Ah mais en fait c'est très bien Gunpoint dans le genre petit jeu (ça sent le jeu mobile quand même)
Je sais même plus comment il est arrivé dans mon backlog lui ...
J'aurais bientôt dépassé la moitié de System Shock 2. L'ambiance est vraiment trop chouette, mais le reste est trop daté et je n'ai pas le levier de la nostalgie pour m'aider. Honnêtement je le rush comme un bourrin : j'esquive les bagarres en courant à fond, je vais direct aux objectifs, j'écoute plus les audio logs...
Si je l'avais découvert à l'époque de sa sortie je pense qu'il m'aurait rendu dingue et que je le citerais à toutes les sauces encore aujourd'hui.
Ce qui est marrant avec cet event c'est que ça me donne envie de jouer à des petits jeux Steam qui ne sont même pas sur ma liste
J'ai fait You have to win the game entre Antichamber et This War of mine et là je vais faire Shank 2 avant d'attaquer Mark of the Ninja !
J'avance bien sur Max Payne 3, et c'est excellent, je m'éclate (et j'éclate tout le monde) comme un petit fou
Proche de la fin de la campagne de Brigador (il doit me rester 2 missions) je me suis mis sur Sleeping Dogs pour changer.
Je fais n'importe quoi : je gratte toutes les petites missions à la con, les courses, le moindre machin qui traine sur la map... et de temps en temps j'avance sur la quête principale C'est GTA à Hong Kong, avec les mêmes défauts, maniabilité nawak, t'es flic infiltré mais np tu peux arpenter les trottoirs en écrasant tous les passants, bref c'est l'anarchie mais c'est pas désagréable, plutôt joli, une OST très correcte avec du Opeth qui fait plaisir...
Pas près de le finir à ce rythme là
Bravo ! Vu ton enthousiasme sur ton premier retour je ne pensais pas que tu le finirais, surtout que la difficulté augmente bien sur la fin.
Côté design et ambiance dans Furi, comme le disait Etienne, "ça ne laisse pas indifférent". Ca n'est pas vraiment mon style mais ça reste agréable à regarder. Gros plus pour la musique qui rythme bien le jeu. Pour ce qui est de faire un combat par session, j'en suis très loin. J'ai mal à mon amour propre. Je galère à fond mais je n'ai pas envie de lacher l'affaire. Il m'aura bien fallu 3 heures et 5 séances pour arriver battre le maitre du temps. Je viens d'entamer le quatrième, les phases à distance sont assez simples, mais la vitesse de réaction nécessaire pour éviter les zones rouges au corps à corps me fait vraiment peur. Et surtout je n'arrive toujours pas à avoir la bonne synchro du contre pour bloquer une attaque, et c'est assez frustrant d'en réussir trois d'affilés pour en rater six derrières
Comme j'ai l'impression qu'il me faudra tout le mois pour le terminer - si j'y arrive -, j'ai commencé en parallèle Endless Legend. La c'est du tout bon, je retrouve bien mes marques par rapport à Endless space et et je suis bien parti pour rouler sur tout le monde. La seule difficulté va finalement être de ne pas trop y plonger pour laisser du temps aux autres jeux
J'vous raconte pas comment ça me fait chier que owlboy soit un jeu à boss au lieu d'être un jeu d'aventure/plateforme sympa...
Mes reviews sont sur Steam.
Celui-là, j'avais trop, trop envie de l'aimer, avec ses graphismes mimi et sa super bonne note CPC, mais j'y suis pas arrivé.
Le rythme tout mou (passer parfois d'écran en écran avec une transition comme dans un Zelda d'il y a 20 ans sur Nes, non merci), la maniabilité un peu bizarre, l'histoire qui casse pas des briques avec un protagoniste muet et enfin, les boss qui moi aussi en général me cassent les b..., tout ça m'a bien refroidi et j'ai dû me forcer pour avancer.
Et puis est arrivé le crachat final à la gueule : j'ai perdu (je ne sais comment) ma sauvegarde après avoir joué 10 ou 12 heures, même le Steam cloud, plus rien, podzob-nada et je l'ai pris comme un signe du destin qu'il fallait que j'abandonne ce jeu.
Bon courage pour le finir.
Mais comment définir un jeu ? Voilà une question au moins aussi épineuse que "faire caca dans un musée, est-ce de l’art ?" ou "les chanteurs de J-pop ont-ils une âme ?" - Guy Moquette (CPC 301, 14/07/2014)
Venez voir mon site, Geek Passion, avec entre autres : Mon super casse brique - The Witcher 3 en 360°.
