Tiens ça me rappelle cette fois où une patiente a failli me chier dessus pendant la douche
Tiens ça me rappelle cette fois où une patiente a failli me chier dessus pendant la douche
Je l'ai dit tout à l'heure à une de nos 2 responsables de semestre, elle m'a regardé avec de grands yeux et a notamment dit "c'est très décevant". Et comme demain PM c'est notre évaluation/bilan de semestre, ça va chier
Bon cela dit, y a encore plus drôle : y a donc plusieurs groupes avec 1 psy à leur tête. L'une d'elles est la fille de notre directrice. Une camarade raconte elle aussi une anecdote marquante (dont j'ignore tout). La psy est allée en parler à sa mère. Qui est allée chercher la camarade dans la cour, à 17h passées, alors qu'elle partait. Cette dernière lui explique qu'elle n'a pas le temps, la directrice lui rétorque qu'elle lui demande de venir dans son bureau en sa qualité de directrice de formation. La camarade fait le lien immédiatement, et lui rétorque que c'est beau, le secret professionnel entre professionnels :smile:
Je sais pas quelle fut la conséquence, par contre je sais qu'elle rase les murs depuis, contrairement à son habitude (grande gueule).
Non mais ... faire confiance à un psy, faut être naïf aussi.
Bha c'est surtout dans ce genre de cadre informel où il n'y a pas de vrai relation psy/patient, faut être un peu tête brûlée pour aller se livrer comme ça.
Le truc c'est qu'un IFSI est un cadre formel justement
Dans le mien on nous a clairement précisé que ce qui était dit dans le cadre de réunions individuelles ou en groupes restreints, ne sortait pas de la pièce (sauf à l'initiative de l'étudiant concerné). Dès le 1er jour des études on nous briefe sur le secret professionnel, alors voir une psy qui s'assoit dessus ça me laisse rêveuse :smile:
Ha bha des psy qui s'assoient sur la déontologie ça existe oui. Maintenant vu que Anton parle finalement de "on dit", je préférais ne pas réagir sur le fond.
Sinon, dans un cadre formel, le secret pro n'est jamais total, notamment pour pouvoir communiquer avec les autres "soignants". Donc, selon ce qu'à pu raconter l'élève, la psy a pu juger utile de le communiquer à la directrice, peut-être dans son propre intérêt.
Ou c'est juste une buse, j'en connais aussi.
J'ai été marié à une psy,c'est une croix que je porterais à vie,mais pour ce qui est du secret professionnel de ces gens là autant afficher tes secrets en 4x3 sur les murs de la ville ou sur ton mur facebook(ou passer à "Confessions Intimes" )
"Not riding to keep the miles low for resale value is like not drilling your girlfriend to keep her tight for the next guy"
Le genre où mieux vaut éviter les problèmes d'érection, sinon tu pars sur 3 semaines de psychanalyse ? Avoue, c'est pour ça que tu t'es barré
J'ose espérer qu'au moins certains d'entre eux prennent leur travail et surtout cet engagement un minimum au sérieux...
Je sais que si j'avais été dans la situation d'Anton, j'aurais très mal réagi en voyant que le secret médical lui avait servi pour se torcher quelques heures après.
Attention, le secret médical c'est quelque chose de très spécifique. Les psy(chologues) sont eux soumis au secret pro.
Il a été statué que les psychologues étaient eux aussi soumis à l'obligation du secret professionnel, donc théoriquement ils pourraient être poursuivis en justice en cas de non respect.
Mais sinon, oui, je connais au moins un psy qui prend son travail au sérieux et qui ne raconte rien de son boulot sauf quand elle est menacée par un type avec un sabre.
Encore que raconter des anecdotes sur des patients sans les nommer ou les désigner n'entre pas en conflit avec le secret pro.
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Pas faux, ça pourrait être au moins utile de le rappeler à la personne en cause, enfin si il y a bien eu divulgation.
Je sais pas pour les psy, mais dans le cadre médical on est en plein dedans. Il est juridiquement interdit dans le cadre du secret professionnel de divulguer quoi que ce soit du dossier médical ou de soin, pouvant permettre lien ou identification avec un patient, en-dehors du cadre médical (établissement de soins).
Le genre de cas illustratif le plus emblématique est les AS/IDE discutant d'un patient sans le nommer dans un transport en commun, et la famille y est aussi, ce que les premiers ignorent
Il reste à prouver que les éléments utilisés permettent d'établir le lien ou l'identification. Si la chose est faite intelligemment et dans un traité théorique par exemple ça peut passer. E t puis bon pour faire progresser la médecine il faut avoir des éléments de comparaison et des cas concrets sur lesquels s'appuyer.
Par contre il y a des conférences de psy diffusées sur youtube qui sont très "descriptives" et pourraient faire tiquer les patients sans aucun doute.
Y a pas à prouver, y a déjà eu. D'où jurisprudence à la législation, d'où cadre strict Tu parles pas des patients une fois le petit orteil posé en-dehors de ton établissement de santé.
Art. L. 1110-4 CSP, article 4 du décret du 16 février 1993, etc etc etc.
Le mec il respecte la lois
Moi tu sais ce que j'en dis, les lois c'est comme les femmes... bref voilà
Meh
Petit GCDJ, spéciale dédicasse à Vuzi.
La Alleumanteu dans son Vito sur l'autoroute, bande de gauche, à 70km/h. Personne devant. Appel de phare, no reaction. Redo. Se rabat. Mais reste sur la bande du milieu, toujours à 70, malgré la circulation.
(Et non, y'a pas de limitation à cet endroit)
C'est l'Afrique...
Y'a pas de pwoblèmes mon frère que des solutions.