Bon faut pas me taper, mais plus ca va, plus j'aime les jeux courts ! Sisi, des jeux qui se finissent en temps raisonnables et franchement NWN2, faudrait que je regarde sur XFire mais je doit être à 60 heures voir plus : c'est bien trop long. J'ai peur que l'extension soit encore trop longue...
Tu vois par exemple, pour Mass Effect je pense que je vais faire essentiellement la quête principale et laisser tomber les secondaires.. juste pour rester bien dans le scénario et passer à autre chose.
Parce que plus ça va, moins je finis mes jeux et ça me donne mauvaise conscience à 50€ le jeu.
Dune sous Dosbox.
J'viens de terminer Call of Duty 4, et malgré le fait qu'il soit très court, et aussi bourrin dans son fond que dans sa forme, j'ai pris du plaisir à le faire. Vraiment.
Pardon pour la réponse tardive.
Act Of War est bon, on sent que les développeurs ont voulus croire au scénario qui est tout bateau mais les cinématiques avec de vrai(e)s acteurs sont vraiment sympa. Et ça parle de la hausse du pétrole donc c'est plutôt d'actualité.
On se sent plutôt puissant tout au long du jeu, les ennemis sont très cons et pas besoin de stratégie. Tu produits un max d'unités, tu les envoies par vague de 30 et tu fais le nettoyage. Reste la petite variété d'ennemis avec les points forts/faibles de chacun à prendre en compte, quelques améliorations d'unités mais pas grand chose, bref un bon str sympathique et rafraîchissant qui n'a pas la taille d'un Supreme Commander mais qui remplit bien son rôle.
Pas beaucoup de challenge, une petite durée de vie (une quinzaine de missions je crois), de bonnes idées (on peut capturer les ennemis pour gagner de l'argent plutôt que de les zigouiller, les ressources de pétrole s'épuisent assez vite, ce qui t'obliges à construire de "petites armées"), si vous le trouvez à 5/10 €, il les vaut largement.
Par contre, j'ai vu l'édition collector de The Witcher à 50 €... Si je trouve une édition simple, ça sera déjà pas mal mais vu qu'ils ont repoussés leur "add-on" à septembre et que j'ai pas trop envie d'attendre, pensez-vous qu'il vaille vraiment le coup d'investir de suite ?
The witcher vaut largement ses 50 euros, meme en l'etat. C'est un bon jdr bien prenant, peut etre pas au niveau de mass effect sur le scenar, mais il se rattrappe sur la durée de vie. En tout cas une des meilleurs surprises pour moi depuis longtemps. Un univers gris sans gentils ni mechants, et des choix qui te bouffent ta petite morale judéo chrétienne.^^
Mais bon, vu que t'as attendu presque un an pour l'acheter, autant attendre septembre et jouer a sa nouvelle version plus mieux mieux non?
Ou tu es trop impatient?![]()
geek timide, et donc forcement surdimensionné!
J'y pense depuis la sortie mais je n'ai pas eu que des bons échos. Puis, ils devaient sortir leur nouvelle version en juin, ça tombait niquel pour mes vacances (actuellement) donc c'est pour ça que je pose la question.
J'aurai le temps d'y jouer plus tard mais beaucoup moins souvent que maintenant
Bon bah, je vais poirotter, si leur nouvelle édition ne sert à rien, ils baisseront peut-être l'actuelle collector.
Et bien moi, je viens de terminer Mass Effect et je ne suis pas prêt d'oublier cette expérience de jeu !
C'est difficile de décrire tout ce qui m'a plu sans faire un gros pavé noir de spoiler, alors je vais m'en tenir au ressenti à chaud : enchanté.
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Shakespeare : To be or not to be ▪ Nietzsche : To do is to be ▪ Sartre : To be is to do ▪ Sinatra : Do be do be do
Medal of Honor Airborne.
1 soirée pour le finir. Le jeu est divisé en 6 chapitres et ce n'est que sur les 2 derniers que j'ai commencé à avoir du plaisir... enfin, je ne suis pas sûr sûr, mais on peut dire que la fin est moins chiante que le début. La raison vient qu'à force de buter du teuton nos armes s'améliorent, et c'est pas un mal.
Mais même sur la fin il m'est arrivé de devoir envoyer 4 balles en pleine tête pour qu'un ennemi daigne enfin rendre son dernier souffle. J'adore. Avec la mitrailleuse il faut carrément vider son chargeur et surtout ne pas être à plus de 10 mètres. Je ne parle même pas de l'I.A., ou alors pour donner une image : les mecs se battent comme des poules décapitées.
