Le topic des profs : "Donne moi ton carnet, sale perturbateur !"

[Anonyme9785]

Pour mal reformuler mais rester dans l'idée: le chercheur, l'intellectuel obtient un gain de temps précieux pour son oeuvre, l'épicier entraîne moins son cerveau au profit des likes.
Autre soucis, ne plus entraîner sa mémoire parce que tout est à portée de 4g et de wikipédia limite la création de liens possibles entre deux idées, concepts, formes... car cela ne vient plus spontanément lors d'une phase de réflexion.

[Molina]

Pour mal reformuler mais rester dans l'idée: le chercheur, l'intellectuel obtient un gain de temps précieux pour son oeuvre, l'épicier entraîne moins son cerveau au profit des likes.
Autre soucis, ne plus entraîner sa mémoire parce que tout est à portée de 4g et de wikipédia limite la création de liens possibles entre deux idées, concepts, formes... car cela ne vient plus spontanément lors d'une phase de réflexion.

Bullshit. A la rigueur, tu fais plus d'analogie parce que tu ne te rappelles plus exactement comme A et B marchent, mais c'est tout. Quand on fait un travail sérieux, autant la partie par cœur on peut s'en carrer, ça n'empêche pas d'essayer de comprendre et on en retient toujours quelque chose.

[fenrhir]

Quand on fait un travail sérieux, autant la partie par cœur on peut s'en carrer, ça n'empêche pas d'essayer de comprendre et on en retient toujours quelque chose.

Ouai, mais pas si bullshit que ce que tu dis, car on voit bien, avec la culture de l'instantané, que les efforts et le temps nécessaires à la compréhension font de plus en plus défaut côté élève. Oui, ils vont de plus en plus googler, et le problème n'est pas qu'il googlent ni qu'ils ne mémorisent pas, mais qu'il ne pigent même pas ce qu'ils copient-collent/recopient. Parce qu'ils ne font pas l'effort de le faire.

Entre l'absence de regard critique sur la source de leur information (tiens, voilà un sujet important à aborder en info), et la très faible culture de l'effort dans notre société*, non, nos petits cerveaux vont pas aller en se musclant.
Demande un peu à des gens qui travaillent justement avec les fonctions "bas niveau" (entre autres) chez leurs patients enfants, genre ortho/psycho, le tableau n'est pas joyeux, et ça n'est pas qu'un effet générationnel sauce c'était mieux avant.

* : pour être précis, y'a pas que ça. J'avais lu une étude européenne montrant que les parents issus d'un milieu socio-familial très favorable avaient tendance à plus couver à donf leurs gamins que d'autres parents, genre en leur donnant ce dont ils avaient besoin *avant* que les gamins n'expriment leur besoin réel. Outre des problèmes relationnels, les gamins n'étant jamais livrés à eux-même, montraient un déficit en autonomie pour la prise de décision, etc. L'étude était avant tout dans le champ de la psycho, mais les impacts en termes éducatifs auraient été intéressants à chiffrer.

Après, ça a toujours été présent. Tout le monde aura une anecdote à raconter sur lui ou un autre gamin ou un élève qui sait faire un truc (ou pas) mais qui ne sait pas à quoi ça sert ni pourquoi il le fait. Mais ça s'accentue.
Du coup, même la simple généralisation d'un savoir-faire devient problématique. Quand tu apprends à une classe à résoudre un même type d'exercice et qu'au fur et à mesure que tu les laisses prendre de plus en plus d'autonomie sur sa résolution, et qu'au bout d'un mois tu vois qu'ils n'ont pas pigé que l'exercice 6 c'était le même que l'exercice 1 avec juste des noms différents, ben...

[ducon]

Pour mal reformuler mais rester dans l'idée: le chercheur, l'intellectuel obtient un gain de temps précieux pour son œuvre, l'épicier entraîne moins son cerveau au profit des likes.

Pas toujours : certains intellectuels devraient, parfois, revenir aux fondements.
L’épicier n’est pas forcément débile.

[FMP-thE_mAd]

Pareil pour l'ordinateur (enfin, plutôt le "numérique" au sens large) : il est amené à prendre une place considérable à moyen terme. Ce n'est pas pour autant qu'il doive tout cannibaliser bien sûr. Il y a aussi des usages à inventer, ne pas faire du numérique pour faire du numérique, laisser des moments plus traditionnels... c'est aussi à voir en fonction de l'âge, des matières, etc.

