Je viens de (re)lire La Ligne Verte, c'est vraiment un des meilleurs livres de King. Comment remplir d'humanité un livre qui parle de peine de mort, et des gens qui travaillent dans le "couloir de la mort". Comme souvent chez King, la composante fantastique n'est qu'un prétexte (ou un moteur) pour aborder le sujet de fond, et ne devrait pas rebuter les plus cartésiens des lecteurs.
Juste derrière j'ai tenté de commencer Le Bâtard de Kosigan, mais le grand écart avec le livre précédent était trop violent. Dès le premier chapitre j'ai senti que le héros trop badass, qui m'aurait bien plus à 15 ans, allait trop me péter les noix à 45.
C'est d'ailleurs un gros souci, après avoir lu un très bon livre, c'est difficile de s'en détacher . Je suppose que je vais m'aérer avec un Pratchett, je dois me relire le cycle des sorcières justement.