Venez vider votre backlog grâce aux events du backlog sur cpc-backlog-event.
Je suis en plein dedans (enfin je suis plus proche de la fin que du début je pense) et vous confirmez mon sentiment. C'est effectivement assez mou dans le jeu, la faute au fait que ça soit pas vraiment un jeu de plateforme et qu'on vole : aucune sensation de poids dans le personnage. Les armes aussi sont assez molles. Les combats ne sont pas particulièrement intéressants (et les transitions d'écrans qui te balancent sur un ennemi, superbe idée...), le level-design pas inspiré et même les graphismes... Oui, c'est beau, sauf que au sein d'une même zone tout se ressemble (et pour peu qu'il n'y ait qu'un type d'ennemis..., c'est à vous que je pense...) Et les boss "beat'em all" qui se contente d'envoyer vingt vagues du même ennemi d'affilée...Spoiler Alert!
Le plus incroyable, c'est que malgré tout je ne passe pas un mauvais moment et j'avance bien dans le jeu, mais c'est tellement loin de ce que j'espérais...
Attends d'arriver à la course du canon. C'est exactement ce que je n'aime pas dans ce genre de façon de développer: ce n'est pas de la difficulté ou du challenge, c'est du pixel perfect.
En gros, les devs attendent de toi que tu sois une machine, qui appuies sur la bonne touche pile au bon moment. Pas 0,1sec avant ou après, sinon tu meurs.
Dans cette course, en gros, tu voles et tu te prends un mur parce que tu as appuyé 1/4 de seconde trop tard. Tu recommences depuis le début, tu passes l'endroit et tu te prends un mur parce que tu as appuyé 1/4 de seconde trop tôt. Tu recommences depuis le début, tu passes les deux endroits difficiles, et tu te prends un mur parce que tu as appuyé 1/8 de seconde trop tôt. Tu recommences depuis le début.
Oui, j'ai try au moins 200 fois. Avec la musique qui recommence en boucle à chaque fois que tu recommences. Avec la moindre petite erreur ou hésitation qui te fait TOUT recommencer depuis le début. Et avoir 100% bon, du premier coup, tout du long d'un truc d'une traite.
Bon dieu que ça me sort par les trous de nez ce genre de pratiques...
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Après, sur les graphismes, moi j'aime pas. Clairement. Mais c'est un choix artistique, donc bon, pourquoi pas.
Et les dialogues ne me dérange pas outre mesure. Les bruitages sont sympas et je trouve que c'est écrit avec pas mal d'humour. Par contre, j'en ai un peu ras le bol d'appuyer sur espace à chaque fin de dialogue pour passer au dialogue suivant, ça aurait pu être plus dans l'esprit cinématique. Que je puisse rouler ma clope tout en suivant l'histoire, quoi. Parce que rouler à une main pendant que l'autre appuie frénétiquement sur espace (oui parce que comme souvent, le défilement est trop lent, j'ai le temps de lire 3x chaque phrase), c'est chiant.
L'impression de vol ne me déplaît pas et je ne trouve pas ça relativement mou. Au contraire, je trouve plutôt inventif le fait de, et certains passages sont épiques. Tu enlèves les boss qui servent à rien, la course des canons, et tu as un jeu plutôt sympa. Mais là, en l'état, je passe la moitié de mon temps à me dire: "chouette" et l'autre moitié "punaise qu'est-ce que c'est chiant et punitif ce truc".Spoiler Alert!
On est loin d'un Ori & The Blind Forest, qui était parfaitement dosé.
Mes reviews sont sur Steam.
Je viens de me lancer dans FTL, c'est sympa et bien moins compliqué que prévus. D'ailleurs j'ai faillis finir une run au bout du quatrième essais mais... La deuxième phase du boss de fin a ruiné la coque de mon vaisseau et tous mes membres d'équipage (6) sont mort d'un coup de manque d'oxygène (après avoir fini la deuxième phase).
Du coup j'ai un peu les boules, je m'y remettrai plus tard.
Sinon Braid, je n'aime toujours pas. Je n'aime pas la DA, l'histoire on s'en fout et t'as l'impression de tout le temps refaire la même chose mais je le finirai quand même pour l'event, puis je l’oublierai à tout jamais.
J'ai trouvé Ori moyen aussi
Mais au moins on s'y amuse sur les phases de plateforme !
Du coup j'ai terminé Owlboy et je n'en garderai pas un souvenir impérissable...
Pour la course de canon, j'imagine que tu fais référence au truc lié aux pingouins (les repompes de Prinny...), je suis d'accord que c'est une très mauvaise phase de jeu mais elle n'est pas obligatoire hein ! J'ai fait une dizaine d'essais avant d'abandonner parce que je trouvais ça nul et bêtement dur.
