro est sympa et dans un sens mieux "construit" que Neuromancien même si nettement moins révolutionnaire une fois le premier tome sorti, par contre Mona Lisa s'éclate est sans grand intérêt.
- 3-4 tomes de la série du Vieil homme et la guerre de John Scalzi, quelques années après avoir lu les deux premiers. Heureusement je crois que c'est fini, parce que plus ça va et moins ça va. Il essaie de développer toute une histoire de grande ampleur dans son univers, sauf que le ton trop souvent léger n'arrive que rarement à me le faire ressentir, et pire, vire carrément "lolesque" dans certaines histoires. J'avais adoré son Deus in machina qui m'avait fait découvrir cet auteur, là je retombe de haut avec ce ton absolument, mais absolument pas semblable. Vous savez si ça vaut la peine de lire autre chose de lui?
- Le tome 3 de Lazare en guerre de Jamie Sawyer, et puis les deux premiers tomes de la guerre sans fin qui lui fait suite, histoire de. Aloooors c'est divertissant, c'est plein d'action, mais encore une fois c'est rempli de méchants très très méchants parce qu'ils sont méchants, et qui en plus ont des agents infiltrés de tellement partout qu'on se demande comment ils arrivent à les recruter vu le niveau de méchanceté au-delà des 9000 des susdits méchants. Ah et évidemment le haut commandement des gentils semble totalement incapable de réagir et la situation n'est sauvée que par le héros à la fin de la première trilogie, dans un final tellement bordélique que je n'ai même pas compris en quoi ça sauve totalement la mise de l'alliance des gentils (mais visiblement ça y arrive). Dans la seconde trilogie (pas lu le troisième tome qui là aussi vient tout juste de sortir) on se rend compte que les méchants très très méchants n'avaient décidément aucune subtilité cachée et sont vraiment, vraiment très très méchants, même s'ils sont moins dangereux que les nouveaux méchants très très méchants parce qu'ils sont sombres et nihilistes. Et bien entendu, le haut commandement des gentils est encore une fois totalement dépassé, et il y a des traîtres tellement partout que ça en devient lassant. Ma suspension d'incrédulité s'est définitivement suicidée au moment où
Spoiler Alert!
Le meilleur point de la série c'est sans doute le côté accro des vétérans du programme, qui se sentent toujours mieux dans les corps de leurs clones de combat où on bascule leurs esprits: plus grands, plus forts, plus affutés, ils peuvent mourir avant de se réveiller l'instant suivant dans leur véritable corps, qui en comparaison leur paraît nettement plus fade.
A côté de ça, qu'ai-je qui me reste en mémoire de plus notable dans mes lectures de 2020?
- La métamorphose de Kafka, dans une édition avec analyse du point de vue psychanalytique de l'histoire. Un immense classique, tout sauf joyeux mais franchement marquant.
- L'écart des missiles par Charles Stross, traduit et mis gratuitement à disposition via le projet Exoglyphe, découvert via le blog "L'antre d'Apophis". J'ai beaucoup aimé ce sense of wonder très bien construit avec cet univers devenu totalement fou où la Terre est soudainement devenue plate et entourée de BEAUCOUP d'autres continents, avec une histoire progressivement de plus en plus sinistre. On a peine à croire que c'est juste une novella, certains mettraient deux ou trois tomes pour en dire à peine plus. Il faut que je me lise plus de Stross.
- La tour de Babylone de Ted Chiang. CHEF D'OEUVRE et puis c'est tout. J'ai l'impression que chacune des nouvelles explore d'une façon différente le concept d'altérité, tout ça avec une intelligence et une subtilité rare. La nouvelle qui a donné le film Arrival est nettement supérieure au film, mais je reconnais qu'il aurait été fort fort difficile de 'l'adapter telle quel. Il faut que je me lise plus de Chiang, ce qui signifie qu'il faut que je lise Expiration et puis voilà, j'aurai tout lu.
- Vigilance, de Robert Jackson Bennett. Une anticipation qui tire à boulets rouges sur les médias et leur influence cyniquement malsaine sur la culture populaire US. C'est TRÈS cynique, c'est TRÈS malsain, et c'est TRÈS révoltant. J'ai TRÈS envie de le qualifier également de chef d'œuvre dans son genre, tellement j'ai été incapable de lâcher cette novella lue en un seul jour.
