Mais comment est-ce qu'ils pourraient garantir un certain nombre de précommandes ?
Mais comment est-ce qu'ils pourraient garantir un certain nombre de précommandes ?
Globalement, tout ce que vous dites me conforte dans mon avis.
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En les achetant eux-mêmes ? D'où le "Et si le chèque d'Epic était fourni sous cette forme de ventes garanties ?" qu'en gros ils paieraient d'avance la somme correspondant à un certain nb de commandes, ou en payant la différence si ce nombre n'est pas atteint.
Encore une fois, ce sont des interrogations que je lis et des explications possibles.
C'est un effet de manche, tu peux pas comprendre
Ce sont plus que des interrogations puisque le sujet avait déjà été abordé en mars dernier par les développeurs de phoenix point :
https://www.thegamer.com/epic-store-...e-exclusivity/
Tel quel, c'est gagnant-gagnant. Epic s'assure une exclusivité et ne doit sortir le carnet de chèques qu'en cas de plantage.The community manager went on to clarify the terms of the deal, saying that Epic's promise didn't come in the form of a single paycheck. Instead it was "for a minimum guarantee - which means Epic will guarantee that we will sell X number of copies. Even if we don't hit that number, they still pay us."
Ben ? C'est comme ça que marche le milieu depuis un moment. Tu fais ta négo sur les quantités en vendant un nombre de préco potentielles, et si c'est pas atteint, tu payes le retour/destruction des produits. (En très très gros, me brûler pas les acheteurs hein)
Je suppose qu'ils ont appliqués la même logique au démat, avec des estimations basées sur des études de marché. C'est pas hyper compliqué à élaborer, tu prends ta base de client, tu cross avec le taux d'intérêt pour le genre en question et la licence, la période de vente et les résultats habituels pour des jeux de ce type/envergure, tu mets tout ça dans un beau excel, et tu fous le résultat dans un beau ppt avec des couleurs.
And voilà !
Ce que vous décrivez, ce n'est pas "garantir un nombre de précommandes", c'est "garantir un montant de revenus". Ruvon disait que, en garantissant un certain nombre de précommandes, l'éditeur pouvait ensuite se vanter du nombre de ventes. Si l'EGS se contente de filer du pognon dans le cas où les ventes sont trop faibles, ça n'équivaut pas à des ventes, juste à du pognon.
Bref, si l'EGS garantit à un jeu 100K précommandes, mais que celui-ci n'est précommandé qu'en 60K exemplaires, est-ce qu'ils "achètent" réellement 40K copies eux-même pour compenser, afin que l'éditeur puisse dire "on a vendu 100K copies" ? N'est-ce pas illégal de gonfler ainsi ses chiffres ?
Globalement, tout ce que vous dites me conforte dans mon avis.
Je posais la question sur le nombre de ventes parce qu'on a eu droit à des opé com qui nous vantaient des volumes de vente (genre Metro Exodus 2,5x ceux du précédent au lancement) sans donner de chiffres, et que la com autour de l'EGS n'a pas toujours été très claire (encore Metro Exodus en "exclu" mais dispo sur le game pass, donc c'était juste pour faire un doigt à Steam sans le dire).
Et je parlais de ça parce que j'ai vu la discussion ailleurs et que ça se rapprochait de ce que venait de dire Pierronamix. Je dis pas que c'est le cas, d'ailleurs, si ce sont des conclusions hâtives je serais heureux de le savoir aussi Merci d'ailleurs pour les précisions apportées.
Sweeney a déjà répondu sur ce point en précisant que les chiffres de vente annoncés sont bien des exemplaires effectivement vendus (par exemple WWZ et Satisfactory). Je n'ai plus le tweet sous la main, mais c'est passé ici ou dans le topic EGS. Cela ne lève bien entendu aucun voile sur les ventes effectives de Metro Exodus, dont l'éditeur a simplement annoncé que le revenu généré était supérieur aux opus précédents sur la même période (donc impossible de savoir si c'est avant ou après compensation par Epic).
La parole de Sweeney, il a décidé de s'assurer qu'on n'y accorde aucune valeur avec ses déclarations devant la commission l'autre jour...
Y'a pas de raison de douter des résultats relatifs des ventes démat PC de Metro Exodus annoncés sur la 1ere semaine. Les gens achètent plus en démat' en 2019 qu'en 2013, big news.
Ça ne veut pas dire pour autant que le jeu est un carton sur PC (et visiblement c'était pas le cas avant non plus). Et bien entendu ça ne présage pas des chiffres de ventes qui auraient été obtenus sur Steam.
Et bien entendu bis, les précommandes sont probablement comptabilisées à part.
C'est tellement cool que je vous conseille de ne pas regarder la vidéo et d'attendre que ça sorte, mais voilà :
Histoire de remuer avec amour le couteau que constitue une décennie entière sans la moindre nouvelle de cette série.
