Au hasard : ne pas... jouer à CS:GO ? Le marché est saturé d'alternatives pour la quasi totalité des genres de jeux. Si la masse de joueurs décroît, le nombre de "baleines" aussi et l'éditeur finit par perdre de l'argent. Bien sûr, tu ouvres un autre front sur ce débat en allant sur le terrain de techniques de manipulation non seulement dégueulasses mais en plus flirtant avec les limites extrêmes de la législation sur les jeux d'argent et de hasard. Évidemment que de telles pratiques doivent être dénoncées en plus d'être boycottées, ne serait-ce que pour que les pouvoirs publics se saisissent de la question. Mais l'enjeu est sans commune mesure avec celui qui nous occupe ici.
Merci, je suis au courant. Je trouve cette condescendance un peu hors de propos, tu dois quand même bien te douter que je ne m'en prends pas au principe d'une contestation mais bien, dans le cas présent, à la disproportion entre celle-ci et son objet. Il me semble que dans cette histoire, la presse indépendante fait correctement son boulot en relayant les critiques légitimes contre Epic tout en nuançant avec un recul que tous les joueurs n'ont pas (par exemple en mettant en perspective avec l'hostilité envers Steam à ses débuts, ou bien avec les conditions financières dans lesquelles les développeurs indépendants créent leurs jeux), et que les points de vue pour ou (surtout) contre trouvent assez largement à s'exprimer à travers les internets. Rien ne me semble donc justifier les actions plus radicales et franchement stupides de certains (insultes, review bombing et autres) au motif que ce serait devenu "le seul moyen de se faire entendre". C'est avant tout à cette phrase de ta part que je réagissais au départ, quelque chose dans la formulation m'avait choqué.Quant à dernière phrase, je t’invite à ouvrir un livre d’histoire et à y réfléchir. Si tu peux écrire sur un forum un jour de semaine, c’est parce qu’un jour, des gens ont gueulé. Sans demander s’ils pouvaient te représenter puisque tu n’étais pas né.