Terminé hier (reprise d'une partie avancée au 3/4 en 2018) :
Metro 2033
Mouais, juste mouais.
C'est indéniable que c'était une sacrée démo technique pour l'époque, car à l'heure actuelle le jeu est encore capable de déclencher assez méchamment les ventilos de ma RX 280, mais proposer une sensation FPS aussi gerbante de base (syndrome portage caca), c'était quand même un peu trop osé.
Jeu vanilla, avec juste des tweaks des fichiers de config pour améliorer le FOV et compagnie, sauf que j'avais zappé que les paramètres modifiés ne restaient pas.
Du coup j'ai fini le jeu avec un FOV de 45 et des cisaillements d'écran "horizontaux" (signe d'une synchro qui a sauté, entre autres), par sessions de 30 minutes (plus et c'était détartrage des toilettes), car j'avais omis ce petit détail.
L'horreur quoi, cumulé au flou de base, je crois bien que ma vue a du perdre 2/10 sur cette courte période. Bobo
Purée ce gameplay branlant, jusqu'à l'upgrade des armes ou l'achat de munitions, comment j'ai pu cautionner cela sur mon PC (c'est la sénilité qui frappe ma bonne dame, j'en ai bien peur).
Heureusement, le scénario rattr... Les scènes de chapitres, consistant à spammer la touche entrée rattr... La profondeur de la détresse des habitants des abris, les dialogues qui en découlent, et votre charisme inné permettent de rattr... Les passages pas du tout punitifs en difficulté "difficile", sans possibilité de sauvegarder, quant à eux rattr...
La liberté d'action laissée au joueur, cette valeur sûre, rattr...
Oh wait... Face à des pointures telles que la série STALKER, dont le Call Of Pripyat venait déjà de sortir depuis quelques mois avant Metro, un si bon accueil de la part de la presse en l'état, c'était juste incompréhensible.