Ben oui et c'est bien ce qui est discuté ici depuis le début.
Donc si tu faisais l'effort de pondre autre chose que des raccourcis à 2 ronds et des trolls, de temps en temps, tu verrais que c'est bien tout le problème actuel et les questions posées : le numérique oui. Aucune personne un peu sensée ne peut remettre ça en question.
Mais jusqu'où ? Pour faire quoi ? A quel prix ? (parce que j'ai dans l'idée pour ma part que c'est d'abord ça qui va faire réfléchir, bizarrement).

C'est pas une réponse de 2 lignes en essayant d'asséner 2-3 généralités de ton cru qu'on va répondre au problème.
En revanche, au fur et à mesure des expériences qui se font un peu partout, on va j'espère progresser.

Le numérique pose des nouveaux problèmes. De fait, la déconcentration (ou plutôt l'absence de concentration) en est un important je trouve (et pas que dans l'école, les entreprises y sont confrontées aussi).

Et il ne remplace pas forcément d'autres méthodes ou d'autres outils.

M'enfin quoi qu'il en soit, je serais très étonné si, à la fin de ma carrière, les élèves écrivent encore 20% de ce qu'ils écrivent actuellement. Tout comme je serais très étonné si tous les profs ne deviennent pas a minima bivalents.

C'est ta marotte la bivalence ? Qu'est-ce que ça vient foutre là ça ?
Y a pas de raisons particulières que nécessairement les profs deviennent bivalents. Ce sera peut-être un choix politique, mais je ne vois pas en quoi c'est gage d'amélioration de quoique ce soit (et perso si on me colle de la Physique parce que "les maths et la physique ça va ensemble", je préfère encore démissionner).

--
A part ça j'ai eu aujourd'hui mon fameux "entretien de carrière" avec l'inspecteur.
Mouais. On reconnait assez bien les formules creuses de management qui arrivent doucement. Faut se vendre quoi. Bof.
Après pour ce que ça joue de toute façon...

On verra demain avec mon principal ce que ça donne.

[Lee Tchii]

Tout comme je serais très étonné si tous les profs ne deviennent pas a minima bivalents.

Je n'ai rien contre la bivalence, à condition qu'on ne me demande pas un niveau bac+5 dans chaque discipline ... wait

L’épicier n’est pas forcément débile.

Et les bons artisans type maçons, plombiers et électriciens non plus !

[Anonyme9785]

Pas toujours : certains intellectuels devraient, parfois, revenir aux fondements.
L’épicier n’est pas forcément débile.

Oui c'est une évidence. Je donnais un exemple extrêmement simplifié pour étayer mon questionnement (sans biais de "mieuxavantisme" ou de foi inébranlable dans le progrès) qui n'est pas de savoir si certaines catégories pro sont plus connes que d'autres. C'est une question très floue dans mon cas, car je ne suis ni neurologue, ni pédagogue, ni psy...
Il s'agit de s'interroger sur une modification des capacités cognitives par l'influence de l'immédiateté.

Fenrhir donne justement un élément de réponse.
Les possibilités d'apprentissage et leur accessibilité sont devenues énormes en moins de 2 décennies.
Mais quelles conséquences sur le cerveau si un traducteur automatique te dispense d'apprendre une langue? Sur des concepts vagues comme la volonté? Sur la mémoire?

Analogie de béotien : devenir d'un muscle soutenu par un exosquelette.

[Laya]

@Krapatouille perso je prendrais ça sous l'axe de la plasticité cérébrale. On sait que le cerveau, d'autant plus quand on est jeune se réorganise en fonction de ce que l'on fait ou/et de ce que l'on apprend. Par conséquent effectivement si tu fais moins d'une activité tu seras moins fort que la génération précédente sur cette activité en particulier. Après ça reste un choix collectif sur ce que l'on veut apprendre aux enfants/adultes.
Je pense que si tu passes tes journées sur un FPS tu développes ton cerveau en conséquence. Si je ne me trompe pas on peut voir à l'IRM, par exemple, des partie du cerveau développé lorsqu'on est professionnel des math.(https://www.cairn.info/revue-spirale-2012-3-page-17.htm)

Donc les capacités sont amoindris si tu les exerces pas, mais tu développes d'autres capacités aussi.
Il y a pas spécialement de miracle tu deviens rarement bon aux calculs mental sans un minimum d’entraînement ou d'activités connexes.

