Oui, laisse toi le temps d'une relance en milieu de semaine prochaine. Ca leur laisse le temps de revenir de congés, si ça se trouve ils sont tous partis ensemble
Oui, laisse toi le temps d'une relance en milieu de semaine prochaine. Ca leur laisse le temps de revenir de congés, si ça se trouve ils sont tous partis ensemble
Chaque situation est bien différente en fonction des entreprises et des candidats mais voici ce que j'ai généralement constaté :
- je ne prends jamais pour argent comptant les promesses du type 'on vous donne des nouvelles à telle date max'. Parce que neuf fois sur dix (du moins dans le domaine de la santé, c'est peut-être plus sérieux ailleurs ?), elles ne sont jamais honorées. Par contre quand l'entreprise se tient à peu près au délai qu'elle m'a énoncé, là j'ai tendance à avoir une opinion très positive de la boîte en question, peut-être à tort. Positive au point d'y postuler de nouveau plus tard au besoin. Si le professionnalisme est aux fraises dès la prise de contact, ça n'augure rien de bon pour la suite.
- trois étapes : mail de remerciements le lendemain (où je précise deux ou trois conneries) puis si aucune réponse ne vient, relance une fois par écrit deux semaines plus tard et une toute dernière fois à l'oral une ou deux semaines après la relance écrite. Mais c'est tout. Il n'y a jamais de troisième relance. Si je n'ai pas de nouvelles = next ! C'est ça qui est très dur dans la recherche d'emploi, je trouve, de rester perpétuellement en quête de postes alors même qu'on attend des réponses de précédents entretiens.
Généralement passé le mois de délai sans réponse, c'est mort. Il y a bien eu une fois un hôpital déplorable qui m'a appelé la tronche enfarinée bien six mois après un entretien mais évidemment, je n'étais plus disponible (ce qu'ils ont mal pris d'ailleurs). Il ne faut pas tabler sur ce type de miracle à moins d'avoir vraiment un CV très désirable dans une profession en forte tension.
Vous vous souvenez de mon interrogation sur révéler la transition lors d'un entretien ?
Ben la boite a rappelé pour me proposer un poste (que je ne prévoyais pas d'accepter donc osef), et par manque d'habitude quand la personne au tel a dit "Bonjour [futur prénom], vous allez bien". Je suis tellement pas habituée à ce qu'on m'appelle comme ça dans un cadre pro que mon cerveau a dû fondre un fusible. J'ai répondu "Bonjour, désolée, vous avez dû vous tromper de numéro."
On m'a posé une question aujourd'hui : Nommez un exemple d'une situation problématique qui s'est produite au travail et comment vous avez réussi à la résoudre. et je ne me souvenais de rien. J'espère que cela n'affectera pas trop le résultat.
C'est une question assez classique en entretien (ce qui ne veut pas dire que tu l'as souvent, mais elle fait partie des questions "que l'on voit partout").
Assez facile à travailler pour la prochaine fois.
Si tu sais comment répondre à "Comment ça se fait que vous cherchiez du travail depuis X mois, que vous ayez eu X entretiens et que vous n'ayez toujours rien ?"
Parce que même Pôle emploi me la pose, en disant qu'en gros c'est ma faute ...
Un client a proposé à l'une de mes collaboratrices, du haut de ses 24 ans, par écrit (via Skype, donc avec traces) "un plan à 4 à [ton] prochain passage"
Un autre avait tellement d'élégance et de finesse, du haut de ses 55 ans bien tassés, que j'ai vu une collaboratrice d'à peu près le même âge que la première, mettre une étole avant d'aller en réunion avec lui. "Il fait froid dans la salle ?" "Non, ça va" "OK, je vais venir aussi".
J'ai eu un abandon de poste d'une autre collaboratrice.
J'ai un collaborateur qui s'est déchiré quasi à rupture un tendon d'achille lors d'un déplacement pro.
J'ai un sous-traitant qui a fini en tôle à Doha un soir lors d'un déplacement pro.
J'ai un client qui a dit "oh putain merde fait chier" quand je lui ai annoncé le prochain départ en congé de mat' d'une de mes collaboratrices à Bangalore.
J'ai une collaboratrice qui m'a annoncé son départ en VIE le surlendemain de son arrivée dans mes équipes.
J'ai fait un infarctus au taff à 39 ans.
Je suis parti en congés 2 semaines un été, je suis revenu 10 semaines plus tard parce que je m'étais pété les 2 jambes.
Etc
Si vous avez des manques, je peux offrir des histoires vraies, à broder un poil pour adapter au contexte, mais avec détails et tout, puisque j'étais là quand elles me sont tombées sur la gueule, et qui sont promptes à fournir des situations problématiques qui sont pas de votre faute. Attention, ça ne s'applique pas à "situation d'échec", autre question con courante, ni à challenge particulier.
Mes propos n'engagent personne, même pas moi.
Moi c'était le directeur d'une start-up dans laquelle je bossais qui avanit lancé un "faudrait faire gaffe a ce que personne te pousse dans l'escalier " quand la responsable du dévelkopement electronique lui avait annoncé qu'elle était enceinte.
J'ai eu une collaboratrice en pleur car en déplacement pro y'avait des cafards morts dans sa chambre d'hôtel et une pute qui sucait un mec dans le couloir et une décente de flic dans le cyber café d'en face et qu'elle était émotionnellement a bout... etc
Si tu veux plus d'exemples, balance ^^
Faut qu'on démarre un ouvrage collaboratif, donc.
Mes propos n'engagent personne, même pas moi.
Il y a un topic pour ça.
Avec un éléphant, tu fais 1000 pots de rillettes