Personne ne t'a accusé.
Tu t'es mis sur la défensive tout seul.
"Nonsense! My mom worked around chemicals her entire pregnancy."
Avis personnel : je trouve qu'Arrested Development est le parfait exemple du fait qu'il est souvent préférable de ne pas avoir de fin plutôt qu'une suite/fin différée. Je conseillerais de ne regarder que les 3 premières saisons et d'en rester là. De plus Portia de Rossi est à peine reconnaissable dans la quatrième saison avec toute la chirurgie esthétique faite (ce qui est triste)...
Honour, eh? What the hell is that anyway? Every man thinks it's something different. You can't drink it. You can't fuck it. The more of it you have the less good it does you, and if you've got none at all you don't miss it.
RDJ : Il y a une saison 5 à Arrested Development. Ca me rappelle que j'ai l'intégrale des 3 premières saisons que je n'ai pas encore regardé (je les regardais à l'époque sur Canal+, il y a bien longtemps).
Ici, je me suis refait l'intégrale de Lost avec madame et on aime toujours autant (enfin surtout moi ). Et la fin est très bonne pour moi : le point fort de Lost, c'est l'ensemble des personnages et pour ça, on est bien servi. C'est sûr, pour ce qui est des mystères de l'île, ça déraille un peu en cours de route, mais perso, je suis bon public donc j'aime bien.
On a recommencé ensuite 24 et c'est toujours aussi bien (on est sur la première saison, la meilleure).
A un moment faudra sérieusement se pencher sur le vaccin contre la nostalgie et en filer 5 doses à tout le monde.
C'est pas le fait de "revoir Musclor", c'est le fait de revisiter un vieux classique qui aujourd'hui pique les yeux dans sa version originale au point que les gamins n'en veulent plus.
L'adaptation de She-Ra était plutôt sympa en fait. Et point de nostalgie là-dedans car je ne regardais pas vraiment She-Ra à l'époque.
Un écrivain qui se livre, c'est un peu comme un canard qui se confie.
J'avoue que le cote "maitre de l'univers" on le retrouve pas trop
C'est surtout histoire de partir d'un univers connu parceque la musclor sert just d'appel du pied aux nostalgiques...(oui c'est pour ca que j'ai regardé)
Mais la saison est trop courte ils expédient tout trop vite ca fait bâclé
https://twitter.com/AoDespair/status...87868725596161
David SimonAlarm just went off. Ass up and moving. Today is the first day of filming in Baltimore in more than 14 years.
Good to be home.
Putain de balise twiter
Ben justement vous êtes tous fou avec the wire qui est une série sympa mais qui a de grosse longueur et des temps morts. Je l'ai suivi jusqu'au bout et j'ai vraiment apprécié le développement des personnages mais je l'ai visionné juste après breaking bad, et face à l'intensité d'un breaking bad, the wire ne fait pas le poids.
Mais bon j'ai regardé show me a hero puisque c'était aussi très conseillé ici. Et bien pareil, c'est super bien joué, réalisé. La série est bien c'est indéniable, mais il y a quand meme des passages qui auraient put être raccourci et en faire finalement une série moins longue.
Par contre j'ai regardé the night of et la c'était formidable john tuturo est exceptionnel
c'est chiant la 3D
Alors comparer Breaking Bad et The Wire, comment dire... Ca n'a pas de sens ? Ce n'est pas la même vision d'auteur, ce n'est surtout pas le même but ?
C'est comme dire ha bah le poulet rôti c'est bon hein, mais ça vaut pas une bonne glace à la vanille.
"J'adore tes lasagnes mais ça manque de chantilly".
Franchement The wire est ma série préféré et j'ai abandonné BB et j'ai l'avis inverse d'Amnorian, je trouve que le rythme de TW est parfais.
Mais on a quand même le droit de comparer deux séries dont les formats en plus ne sont pas si éloignés. Sinon on ne compare plus rien.
Évidemment les deux séries n'ont pas le même but, la même vision, et donc pas le même rythme le même narration et esthétique. Mais comparer des choses n'est pas un gros mot.
C'est intéressant de les comparer justement, ces deux séries souvent jugés comme étant le top de la série dramatique américaine. Comment elles imposent leur rythme et leur dramaturgie. Comment elles parlent de leur sujet ou comment elles se place par rapport à la notion de divertissement.
Je préfère qu'on compare plutôt qu'on dise tout est différent donc ne comparons rien
Ben pour moi si c'est le point sur lequel on peut comparer, on va dire qu'elle ne se placent pas au même endroit ce qui revient à dire qu'il n'est pas utile de les comparer.
T'en as une qui est quasi du reportage, avec ce que ça implique parfois de "non-spectaculaire", l'autre qui raconte une histoire improbable mais passionnante.
A l'époque justement je trouvais le rythme lent et j'avais justement dit que peut être que j'étais déçu ou en attente d'autre chose. J'étais à la saison 2, qui pour le coup est l'une des meilleures. BB est pour moi le summum en développement de personnage et en intensité et pourtant j'ai aussi adoré la manière dont ils ont développé Omar (et ca m'a fait bizarre de le revoir dans the night of ou on constate qu'il a un charisme énorme).
Les séries de Simon sont malheureusement un peu lente, contemplative. Du haut niveau mais pas à se jeter dessus ou à être tout fou dès qu'il annonce un projet ou que son nom est cité.
Pour le coup j'ai jamais regardé Treme (peut être à tort) car elle semble amplifier les défauts que je trouve à The wire
c'est chiant la 3D
Ben, pour toi...
Pour ceux (comme moi et beaucoup d'autres) qui vu nos gouts plaçons Simon au sommet de la chaine télévisuelle, si. Pour moi chacune de ces séries a été un plaisir inégalé, chaque fin de série une déchirure.
Donc si, à l'annonce d'une nouvelle série de sa part, je
Mais je ne te demande pas de me suivre dans le mouvement hein...
C'est sûrement là le soucis, les deux séries n'ont clairement pas les mêmes objectifs pour moi. BB c'est du grand spectacle, une réalisation qui vise très régulièrement les plans spectaculaires, les scènes pleines de tension et de suspense.
The Wire c'est totalement à l'opposé, tout est présenté de manière très neutre et vise à immerger le spectateur. C'est vraiment la grande force de cette série, elle réussit à impliquer énormément le spectateur. En partie parce qu'elle présente quelquechose de très crédible, mais surtout car elle réussit à mettre presque sur un pied d'égalité le spectateur et les personnages : même si ils essaient d'influencer les évènements, au fond il ne restent que majoritairement spectateurs de la violence de Baltimore et ses conséquences et ne font que la subir.