Alors c'est marrant comme on joue en série : je viens aussi de re-finir Mass Effect.
En fait je commence juste ME2 et je tenais à grapiller les deux succès qui me manquaient sur le premier (le niveau 60 et la difficulté max). Dont acte.
Et donc je pousse aussi mon cri de révolte sur ce qui est selon moi le PIRE défaut du jeu.
Billions est un mot anglais bordel !
Une cinématique où j'entends qu'il va y avoir un billion de morts ça me donne envie de mordre.
LACHEZ-MOI JE VAIS ME FAIRE LE TRADUCTEUR !
Alors oui, mais en fait non.
C'est vrai que Billion en anglais veut dire 1 milliard en français, mais ce mot existe aussi en français...
Il signifie 1 millions de millions, soit 10 puissance 12.
J'espére que ta rage sera calmé, de rien.
Ca dépend, un billion ça existe aussi en français, c'est mille milliards. Il disent billions en VO aussi ou pas ?
Site de l'event du backlog (plus d'infos sur le topic approprié)
Topic des démos essayées par les canards
Fini Supraland DLC 1: Crash en 10h (12h pour atteindre le 100%). Le jeu n'est pas encore sorti mais il a envoyé les clés a tous les backers de son kickstarter pour Supraland 2.
Ça fait plaisir de se replonger dans Supraland (qui est un super jeu !). Pas énormément d'originalité dans ce DLC mais de nouvelles énigmes ou passer énormément de temps, et un humour allemand typique avec son fameux générique Warum Warum. Que du bon on attend la suite !
Jeu : Crying Suns
Kickstarté en 2018 pour ses visuels chatoyants et ses promesses d'un FTL like, je n'ai finalement lancé ce jeu que dernièrement, profitant du confinement pour aller titiller l'espace en quête d'exotisme et d'aventure.
No idea, Idaho
Le jeu vous place dans la peau d'Ellis Idaho Amiral de l'Empire... enfin, comme vous le découvrirez assez vite, plutôt dans la peau du clône d'Ellis Idaho.
L'explication (et le fil rouge du jeu) est simple, l'Empire Galactique créé par l'Empereur Oberon autour de ses supers robots OMNI s'est écroulé, inexplicablement 20 ans avant qu'on ne vous réveille.
L'Empire, et l'ensemble des grandes maisons qui le composait, se reposait entièrement sur ces robots avancés pour voyager et tout simplement survivre.
Tous ?
Non... car le seul OMNI encore en marche est celui qui vous a réveillé et qui vous aidera dans votre périple, car vous ne vous rappelez de rien, c'est l'amnésie totale... contrairement au reste du monde, qui lui vous connaît très bien...
A qui profite le crime ?
Alors vous allez enfiler votre veste d'enquêteur et vous allez explorer l'univers, à la recherche d'un coupable.
Car forcément, celui qui a perpétré cet acte qui allait éradiquer la majorité de l'humanité devait forcément faire partie de ceux qui en ont tiré le plus de profits ?
Les ferrailleurs, espèce de bandes de clodos drogués au Néon-N, qui ont vu le joug impérial disparaître, et qui sont maintenant libres de commettre leurs exactions ?
Les grandes maisons, qui se sont libérées de la domination de l'Empereur et qui peuvent maintenant devenir Calife à la place du Calife ?
Ou encore l'Eglise de la Singularité, sorte de secte vouant aux robots un culte sans borne ?
Chacun chez soit, et les OMNI seront biens gardés...
Vous allez donc parcourir les secteurs maintenant controllés par ces différentes protagonistes pour découvrir qui se cache derrière "l'Extinction", votre navigation se faisant à la manière d'un FTL, sautant de secteur en secteur, chaque groupe de planète étant reliés aux autres, avec à vos trousses, la faction du jour, en fonction de votre avancée dans l'aventure.
L'exploration de ces planètes est agréable, chacune d'entre elles a son petit style et son event spécifique.
Vous aurez à lancer des expéditions pour récupérer du matériel, embaucher des pilotes, améliorer vos escadrons ou les armes de votre vaisseau
Si la partie navigation est très similaire à celle d'FTL, Crying Suns se démarque dans sa gestion des combats, durant lequel le jeu passe en 2D isométrique.
Une carte remplie d'hexagones se profile entre votre vaisseau et le vaisseau adverse et vous devrez tenter de l'utiliser à votre avantage pour atteindre le vaisseau adverse et détruire ses "barres de coque".
Chaque vaisseau pouvant déployer un nombre X d'escadrons, mettant du temps à se rétablir une fois détruits par l'adversaire.