Je la classerais quand même plus haut que celle des Jean-Michel Journalisme J.V. qui ne doutent pas un instant que plusieurs studios, éditeurs et un distributeur coté en bourse puissent mentir de concert pour annoncer des chiffres de ventes bidon et des résultats trafiqués sans s'exposer à d'énormes emmerdes. Pour le coup, je ne trouve pas que ce complotisme de comptoir fasse beaucoup avancer la cause du front anti-Epic, qui ne manque pourtant pas de vrais arguments pour critiquer cette plateforme. Ça a beau être de la merde, il va bien falloir admettre qu'ils ont (probablement) bel et bien vendu 500 000 exemplaires de Satisfactory dessus, ce qui semble indiquer que le manque de fonctionnalités et la politique commerciale agressive ne sont pas forcément le repoussoir qu'on imagine.
Ils s’appliqueraient à eux même ce que Galyonkin (donc eux, il bossait déjà chez Epic à l’époque) a fait avec Steam Spy, ils prêteraient un peu moins le flanc aux interrogations. Mais manifestement, dans ce domaine comme dans les autres, ils ont décidés d’appliquer la bonne vieille devise « faites ce que je dis... »
Sans tomber dans le complotisme, c'est quand même assez traditionnel dans le JV de ne pas fournir de chiffres de ventes fiables. Sans ça, y avait aucun intérêt à concevoir SteamSpy. Donc la méfiance elle est largement alimentée (pas que dans le JV, ceci dit ...) à partir de là des déclarations sur twitter, souvent aussi opportunes qu'invérifiables, ça n'engage quand même pas énormément de risques juridiques manifestement.
Même quand Elon Musk a raconté des énormités sur Twitter, ça n'a finalement pas eu énormément de conséquences au regard des sommes en jeu.
Bref : on ne sait rien. Mais tout le monde parle beaucoup.
Ce qui est assez traditionnel, c'est de ne pas fournir de chiffres du tout. On en sort pour se la péter quand ils sont bons, sinon on évite de faire trop de bruit.
On tourne en rond là :
à partir du moment où ces chiffres sont absolument invérifiables : comment s'assurer que l'information n'est pas justement donnée uniquement pour se la péter (i.e. : rassurer les investisseurs) quitte à ce qu'elle soit fantaisiste ? On peut pas.
En fait, la seule chose dont on soit absolument sûr avec ce genre d'infos presqu'officielle délivrées par tweets et qui sont traditionnellement tenues secrètes : c'est que c'est fait pour se la péter.
On enterre les restes d'OUYA aujourd'hui. Mais si, OUYA, rappelez-vous :
Dernière modification par DeadFish ; 25/06/2019 à 20h22.
Quitte à tourner en rond, je remets une pièce : j'imagine que des chiffres fantaisistes seraient rapidement "repérés" dans le milieu (les gros distributeurs voient bien si un jeu se vend ou pas) et décrédibiliseraient fortement l'éditeur qui s'y risquerait. Après, c'est le même problème : ce raisonnement fonctionne avec les circuits classiques, beaucoup moins dès qu'il s'agit de démat' sur Steam (ou désormais Epic) du fait de la position dominante d'un distributeur unique.
et quand bien même : imaginons qu'il n'y ai pas d'exclu et y aurait juste deux gros distributeurs, Steam et Epic : si l'un qui ment dit "on a super bien vendu le jeu" l'autre n'aura aucun intérêt à dire que ce n'est pas le cas de son côté, et d'autant moins si c'est vrai, de risque de pousser d'autres éditeurs à privilégier son concurrent plus performant.
Enfin bref ... si le monde des affaires était transparent et si twitter était fiable, ça se saurait.
Un mot pour conclure : covfefe
Un jeu a venir! Produit par une boite Francaise fondé par un ancien d'Amplitude
https://www.pcgamer.com/solasta-crow...-tactical-rpg/
En tout cas, ce n'est pas le directeur artistique des jeux Endless.
Quand j'ai lu "tactical", j'étais intrigué puis j'ai lu "crpg D&D-style" et je suis retourné sur XCOM 2.
C'est méchant mais que je veux une " expérience jeu de rôle papier"...bah je joue au jeu de rôle papier.
En plus, les règles D&D, j'ai une tendance à les envoyer chier avec le MJ de façon régulière.
Toute la différence entre un joueur de Ad&D et de Warhammer !
Il etait juste co-fondateur du studio !En tout cas, ce n'est pas le directeur artistique des jeux Endless.
J'ai trouvé ça original comme base pour leur jeu, a voir une fois finiMais c'est que ça a l'air bien cool cette affaire ! La verticalité et la lumière là, ça me chauffe.
Si c'est bien du tour par tour et pas cette saloperie de pause active, on devrait être bon.