I'll play fishing simulator. Luthier... you'll play with me. http://odieuxconnard.files.wordpress.../finalfbhr.jpg
Je viens de finir Bioshock...
La première fois depuis très longtemps que je fais un jeu d'une traite Généralement j'ai toujours une période de 1 à 3 semaines durant laquelle je ne touche pas au jeu que j'ai en cours et je dois me forcer à finir le jeu (ou dans les autres cas je passe à autre chose)
Bref je recommande, ce n'est peut etre pas un fps excellent (je ne suis pas spécialiste du genre) mais rien que pour l'ambiance ca vaut ses 20 euros à la fnac
J’ai fini hier Condemned, pas d’une seule traite, mais en trois soirs.
Au premier abord, l’ambiance glauque et malsaine dans des lieux obscurs me plaît assez. Les combats au corps à corps avec des haches, des bâtons, des canalisations et autres armes parfois insolites sont plutôt violents et techniques. De plus, la réalisation graphique est tout à fait soignée. Mais je trouve mon perso de flic bien lourd, incapable de sauter, essoufflé en moins de dix sec : c’est lent. C’est aussi très linéaire et dirigiste. Impossible de se perdre dans les couloirs. Si vous avez une porte à fracasser on vous demande de trouver une masse, qui bien sûr est placée dans la pièce attenante. Si vous devez récolter des indices, on vous informe à quel moment il faut sortir votre appareil, et comme vous en avez plusieurs on choisit pour vous automatiquement le bon. Le pire reste lorsqu’il faut prendre des photos, il faut pointer l’objectif et zoomer d’une façon précise et calculée d’avance, sans quoi si vous déviez de 10 cm la petite lumière verte ne s’affiche pas. Vous menez une enquête policière à la recherche d’un tueur en série, mais tous ces passages imposés, toutes ces interruptions, souvent sous forme de cinématiques, nuisent à l’immersion dans l’action et finalement c’est le déroulement très linéaire de l’histoire qui m’empêche de m’y intéresser.
À partir de la 2e moitié du jeu, une fois le gameplay bien assimilé, les niveaux attendus et convenus de l’immeuble désaffecté et des couloirs et recoins du métro terminés, je pouvais affirmer une chose : ce jeu est plaisant mais il ne me fait pas peur. Sans doute parce que je ne suis guère impressionnable. Je continue néanmoins, je découvre des niveaux plus inspirés, comme le galerie, la bibliothèque et l’école, la difficulté est un peu plus relevée, l’atmosphère est de plus en plus pesante, et je commence à me taper quelques moments de flippe. Le meilleur est à venir, avec les deux derniers niveaux. L’abandon et l’obscurité des lieux m’inquiète, les cris des tarés qui brisent le silence me stressent, je me fais peur tout seul à faisant tomber des objets, le moindre bruit et la moindre surprise alimentent ma peur. Il m’arrive même une fois de sursauter sur ma chaise. La dernière carte me semble la meilleure, on s’est débarrassé de notre attirail de flic, on bastonne des vilains résistants, le tout dans un décor macabre, ça me plaît !
En conclusion, malgré des lourdeurs de gameplay, le jeu est suffisamment bien réalisé pour avoir retenu mon attention durant près d’une dizaine d’heures et pour avoir réussi à me foutre par moments la pétoche. Mais des questions se posent, qui font que ce jeu est pour moi un demi-échec, au sens où son potentiel aurait pu être mieux exploité. En effet :
– pourquoi la narration ne me captive-t-elle pas et me fait même sortir de l'action ?
- pourquoi la linéarité nuit-elle à l'expérience de jeu ?
- et pourquoi la peur aurait-elle été plus présente et intense si le joueur avait été libre ?
Imaginons le jeu conçu différemment. Vous incarnez un flic et vous devez arrêter des malfaiteurs. Hormis cette indication primordiale vous êtes seul pour accomplir votre tâche, aucun message ne viendra vous aider, aucun coup de téléphone ne vous donnera des renseignements, vous aurez à découvrir vous-même les indices. Brisons le côté dirigiste et allons plus loin en essayant d'introduire une non-linéarité. Vous êtes dans une station de métro, ou dans une bibiothèque ou une école, et on vous laisse vous débrouiller, vous allez dans la direction de votre choix, vous êtes libre. Imaginons-nous dans un grand musée, nous y arpentons dans le noir les allées, nous montons aux étages, nous nous y promenons à notre guise, sauf que des bruits et des cris sont perceptibles et qu'au détour d'un couloir un type vous saute dessus. L'expérience serait encore plus éprouvante que dans la forme actuelle de Condemned, du fait de la solitude et de la non-linéarité. Le joueur serait dans une sorte de labyrinthe, il pourrait s'y perdre, devenir fou...