Pour la partie tactique, sachez que les batailles fonctionnent selon un principe de "pierre-papier-ciseaux", les drônes étant efficaces contre les frégates, les frégates contre les chasseaus et les chasseurs contre le drônes.
Après, il y aura de petites subtilités avec les armes embarquées dans les vaisseaux de commandants, des possibilités d'avoir des escadrilles furtives, qui explosent lors de leur destruction ou qui pourront attaquer à distance.
J'ai fait l'entièreté du jeu en mode de difficulté "normal", et je lui ai -globalement- roulé dessus.
J'ai failli regretter mon choix, avant de me raviser sur la fin, mais nous allons éviter les spoilers.
FTL par tous les ports
Si l'inspiration FTL-esque est omniprésente, la question qui vient naturellement est la suivante :
Fait-il mieux que son père spirituel ?
Et la réponse est... "ça dépend".
Sur bien des points, je l'ai préféré à l'original.
+ au niveau du visuel, ce jeu est un régal pour les yeux, les vaisseaux, les planètes, les events... tout est en pixel-art et tout est d'un niveau largement supérieur à l'original
+ au niveau de l'histoire, contrairement à l'original, Crying Suns dispose lui, d'une histoire qu'on peut suivre, et qui donne envie d'aller voir le secteur d'après
+/- au niveau des combats, c'est peut être plus discutable.
Si j'ai apprécié la carte en 2D isométrique ou déployer nos escadrons pour aller poutrer l'ennemi, j'ai le sentiment qu'il n'y avait pas autant d'approches tactiques que dans FTL, sans pour autant en être dénuée.
- au niveau des events générés... lors de mon passage dans le dernier secteur, je suis malheureusement souvent tombé sur des events que j'avais déjà rencontré... ce qui me fait penser que mon temps de jeu total (20h) est globalement son espérance de vie.
- la rejouabilité de Crying Suns ne sera pas aussi grande que ne l'est celle d'FTL... alors je met ça là car il me semble important de le notifier à celles et ceux qui ont poncé FTL en relançant encore et encore des runs... ici, l'intérêt sans trouvera réduit.
Je pense tout simplement que leur base de données d'events est beaucoup moins importante que ne l'est celle de leur illustre prédécesseur.
En résumé
J'ai apprécié ce jeu, mais le dernier secteur a un peu mis en lumière ce que je suspectais... j'arrivais à la fin de mon exploration de ce dernier.
On peut voir ça comme un bon équilibrage, à l'instar d'une ligne à tracer au sol disant "arrivé ici, vous êtes arrivés"... ça marche pour moi, qui aime avoir un sentiment de "closure" quand je joue à un jeu.
Je peux le mettre de côté en me disant qu'il est terminé... chose que je n'ai pas pu faire avec FTL.
On peut aussi voir ça comme une triste limitation, ce qui je pense sera perçu comme tel par les fans-hardcore de FTL
Pour ma part je lui attribue un bon 7/10.
Dernière modification par pitmartinz ; 14/06/2020 à 12h51.
Vainqueur des KLJV 6, 7 et 8 !
( Respectivement à une minute, Cuillère et acte de bravoure près )
J'ai dû aller jusqu'au milieu de ton texte pour comprendre que tu parlais de Crying Suns, tu ne le cites pas avant. Je cherchais un jeu s'appelant No idea, Idaho
Pareil.
Et quand je sais pas de quoi ça parle je zappe, surtout si c'est long.
Terminé Black Mesa pour la troisième fois mais avec seulement 17/50 de succès débloqués, soit 34 %, donc je ne sais pas si ça compte.
J'ai fini Dark Souls 3 et les DLC. D'abord à la régulière, puis j'ai arrêté à un tiers environ, il y a deux ans, sans jamais le reprendre. Du coup je l'ai repris et terminé cette semaine, en trichant... Et malgré tout, même comme ça, le voyage en valait la peine.
Je pense que j'aurais adoré ce jeu ado (fin 80 début 90), à l'époque où on avait peu de (bons) jeux et où j'aurais pris du plaisir à m'immerger complètement dans ce monde. En maitriser parfaitement les règles, les secrets, les recoins, son histoire cachée.
Un peu comme quand on tombait sur une nouvelle disquette d'un titre obscur, sans connaitre vraiment le jeu, ni sans savoir comment y jouer exactement.
Là, avec pléthore de jeux, le temps un peu plus restreint, je n'avais pas envie de m'y investir plus que ce que j'avais fait au début et je ne regrette pas d'être passé en mode casu pour en voir le bout.