(et perso si on me colle de la Physique parce que "les maths et la physique ça va ensemble", je préfère encore démissionner)

SI tu te débrouilles un peu tu peux transformer en grosse partie de la physique en quasi pure math (et vice et versa d'ailleurs)

On n’a pas dit qu’ils n’aiment pas le collège ou le lycée, c’est seulement qu’aller en cours les emmerde.

Ok mais de ce point de vue ça s'applique à peu prêt à la grande majorité de l'humanité de ne pas avoir spécialement envie de se lever à 7h tous les matins pour des matières qui ne les passionnent pas toujours.

[orime]

EPS et philo ça va bien ensemble, "pour la luxure, un bandage suffit".

[Møgluglu]

C'est ça être un prof ambivalent.

[fenrhir]

Non, là c'est ambiguë

[cailloux]

Moi je verrai des profs bivalent : matière principale + matière avec moins d'heures de cours.

En gros je mettrais plus d'éducation civique/générale dans le programme en incluant des sujets plus diversifiés : gestion d'internet (vie privée, recherche, critique sources), biais cognitif, marketing, politique, écologie, expression orale/débat etc, linguistique, métjode scientifique whatever. sous forme de module de quelques heures, à charge pour chaque professeur de chaque matière de choisir un thème qu'il abordera dans l'année : il n'aura pas besoin de préparer une année entière de programme ce qui n'alourdira pas trop son travail tout en étant performant sur le sujet.

[FMP-thE_mAd]

SI tu te débrouilles un peu tu peux transformer en grosse partie de la physique en quasi pure math (et vice et versa d'ailleurs)

Pas au collège non. Et difficilement au lycée (en 2nd en tout cas).

Non pis c'est surtout que c'est pas du tout la même philosophie. Je suis matheux mais je n'aime pas les sciences particulièrement. Je me sentirais largement plus à l'aise en français par exemple.

@Cailloux : bah c'est déjà pas mal ce qui se fait hein, en Hist-Geo-Education-Civique (qui devient un fourre tout innommable d'ailleurs). Et puis il y a ensuite des interventions de gens extérieurs sur différents sujets (les risques d'Internet par exemple, en est un très actuel).

[ducon]

Moi je verrai des profs bivalent : matière principale + matière avec moins d'heures de cours.

OK, je veux bien faire de l’histoire des sciences et de l’épistémologie.

[Vautour]

Vous ne connaissez pas de PEGC ?

[FMP-thE_mAd]

Je ne crois pas que ce statut existe encore. Ou alors ça fait un sacré bail que je n'en ai pas vu non.

[orime]

Il en resterait environ 1500.

[ducon]

Vous ne connaissez pas de PEGC ?

Si mais le corps est en voie d’extinction.

[Clad]

Il en resterait environ 1500.

Alors j'en ai eu un gros pourcentage à moi tout seul. J'ai pas eu une année sans avoir un professeur "deux fois". J'ai même eu une triplette en 4eme (Même professeur pour Français/Latin/Grec ancien, d'ailleurs il s'agissait de la seule prof de latin ET de la seule prof de grec ancien de tout l'établissement).

[FMP-thE_mAd]

Alors j'en ai eu un gros pourcentage à moi tout seul. J'ai pas eu une année sans avoir un professeur "deux fois". J'ai même eu une triplette en 4eme (Même professeur pour Français/Latin/Grec ancien, d'ailleurs il s'agissait de la seule prof de latin ET de la seule prof de grec ancien de tout l'établissement).

Ca c'est toujours le cas ; les profs de "Français classique" enseignent aussi les langues mortes (Latin et Grec). Ca n'a rien à voir avec leur statut (PEGC c'est un statut).
Et il y en a toujours pour le coup (j'ai une collègue prof de français / latin / grec titulaire qui est jeune).

[ZeK]

Oui, bien sûr, mais à la marge.