Dans Condemned le flic est atteint d'un mal, mais cela est visible dans une cinématique, cela n'est pas vraiment ressenti par le joueur. Voilà le problème du scénario dans un jeu. Je m'en fous de l'histoire, si elle est racontée comme si j'étais un simple spectateur. Le joueur n'est pas tout à fait un spectateur. Regarder des animations, entendre ou lire le récit des événements, ne fait pas de moi un acteur. Je reste passif et je subis une trame narrative. Je peux apprécier la qualité des animations ou des dialogues, mais cela ne veut pas dire que j'y participe activement. C'est pourquoi le scénario n'est pas un critère décisif pour rendre compte de la qualité d'un jeu. Je reste dubitatif devant ceux qui y attachent une telle importance, alors que cela me paraît artificiel et forcé, un prétexte plutôt que le fondement du jeu. Super Mario, pour moi ce sont des plates-formes, pas le sauvetage d'une princesse. Je me souviens, lorsque la Game Boy est sortie, au début des années 90, d'avoir découvert cette console dans un supermarché où elle était en exhibition et sur laquelle tournait Tetris, je me souviens y avoir joué avec émerveillement et je revois l'adulte à la borne voisine y prenant aussi un grand plaisir. Tetris ne raconte aucune histoire pourtant. Qu'est-ce qu'un jeu pour moi ? C'est une réalisation technique dotée d'en ensemble de règles à assimiler qui procure une expérience particulière.
Dans Condemned, l'expérience serait plus forte sans cette enquête policière que le joueur doit mener. Dans ma conception d'un jeu libre, il serait plus intéressant de trouver par soi-même les éléments de l'histoire, de construire soi-même cette histoire, d'y participer par un travail personnel de compréhension et d'imagination. On verrait un cadavre dans une maison abandonnée et rien que par ces images on élaborerait notre trame, sans qu'il soit besoin d'un coup de fil de la collègue pour te demander de prélever des indices et pour te signaler l'identité de la victime, sa profession, ses antécédents, etc. L'univers créé et libre n'est pas une expression contradictoire.
Salut Doom, je me suis permis de te citer dans le topic dédié à la narration dans les jeux video afin de poursuivre le dialogue :
http://forum.canardplus.com/showthread.php?t=26599
Ce thread ne se remplit pas vite mais je pense qu'il est très enrichissant.
Dernière modification par Pluton ; 13/07/2008 à 13h24.
Très très bon Condemned. Tu prends part à l'histoire plutôt à la fin, les outils d'analyse sont bateaux mais ça varie les séquences de frappe avec un bout de tuyau. Grosse ambiance et des fights plutôt violents. Bien plus dérangeant qu'un jeu de voyou, quoi.
Par contre, quelqu'un a finit le deuxième ?
Double dragon, oui avec la triche du dernier niveau.
une balle, un imp (Newstuff #491, Edge, Duke it out in Doom, John Romero, DoomeD again)
Canard zizique : q 4, c, d, c, g, n , t-s, l, d, s, r, t, d, s, c, jv, c, g, b, p, b, m, c, 8 b, a, a-g, b, BOF, BOJV, c, c, c, c, e, e 80, e b, é, e, f, f, f, h r, i, J, j, m-u, m, m s, n, o, p, p-r, p, r, r r, r, r p, s, s d, t, t
Canard lecture
Bioshock, pour voir la fin version "méchant". Ce jeu est formidôôôôble.
Bioshock que j'ai rejoué en mode gentil.
Et Crysis également (en fait non j'ai pas réussi à terminer à cause d'un bon gros bug au boss de fin).
Derniers jeux à avoir fini
Cod4 = Trop facile, l'horreur, même en mode vétéran on arrive à passer n'importe ou...
Crysis = L'histoire m'a vraiment passioné même si l'idée de mec en armure envoyé par l'uberUSarmy m'a faché...
Fable = J'ai fini à l'âge de 58 ans, et j'ai galéré à croire que j'étais sincerement mauvais...