La preuve de fin :
Spoiler Alert!
Tu joues dans quel mode de difficulté ? En normal, et à fortiori en facile, ce n'est pas un jeu extrêmement difficile (ça ne veut pas dire qu'il est facile pour autant) je trouve... jusqu'au boss de fin. Il me semble avoir lu récemment sur le topic du jeu quelqu'un disant que tout le jeu consistait à préparer son vaisseau pour ce dernier boss justement. Donc tu devrais peut-être commencer à galérer un peu
Vous confirmez tous mes impressions initiales vis à vis de owlboy. J'avais acheté le jeu à la sortie un peu pour soutenir le développeur (et probablement parce qu'il y avait une promo aussi ) mais j'avais vite été un peu rebuté par le gameplay.
Vu ce que je lis ici, je me dis qu'il y a peu de chances que je m'y remette.
J'avance lentement mais sûrement sur Shardlight et, là aussi, il n'y a pas que du bien à en dire.
Le jeu possède une véritable atmosphère et un personnage principal plutôt sympathique mais il reprend à son compte tous les travers et poncifs bien connus du genre.
Je veux bien passer sur l'absence d'aide vu qu'il n'y a pas tant d'objets que ça avec lesquels interagir mais j'ai plus de mal à excuser les passages qui forcent à refaire quatre ou cinq fois le même truc avant de miraculeusement débloquer une solution.
De la même manière, je suis assez peu friand des indices bidons qui semblent pointer vers une résolution d'énigme qui n'est pas du tout la bonne. Sans compter que la difficulté des énigmes est en dents de scie.
Plus globalement, je me rends compte que j'adorais le genre à l'époque mais que j'ai définitivement de plus en plus de mal à l'apprécier au fur et à mesure des années.
A une époque où des jeux comme the Witcher, Fallout ou encore AC origins offrent au joueur la possibilité de partir à l'aventure sur un terrain de jeu immense, il est difficile de s'enthousiasmer sur celui qui tente de décrire un futur dystopique en une dizaine d'écran plus ou moins vides.
Malgré ses qualités très réelles, il est aujourd'hui difficile de voir en le Point & click autre chose qu'une relique glorieuse mais un peu poussiéreuse de ce beau média.
Dernière modification par Baalim ; 09/02/2018 à 09h19. Motif: A une époque où des jeux comme the Witcher, fallout ou AC origins offrent au joueur la possibilité de partir à l'aventure sur
Arf j'ai pris le humble juste pour Owlboy, bon un pote m'en avait déjà dit du mal, mais maintenant; au moins, je ne pourrai être qu'agréablement surpris vu que je suis complètement déhypé... Ca m'a quand même l'air joli...
FTL moi j'ai quand même galéré déjà pour atteindre le boss en facile. Mais bon, c'est comme Isaac et autres roguelike : battre le boss une fois, c'est qu'un petit pourcentage du jeu. Mais j'ai réussi à décrocher, merci l'event du backlog !
Faut pas pousser non plus, Owlboy c'est quand même très sympa quand on a pas été mordu par un boss méchant pendant son enfance.
Alors ouais, c'est pas un platformer (sauf à la fin, ce qui est étrange en terme de design mais passons) vu qu'on vole tout le temps et c'est ultra linéaire donc c'est pas un metroid non plus. Mais c'est beau, ça répond bien (au pad, j'ai pas testé au clavier), et c'est pas franchement difficile (allez, un boss un peu technique et un rageant parce qu'un peu trop aléatoire).Spoiler Alert!
Oui il a des défauts, mais ça reste une belle balade. Plus 7/10 que 9/10 quoi.
vévévé.alamain.info, mais oui, mais oui, mais oui ! C'est moche, mais on s'enfout !
J'ai fait ma première partie en normal et, parce que je me suis violemment fait roulé dessus dès le secteur 3, j'ai fait les trois autres en facile.
La clé c'est d'avoir un combo d'arme puissant et pour ça il faut un max de scrap. dans ma partie qui est allé loin j'avais une arme niveau 3 pour détruire les bouclier, un laser pour découper le plus possible le vaisseau ennemie juste derrière et une bombe à ion pour rendre leur arme à moitié inopérante, j'avais un truc qui faisait que mes armes était toujours chargé dès le début ce qui aide énormément à finir un combat avant qu'il commence et un drone de réparation.