Pareil pour l'ordinateur (enfin, plutôt le "numérique" au sens large) : il est amené à prendre une place considérable à moyen terme. Ce n'est pas pour autant qu'il doive tout cannibaliser bien sûr. Il y a aussi des usages à inventer, ne pas faire du numérique pour faire du numérique, laisser des moments plus traditionnels... c'est aussi à voir en fonction de l'âge, des matières, etc.

M'enfin quoi qu'il en soit, je serais très étonné si, à la fin de ma carrière, les élèves écrivent encore 20% de ce qu'ils écrivent actuellement. Tout comme je serais très étonné si tous les profs ne deviennent pas a minima bivalents.

Si on va par là : je suis prof de S.V.T., j'enseigne donc la biologie et la géologie (qui ont elles-mêmes plein de sous-disciplines...) suis-je bivalent? Que dire du professeur d'Histoire Géographie Education Morale et Civique (je crois que c'est la dernière version en date de leur matière) sont ils quadrivalents??? Le prof de maths fait de l'algèbre, de la géométrie et je ne sais quoi d'autre (navré je ne me suis jamais passionné pour cette matière pourtant indispensable à mes yeux...), n'est il pas déjà au moins bivalent?

Le but des formations disciplinaires des profs et justement d'en faire des spécialistes maîtrisant leur "matière" pour pouvoir correctement expliquer aux élèves. Il faut comprendre parfaitement ce que l'on enseigne pour pouvoir le faire comprendre (je parle pas de retenir : je n'ai presque plus d'élève qui sache apprendre une leçon) C'est nécessaire même au niveau collège. On y passe 4 ou 5 ans. Du coup la bivalence? On demande à un prof de maths de faire de la musique? Même si il y a des liens et même si par chance le prof en question est musicien, est-ce que c'est suffisant pour enseigner? Me demandera-t-on d'enseigner le français? Certes je connais la plupart des règles de grammaire mais j'oublie régulièrement de les appliquer et je suis loin de m'y connaitre en littérature ou en stylistique...

Et donc on renvoie les profs 4 année en formations pour les rendre "bivalent"?

La bivalence c'est un gadget, je ne vois pas comment ça pourrait aider en quoi que ce soit les élèves d'un collège (par contre je vois bien comment ça pourrait encore dégrader le niveau scolaire...)

[Lee Tchii]

Si on va par là : je suis prof de S.V.T., j'enseigne donc la biologie et la géologie (qui ont elles-mêmes plein de sous-disciplines...) suis-je bivalent?

Oui, et tu es my hero

[ZeK]

Oui, et tu es my hero

Euh merci... je crois ...

[Kiyo]

«-Bonjour Kiyo, nous vous informons que votre rendez vous de carrière aura lieu le 12 mars-»



N’etant échelon 6 que depuis mars avril de l’année dernière je pensais être tranquille jusqu’à l’année prochaine. D’autant que j’ai été inspectée l’année dernière, en septembre et qu’accessoirement ça s’était bien passé.

Mais cette année, entre l’arrivée du bébé, le passage au double niveau cp-ce1, le 80% je galère un peu et commence tout juste à prendre le rythme, alors certes ça me laisse un mois dont les vacances pour le préparer mais je ne suis pas joie

Seul point positif : mes parents et ma sœur nous avait offert une nuit dans un hôtel thalasso avec une après midi de soin et on avait réservé pour le week end du 17 mars. Bon timing.

[Anon26492]

Si on va par là : je suis prof de S.V.T., j'enseigne donc la biologie et la géologie (qui ont elles-mêmes plein de sous-disciplines...) suis-je bivalent?

Non.

Que dire du professeur d'Histoire Géographie Education Morale et Civique (je crois que c'est la dernière version en date de leur matière) sont ils quadrivalents???

Bivalent.

Le prof de maths fait de l'algèbre, de la géométrie et je ne sais quoi d'autre (navré je ne me suis jamais passionné pour cette matière pourtant indispensable à mes yeux...), n'est il pas déjà au moins bivalent?

None.

Le but des formations disciplinaires des profs et justement d'en faire des spécialistes maîtrisant leur "matière" pour pouvoir correctement expliquer aux élèves. Il faut comprendre parfaitement ce que l'on enseigne pour pouvoir le faire comprendre (je parle pas de retenir : je n'ai presque plus d'élève qui sache apprendre une leçon) C'est nécessaire même au niveau collège. On y passe 4 ou 5 ans.

