Quinzomadaire collerait le mieux pour bimensuel, là où ce devrait plutôt être quatorzomadaire pour toutes les deux semaines.
Quinzomadaire collerait le mieux pour bimensuel, là où ce devrait plutôt être quatorzomadaire pour toutes les deux semaines.
Tiens, j'ai été pris d'un horrible doute en produisant image de promotion et j'ai appris un truc assez nouveau : placage et plaquage.
http://www.tv5mondeplus.com/video/16...laquage-498828
En bref, placage -> pour le recouvrement de matière ; plaquage -> pour le rugby et sa copine
Confondre miméxuel et mi-mensuel.
En 2016.
En France.
La patrie des fromages.
Tiens, entre deux bêtises, j'en profite pour remercier celui ou celle qui avait recommandé la chaîne Linguisticae.
Même si le gars donne un peu l'impression qu'il t'en veut personnellement, ça reste plaisant et me rappelle les efforts de sieur Cerquiglini en son temps.
Bisou, donc.
En parlant de Linguisticae, j'adore la subtile ironie qui exsude de ses vidéos où il tente de dénoncer fermement à chaque détour le pédantisme alors qu'il en est un exemple vivant. Il n'est pas aidé par les arguments pour le moins bancals qu'il avance sans sourciller de temps à autre.
Mais l'un dans l'autre c'est pas mal du tout si on ne prend pas ce qu'il dit pour parole d’évangile.
Comment on appelle ce procédé rhétorique qui consiste à présenter un défaut comme une qualité (ou plus généralement, reformuler un problème à son avantage) et à se donner le beau rôle dans la foulée ou mettre un tacle à son interlocuteur ?
Exemple : « Dwarf Fortress n'est pas une insulte à l'ergonomie et la didactique, c'est juste qu'il est profond, exigeant et pas fait pour ceux qui veulent tout tout de suite et qu'on leur mâche le travail. »
Dernière modification par DeadFish ; 08/08/2016 à 11h32.
Ça me fait penser à l'argument ad hominem. En gros, tu discrédites ton interlocuteur de manière plus ou mois justifiée, parfois sur un sujet qui n'a rien à voir, du coup la moindre de ses paroles n'a plus de valeur.
Mais il y a sans doute un terme plus exact pour ce genre de figure.
un argument de l'homme de paille ? tu réponds à côté pour déplacer le débat.
tu parles plus du bon sens de ton ergonomie mais du bien de l'exigence que ça requiert.
Je pige pas son truc du singulier/pluriel au niveau "des cours".
Il faut que je fasse un gâteau / il faut que je fais des cookies ?
Par contre pour moi il a raison. Le subjonctif s'utilise pour quelque chose qui pourrait se réaliser, une hypothèse, donc selon moi pas de subjonctif présent, même si c'est moche.
Sa phrase veut rien dire à la base...
Euh, "tu m'étonnes que" n'est à la base pas une expression correcte, alors discuter du subjonctif ou de l'indicatif pour la proposition subordonnée est un peu absurde.
Etonner est un verbe transitif direct (le COD est "m'") il n'est pas censé introduire une subordonnée complétive.
Mdt dit vrai. Néanmoins si l'on remplace par une formule équivalente et utilisée dans le langage courant, comme "bien sûr/évidemment que", on utilise l'indicatif.
Le sous-forum Blood Bowl, le topic du basket, le topic des jeux de baston Arc System Works, le topic de l'actual... ah non, merde.
Hôte et animateur du topic rugby : on n'a pas gagné la Coupe du Monde () mais on est toujours là !
On peut très bien utiliser l'indicatif avec "ne pas croire". Ça dépend du contexte. On utilisera le subjonctif pour noter un doute ou une simple possibilité et l'indicatif pour exprimer un fait avéré.
Edit : c'est pas forcément clair ce que je raconte, je donne un exemple.
Pendant le procès d'un criminel, on n'est sûr de rien mais j'exprime mon doute : "je ne crois pas qu'il soit coupable" (subjonctif)
Au moment du verdict, l'accusé est reconnu coupable (c'est un fait) mais je refuse toujours de le croire : "je ne crois pas qu'il est coupable" (indicatif)
Dernière modification par Anonyme112 ; 12/08/2016 à 05h13.
Clarifions.
Le subjonctif s'utilise pour quelque chose de... subjectif. Une action qui est douteuse, ou supposée ou désirée ou liée à un sentiment.
Ex : il faudrait que j'y sois allé.
Il faut que j'aille m'acheter du tofu.
Le conditionnel s'utilise pour une action soumise à une condition ou qui n'est pas certaine, ou encore par politesse.
Ex : si j'avais suj'aurais pas venuje ne serais pas venu.
Je voudrais un peu de tofu, s'il vous plaît.
Dans le doute, faire à l'instinct.
qu'il eut fallu que j'y fusse allé ?
Mais je veux bien croire que ce bout de phrase est bien trop tronçonné pour faire sens en lui-même, reformulons donc.
Pour que je te parle correctement de Lyon et de sa région, il faudrait que j'y sois allé.
Variante :
Pour connaître Lyon, encore faudrait-il que j'y sois allé.
Ici on a du conditionnel passé, le conditionnel plus que parfait est le suivant : Pour connaître Lyon, il aurait fallu que j'y fusse allé.
Ça vous parle plus ?
Maintenant je peux me planter, c'est pas exclu, mais perso cela me parait cohérent.
EDIT : vu que vous m'avez filé un méchant doute bande de canailloux, je viens de vérifier avec ceci : http://grammaire.reverso.net/1_1_18_...es_temps.shtml
Est bien considéré comme correcte une subordonnée au subjonctif au passé dans une principale au présent du conditionnel (parce que oui dans ma phrase d'exemple il y a et du conditionnel et du subjonctif ).
Dernière modification par Grosnours ; 12/08/2016 à 19h27.