Le truc c'est que j'ai très mal réagis sur la deuxième phase du boss parce qu'au lieu de me concentrer sur l'oxygène et les réparation pour tenir, j'avais enfermé tout le monde à l'avant et ouvert toute les portes pensant que je pourrais tuer l'intrus par manque d'oxygène... Intrus qui était un drone robot.
Le temps que je me rende compte de ma stupidité, c'était déjà trop tard "mais pourquoi tu ne meurt pas saloperie! ".
C'est dommage que tu ne suives pas l'histoire, c'est très poétique et philosophique. Chaque énigme est complètement différente, j'avoue ne pas comprendre comment tu peux refaire la même chose. Et quant à la vraie fin, certaines énigmes sont tellement tordues, que même en ayant trouvé ce qu'il faut faire, je n'y arrive pas tant le timing est précis. C'est triste que tu n'apprécies pas ce genre
Si, il peut le lire, on voit le post de l'ignoré et le forum propose de "désignorer" ou de regarder le post tout en gardant l'ignoritude.
Ca sent le vécu
Pour ma part, je viens de finir Fran Bow, un excellent point & Click ! A se demander pourquoi il dormait depuis si longtemps dans mon backlog... On y incarne Fran Bow, une petite fille dont les parents ont été massacrés à l'arme blanche et qui se retrouve coincée dans un hôpital psychiatrique. Son seul désir : fuir pour retrouver son Chat adoré Mr. Midnight, et rejoindre sa tante Grace. D'étranges pilules rouges lui permettent d'entrer dans une réalité alternative (ou bien s'agit-il d'hallucinations ?), ce qui l'aidera à échapper à ses gardiens.
L'influence évidente, c'est bien sur Alice aux Pays des Merveilles. Comme Alice, Fran part à la recherche de son chat, elle rencontre en chemin des créatures anthropomorphes (insectes ou animaux) à la logique dévoyée, elle doit franchir des portes fermées à clé et chute dans des précipices... Son caractère même évoque celui de l'héroïne de Lewis Caroll : polie, curieuse et raisonneuse, elle cherche toujours a apporter un semblant de cohérence aux événements fantastiques qui la ballotent d'un univers dément à l'autre.
Mais voilà : il y a quelque chose de pourrie au royaume de Fran Bow. Et en général, il s'agit de têtes coupées aux orbites caves ou d'entrailles sanguinolentes... Les pilules de Fran révèlent à ses yeux une réalité décomposée, où s'entassent les cadavres, les messages déprimants et les ombres menaçantes. Pour reprendre l'analogie avec Alice, on est plus dans l'adaptation de Jan Svankmajer (film génial que je conseille à tous les amateurs d'étrange) que dans celle de Tim Burton. Même les commentaires de Fran, souvent empreints d'une candeur et d'une imagination rafraichissante, dérapent toujours en réflexions morbides, déconcertantes, qui provoquent un certain malaise.
Je craignais un jeu d'aventure sans énigmes ou presque, comme c'est trop souvent dans le genre, mais Fran Bow a ce qu'il faut : un inventaire souvent fourni, des associations d'objets insolites, quelques puzzles... L'ensemble reste facile sans être inintéressant, grâce au système des réalités alternatives qui offre une dose d'originalité. A chaque fin de chapitre, il y a aussi quelques séquences arcades facultatives, pour varier un peu le gameplay. Mon seul regret vient du manque de progression : les énigmes du dernier chapitre sont presque plus faciles que celles du premier, ce qui ternie un peu l'impression d'accomplissement.
On regrettera également l'absence de doublage, du à un budget riquiqui (le jeu a été fait par deux personnes !), mais le style graphique s'avère suffisamment fort et unique pour créer une ambiance inoubliable. Enfin, Fran Bow se prête beaucoup au jeu des interprétations et des symboles, ce qui peut rendre son histoire un poil déroutante et sa fin très ouverte. Bref, c'est à conseiller sans réserve à tous les amateurs du genre.
ah ouais ? Donc en fait, il sait potentiellement qu'il ma ignorelisté pour queudale et refuse qu'on en parle ? bon tant pis alors. J'ai du faire un autre truc.
Faut dire que j'ai jamais ignoré qui que ce soit, j'en vois pas l'intêret vu que je traine sur 3 topics. Merci de l'info en tout cas.
Mais alors les blagues du genre "que dit machin ? il est sur mon ignore list" c'était juste...des blagues ?
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ça me semble plutôt cohérent ça.
vévévé.alamain.info, mais oui, mais oui, mais oui ! C'est moche, mais on s'enfout !
L'ignore list ça sert à rien, si tu ne veux pas lire un post tu le lis pas.
Si un mec t'insulte / report / il est ban. Pas besoin d'ignore list.