- Trous noirs: la guerre des savants, de Léonard Susskind, sur son controverse avec Stephen Hawking concernant la destruction de l'information par les trous noirs. Le titre français peut sembler pompeux mais il est beaucoup plus second degré en anglais (The Black Hole War: My Battle with Stephen Hawking to Make the World Safe for Quantum Mechanics) et alors que Susskind est une gigantesque pointure en physique il arrive à réellement vulgariser les concepts qu'il évoque, tout ça en restant d'une réelle modestie. Ca parle d'astrophysique et de trous noirs, de physique quantique, de théorie des cordes et de principe holographique, etc. Je n'oserais absolument pas prétendre avoir tout compris, et il faudra sans doute que je le relise un jour.
A lire en priorité à présent:
- Expiration de Ted Chiang parce que pour en avoir déjà lu une ou deux histoires je SAIS que je vais encore prendre une claque. Il fait partie de ces livres/auteurs que je trouve tellement fantastiques que j'ai envie de les offrir aux gens afin de partager mon enthousiasme, un autre étant par exemple les meurtres de Molly Southbourne de Tade Thompson qui m'avait mis une autre énorme claque en 2019.
- Du Greg Egan, mais par quoi commencer?
- Du Charles Stross (merci Shosuro). Quelqu'un a des recommandations à me faire? Le cycle de la Laverie? Les Prince marchands?
- Du Peter Watts aussi tiens, ça a l'air bien.
Dernière modification par Greyhunter ; 03/02/2021 à 23h27.
Je te rejoins évidemment pour Ted Chiang. Dans le même genre il paraît que la fabrique des lendemains de Rich Larsson que j'ai sur ma table de nuit est du même acabit.
Tutos Youtube Dwarf Fortress, Dungeon Crawl Stone Soup, Cataclysm DDA et Aurora 4X : Gobbostream (synopsis et vidéos à télécharger ici). Chaîne Twitch. Chan CPC mumble Dwarf Fortress dans la section Divers
Tu parles là de Charles Stross, le même qui a écrit l'histoire dont tu parles.
J'ai lu les Princes Marchands (et ce qui est paru de la suite), et le début m'a beaucoup emballé mais l'évolution un peu moins (paradoxalement, la suite m'inspire plus). J'ai plus apprécié les volumes de la Laverie que j'ai lus (le ton est plus léger), mais, encore paradoxalement, je n'en ai lu que quelques-ins.
En plus Expirations est aussi court qu'il est excellent.
Par Axiomatique.
Les nouvelles sont le domaines de prédilection d'Egan, Axiomatique est avec Radieux ce qu'il a fait de mieux dans ce format.
J'ai trouvé ses romans trop complexes pour être agréables à lire (mais c'est très subjectif, forcément).
Son recueil de nouvelles, Au delà du gouffre, m'a beaucoup plu.
Et le Rich Larson, La fabrique des lendemains est sur ma table de chevet (virtuelle).
- La version 3 est arrivée !
Moi j'ai globalement bien aimé tous les Scalzi que j'ai lu. Le ton reste effectivement toujours assez léger, mais ça change. Il y a la trilogie de l'Interdépendance si tu veux plutôt du Space Opera, et La Controverse de Zara XXIII que j'ai vraiment bien aimé (et rempli de toudous )
J'ai découvert l'auteur par Au revoir là-haut et Couleur de l'incendie.
Juste lu un petit polar de lui par hasard, Rosy & John, et c'est vraiment bien fichu. L'intro est scotchante, et la conclusion est réussie. Rien que ça, c'est déjà original.
Ce bouquin fait suite à une trilogie avec un flic récurrent, Camille Verhoeven, que je n'ai pas lue.
Sur un autre forum que je fréquente, un des membres ma foi très sympathique faisait depuis quelques mois la pub pour son premier roman. Par "soutien", je l'ai acheté, sans m'attendre à quoique ce soit. Ca s'appelle Lièvre Noir et il s'appelle Benoît Behudé.