Ces architectures cyclopéennes, le désespoir poisseux à chaque instant, il y a une sacré ambiance.
Non, je ne pense pas. Tu devrais le refaire.
Dernière modification par M.Rick75 ; 15/06/2020 à 02h04.
C'est ce que je suis en train de faire, suis rendu à Power Up. Trop kiffant, c'est Half-Life en mieux avec du bon hardcore vers la fin.
J'ai fini Trials of mana, le remake machin.
Je suppose que c'est bien, si on a 10 ans.
C'était pas si horrible pour un jeu PS2.
Fini Hob
C'était très bien ! Un jeu d'exploration avec quelques combats (la difficulté joue sur l'agressivité des ennemis) plutôt plaisant, joli et très agréable à jouer. +/- 10 heures pour le finir. Je recommande !
Deus Ex GO (Android - 2016)
Puzzle.
Le moins bon de la trilogie, parce que moins complexe que Hitman et moins aventureux que Lara Croft. Les mécaniques sont simples et ne se renouvellent pas assez. Les niveaux sont tous les même d'un point de vu visuelle. L'histoire? Aucune idée, je l'ai zappée dès le second briefing tellement c'était classique et mauvais.
Ça fait passer le temps, mais c'est clairement dispensable.
Fini les dlc de Metro exodus. Les 2 colonels, c'est plus un court film interactif qu'un jeu. On passe les 4/5ème du temps à mater des cinématiques. Heureusement, Sam's story rattrape le coup en reprenant les basiques de la licence avec une durée de vie plutôt correcte.
Fini la campagne solo de Gears5. Certes, les décors sont magnifiques, mais j'ai alterné des fights bien tendus avec quelques phases ennuyeuses. Niveau gameplay, j'ai ragé quelque fois avec le système de couverture, sinon on est en terrain connu.
Un défaut pour moi que je retrouve dans beaucoup de jeu, c'est le niveau de difficulté. En fait, en "normal", c'est un peu la ballade. Mais en difficile, il y a des moments "trop" difficiles. Il me faudrait une difficulté intermédiaire qu'on pourrait appeler "intermexpert" ou "normicile"
Oui j'ai fait Heist dans la foulée du premier Dig. Je ne voulais pas enchaîner avec Dig 2 et je pense que j'ai bien fait. Ils sont trop similaires, la lassitude serait vite apparue.
Heist était vraiment sympa. J'ai notamment apprécié l'absence d'aléatoire par rapport à un XCOM par exemple (la comparaison s'arrête là). Et il est juste assez long.
Sur les boss où je trimais vraiment, je faisais appel à une aide extérieure. Généralement ca aide bien et ca permet d'avancer. Ok, des fois le mec se fait poutrer en 5 secondes mais souvent ca m'a permit d'éviter une trop grosse frustration. D'ailleurs, ensuite sur les boss que je maîtrisais bien j'essayais à mon tour d'aider les joueurs en demande.
Anatidaephobia : Peur panique quand un canard t'observe
Qu'est-ce que tu appelles un soft ban ?
Ton message m'intéresse dans la mesure où j'ai de moins en moins de temps et d'énergie pour finir les jeux à cause de mon boulot très très prenant depuis maintenant un an.
Vu que mes séances de jeu sont souvent très brèves (de l'ordre de moins d'une heure), j'ai du mal à progresser dans les jeux qui exigent un minimum d'investissement et de skill. Du coup, je pense que je vais avoir de plus en plus recours aux difficultés faciles ou aux modes histoire, ce qui devrait m'aider à voir le bout de quelques jeux.
...Voire au cheat codes (d'où ma question sur le softban ).
Et vu que j'anticipe les commentaires des coins coins... Oui je sais qu'en faisant ça je perds une partie de la saveur d'un jeu... mais c'est ça ou je laisse tomber plein de jeux dont l'histoire et le background m'intéressent.
Alors, perso je ne critique pas les gens qui font ce genre de triche car j'en fais moi même partie sur certains type de jeu (Principalement pour diminuer le grind de la mort dans les JRPG avec un X2 XP/Gold par exemple)
Par contre j'avoue que je ne comprends pas l’intérêt de ce genre de triche sur ce genre de jeu ou la difficulté, l'apprentissage des patterns, etc. font partie intégrante de l'expérience.
A la limite ça se transforme en walking simulator du coup, la ballade dans les environnements et la musique suffisent peut être.
Pour tout ce qui est jeu solo, tu n'auras absolument aucun problème. Ici il a eu un "soft-ban" parce que le jeu a des composantes multi, "soft" parce qu'il peut toujours y jouer en solo sans problème.