Picard, mort, se réveille dans une pièce allongé et face à lui, un Data souriant dans ses derniers costumes de mort.
S'en suit alors une merveilleuse conversation pleine de chaleur et d'affection entre les deux amis sur la mortalité de la vie humaine.Brillant. Data demande finalement à Picard de s'en aller et de le débrancher définitivement. What? Vous me direz, comment un mort organique peut-il discuter avec une conscience cybernétique sauvegardée et comment pourrait il retourner à la vie?
Vous vous souvenez du golem du Dr Soong de la première partie? Vous l'avez maintenant?
Et là, sous mes yeux horrifiés, Picard se réveille, sous le regard bienveillant de Jurati et de Soong. Un Picard synthé tique de 94 ans, souriant, qui plaisante en demandant s'ils l'ont fait éternel. Hahaha
et Jurati d'annoncer qu' elle ne l'aurait jamais permis sans son autorisation et qu'il est équipé d'un système de dégenerescence cellulaire. Ouf!
Comment peux t on vanter la préciosité d'une vie finie dans une scène magnifique et la seconde d'après, imposer à un homme inconscient, sans son accord, une résurrection, au mépris de tout droit individuel?Un viol, ni plus, ni moins!
Le pire c'est que les scénaristes en ont conscience car le Picard Synth est mortel. Ils savaient que c'était contraire à la philosophie humaniste de Star Trek et ont Atténué hypocritement leur connerie en le rendant mortel.
Immonde.
Happy end évidemment, avec ce nouveau Picard, dans son vaisseau, avec son nouvel équipage, to bodly go where no man was before...