J'ai lu les premières pages pour en lire le style et n'ai pu m'arrêter que 2h après, puis ai dévoré le reste ce matin.
C'est l'histoire d'un type qui vit dans une société très cloisonnée et dirigiste, où Internet a été détruit, où les ressources sont rares et divisée en classes de travailleurs; évidemment, les plus hauts possèdent tout, les ouvriers et équivalents sont condamnés à travailler pour pouvoir récolter un misérable bon de rationnement. Et en-dessous d'eux encore, pas mal de marginaux. L'élément perturbateur : sa fille disparaît. Et sa fille, il n'a techniquement pas le droit de l'avoir, toutes les femmes des classes inférieures ayant reçu une injection pour les rendre stériles.
Bon, j'suis une brêle en synopsis, mais vous avez l'idée. L'univers, en soit, est assez classique, les personnages également. Mais il y a une vraie maîtrise de l'écriture, une vraie maîtrise du rythme, d'autant plus impressionnante quand on sait que c'est son premier roman. L'histoire est très bien ficelé, l'intrigue est vraiment réussie et j'ai clairement plongé avec facilité; et pourtant, ces derniers temps j'ai parfois des difficultés à lire.
Bref, si un roman noir vous tente, que vous voulez soutenir un petit auteur, n'hésitez franchement pas, c'est top. Bon, il faut accepter d'acheter sur Amazon, puisqu'il n'a pas d'éditeur et s'est donc auto-publié; visiblement, Amazon a un système assez pratique pour ce genre de cas.
https://www.amazon.fr/gp/product/B08...?ie=UTF8&psc=1
La France contre les robots, de Georges Bernanos.
C'est beauuuu comme il écrit. Pas tout compris sur ses opinions politiques et où il veut vraiment en venir, mais des idées intéressantes. Il ne parle des machines qu'à la page 74 (sur 128), ça vient doucement, mais lorsqu'il écrit que la Technique ne supporte pas le libre arbitre et nous embrigadera tous pour un rendement maximum, j'ai l'impression qu'il prédit les entrepôts Amazon et ses pousse-cartons soixante ans à l'avance !
Il parle évidemment beaucoup des guerres et de la collaboration (livre de 1949), mais je suis surpris qu'il n'évoque pas une seule fois la bombe atomique. Ou ça l'a encore plus déprimé...
Ses opinions politiques ? Il vient de l’Action française, il en a claqué la porte et a été du côté Républicain espagnol.
Catholique, traditionaliste, humaniste et pas fasciste.
une balle, un imp (Newstuff #491, Edge, Duke it out in Doom, John Romero, DoomeD again)
Canard zizique : q 4, c, d, c, g, n , t-s, l, d, s, r, t, d, s, c, jv, c, g, b, p, b, m, c, 8 b, a, a-g, b, BOF, BOJV, c, c, c, c, e, e 80, e b, é, e, f, f, f, h r, i, J, j, m-u, m, m s, n, o, p, p-r, p, r, r r, r, r p, s, s d, t, t
Canard lecture
Fini Satan dans le désert, de Boston Teran.
Comme d'hab, un petit copier/coller du 4ème de couverture:
1995. Aux confins du désert californien, Gabi, quatorze ans, est kidnappée par un psychopathe ultra-violent et sa secte satanique. L’insondable scène de carnage laissée par les ravisseurs ne livre aucun indice, la police patine, le sort de la jeune fille semble scellé. Fou de désespoir, son père, Bob Hightower, le flic local, se voit obligé de faire confiance à une ancienne adepte du culte : Case Hardin, une ex-junkie avec des comptes à régler. Leur quête commune ne tarde pas à se transformer en une traque sauvage marquée par la drogue et la violence, qui les oblige inexorablement à regarder le diable dans les yeux.
Encore une fois, ce résumé est plutôt fidèle: c'est crade, c'est sordide, y'a quasi pas un personnage pour rattraper l'autre, pas de héros là-dedans, que des victimes, même si parfois elles sont ensuite devenues bourreaux, et personne n'est à l'abri. On a parfois l'impression de lire un post-apo plutôt qu'une intrigue se passant en 1995.