Depuis le début de l'année:
- The Witcher: très sympa même si quelques quêtes Fedex m'ont saoulées et que l'histoire n'est pas très originale
- Beyond Good & Evil: rafraîchissant et attachant. Les graphismes, bien que datés, ont un certain charme et certaines musiques sont envoutantes.
- Chronicles of Riddick: je l'avais laissé prendre la poussière depuis 3/4 ans. Grosse erreur: c'est un formidable jeu d'action qui réussit à combiner FPS, infiltration et un soupçon d'aventure (petites quêtes). Poussés au max, les graphismes sont encore impressionnants. Un vrai coup de coeur
- Far Cry: bon ok j'ai trichay pour les 2 derniers niveaux (barrage et volcano). La difficulté de ces niveaux m'a tout simplement gaché le plaisir. Dans l'ensemble c'est un bon défouloir mais il ne vaut pas Riddick selon moi.
En ce moment:
- Fable TLC: je commence juste et je ne suis pas encore très emballé. Mais on va laisser ça chance au produit comme on dit...
- Star Wars Empire at War: idem je commence juste les campagnes.
- BioShock: la mayonnaise ne prend toujours pas. Désolé. Je m'ennuie à mort dans ce jeu alors que pourtant le background et l'histoire passée de Rapture m'accrochent bien. Je me rends compte que je prendrais plus mon pied si l'histoire était développée dans un bouquin voire un film.
Sur Steam apparemment.
Sinon, je viens de terminer Crysis, et à part quelques petits défauts (les ennemis qui ne vous voient pas mais qui vous fixe quand même droit dans les yeux par exemple) et quelques passages sur la fin, c'est un bon jeu. J'avais peur que le côté "infiltration" me gave vite, mais y'a une telle liberté de choix dans sa façon d'agir qu'on ne sent à aucun moment une quelconque obligation dictée par les développeurs. Franchement, un très bon FPS.
Sinon, j'ai encore terminé Rez sur Xbox 360, mais j'le termine une fois par semaine celui-là.
Récemment, me suis tapé Assassin's creed ( fin honteuse tant du point de vue du gameplay que du scénario rédigé à la truelle bionique.)
Crysis aussi, sympathique même si à partir de vous-savez-quoi, ça m'a gavé.
Gear of wars, chiant à crever en solo, bien tripant en coop' ( sur console ça doit être le vrai délire, oui, je le pense sincèrement)
et puis et puis.... rayman contre les lapins crétins, très sympathique pour jouer en couple avec sa copine, ou pour draguer plus généralement. Oui j'assume, je joue casual.
Heureusement que j'ai eu AC gratos sinon quoi je demanderais pendaison de Jade. Jeu ultra-répétitif, on est libre... enfin libre de sauter sur les mêmes toits qui se ressemble tous, très court et le pire ce sont les cinématiques... J'ai jamais vu de cinématiques aussi soporifiques : le papy qui te raconte la vie à coup de pseudo-philosophie et pas moyen de les zapperBon et puis le scénario faut pas se voiler la face, c'est d'la merde et ya rien à découvrir. Par contre c'est beau. Et puis c'est un peu comme Crysis à l'extérieur des villes : les gardes qui sont partout (le budget de la défense doit péter à Jérusalem et à Acres) te poursuivent jusqu'à la mort parce que tu passes devant eux sans appuyer sur la touche "tout doux la bête".
Oui, tu l'as loupé. Amen. Un bon FPS défoulant à ce qui parait.
Ayé, fini Arcanum avant hier ! Torché la fin, un peu du à une certaine lassitude (trop de temps dessus)
Next step: Mass effect, et je commence Mafia
Torché FEAR : Extraction point.
Autant le tout premier FEAR à l'époque était formidable, autant le refaire maintenant... Plutôt bon mais moins accrocheur (bon en même temps, refaire 2 fois les fps tout en connaissant l'histoire...). Quelques sursauts, pas mal de gunfights bien nerveux et tout ça. Mais Extraction Point ne rajoute rien à part quelques armes et peut-être une plus grande difficulté. Mais bon, on s'y fait chier quand même...
En attente de FEAR 2 (ne me parlez pas de Perseus Mandate)...
Rien d'étonnant. Le niveau 12, les archives, est vraiment difficile, tout particulièrement dans la grande salle, avec les soldats d'élite. Quand j'ai fait la campagne en vidéo, en difficulté réaliste, c'est à cet endroit que j'ai le plus galéré, du genre à recommencer 10 fois la carte pour obtenir la bonne prise.