Pour enseigner au niveau collège, un bon niveau licence suffit très largement. Et je suis très généreux hein, un solide niveau bac suffirait pour la sixième et la cinquième. Les professeurs certifiés exagèrent systématiquement leur niveau, qui, il faut bien le dire, chute avec le temps.

Du coup la bivalence? On demande à un prof de maths de faire de la musique? Même si il y a des liens et même si par chance le prof en question est musicien, est-ce que c'est suffisant pour enseigner? Me demandera-t-on d'enseigner le français? Certes je connais la plupart des règles de grammaire mais j'oublie régulièrement de les appliquer et je suis loin de m'y connaitre en littérature ou en stylistique...

Biologie - physique, maths - physique, maths - musique, maths - informatique, physique - technologie, maths - économie... et j'en passe.

Et donc on renvoie les profs 4 année en formations pour les rendre "bivalent"?

Ceux qui désirent évoluer se verraient proposer une formation et un statut améliorer. Après tout, la plupart des métiers se forment.
Les autres verraient leur statut se déprécier petit à petit à la hauteur de leur paresse.

La bivalence c'est un gadget, je ne vois pas comment ça pourrait aider en quoi que ce soit les élèves d'un collège (par contre je vois bien comment ça pourrait encore dégrader le niveau scolaire...)

Tout simplement en allégeant le cancer de l'école : l'absence totale de flexibilité dans les statuts du personnel. Un collège de nos jours, c'est du niveau d'une usine soviétique niveau efficience. La société ne tolérera pas longtemps cette ineptie.

[fenrhir]

«-Bonjour Kiyo, nous vous informons que votre rendez vous de carrière aura lieu le 12 mars-»



N’etant échelon 6 que depuis mars avril de l’année dernière je pensais être tranquille jusqu’à l’année prochaine. D’autant que j’ai été inspectée l’année dernière, en septembre et qu’accessoirement ça s’était bien passé.

Mais cette année, entre l’arrivée du bébé, le passage au double niveau cp-ce1, le 80% je galère un peu et commence tout juste à prendre le rythme, alors certes ça me laisse un mois dont les vacances pour le préparer mais je ne suis pas joie

Seul point positif : mes parents et ma sœur nous avait offert une nuit dans un hôtel thalasso avec une après midi de soin et on avait réservé pour le week end du 17 mars. Bon timing.

Arf. Courage !

[ducon]

Tout simplement en allégeant le cancer de l'école : l'absence totale de flexibilité dans les statuts du personnel. Un collège de nos jours, c'est du niveau d'une usine soviétique niveau efficience. La société ne tolérera pas longtemps cette ineptie.

Rien à branler de l’efficience qui ne sert qu’à une chose : taper sur la gueule des gens.

[Anon26492]

Rien à branler de l’efficience qui ne sert qu’à une chose : taper sur la gueule des gens.

L'efficience, ça sert à mieux dépenser la tonne de fric qu'on refile à l'État.
Nous sommes quasiment le seul corps de la FP qui n'a fait aucun effort. Forcément, nous sommes le plus nuisible. Mais il ne faut pas croire que ça va durer. A un moment, il faudra choisir entre travailler plus et travailler mieux. Et y'a pas moyen que je travaille plus.

C'est terminé la France avec le cheat code argent infini des trente glorieuses.
Et on a plus de parti politique dont nous sommes le principal client pour nous passer la brosse à reluire.

[cailloux]

Rien à branler de l’efficience qui ne sert qu’à une chose : taper sur la gueule des gens.

Comment un prof peut dire que l'efficience c'est de la merde sérieux ? Optimiser c'est moisis ? ça veut pas forcément diminuer un service, ça veut juste dire faire mieux avec ce qu'on a...

Grilled.

[Sharn]

Comment un prof peut dire que l'efficience c'est de la merde sérieux ? Optimiser c'est moisis ? ça veut pas forcément diminuer un service, ça veut juste dire faire mieux avec ce qu'on a...

Grilled.

Oh tu sais quand on est anarchiste et contre l’État mais qu'on travaille pour lui faut pas s'étonner.