J'ai vu également que l'Ukraine avait une action dans l'histoire, au titre de son expérience dans le domaine
L'Euro (€) va avoir 20 ans... une histoire tumultueuse.
La maturité ou la fin ?
Non, Emile Zola n'est pas un fromage italien.
Je ne crois pas du tout en la fin de l'Euro. Quand on voit la fin de la monnaie austro-hongroise, je pense que personne parmi les pays qui l'utilisent ne veulent voir ça. Je ne vois pas comment ça pourrait ne pas être extrêmement dramatique.
Pas de signature.
N'hésite pas à détailler hein, qu'on voit si c'est un avis motivé ou juste une croyance.
De mon côté je pense que les inconvénients de l'euro dépassent largement ses avantages, et qu'à ce titre c'était une erreur. Bien sûr je ne suis pas allemand et je peux comprendre que d'autres pays y aient trouvé leur compte.
Me semble qu'elle est restée utilisée par les deux pays jusque dans les années 1930, mais avec une inflation monstre.
j'ai trouvé ça avec une recherche rapide :
Couronne austro-hongroise
Après l'éclatement de l'Autriche-Hongrie en 1918, la couronne austro-hongroise demeura la monnaie officielle de la république d'Autriche allemande jusqu'en 1924 après avoir connu une période d'hyperinflation ; en août 1922, elle était tombée à la quinze millième partie de sa valeur d'avant-guerre, ce qui justifia le sauvetage économique de l'Autriche par la Société des Nations. Elle resta aussi la monnaie officielle du royaume de Hongrie jusqu'en 1927 mais, en 1924, elle était tombée à la vingt millième partie de sa valeur.
Effectivement, les deux ex-banquiers d'affaires ont un coup à jouer pour profiter du vide politique outre-Rhin.
En rajoutant que l'Italie semble mieux se sortir de la crise qu'attendu :
https://www.lesechos.fr/idees-debats...elance-1360525
Bien sûr que c'est une croyance ! Tu crois que je suis prix Nobel d'économie ou quoi !?
Mais c'est une croyance basée sur un raisonnement et un exemple historique (choisi parmi d'autres) :
- le sort de la couronne austro-hongroise
- le principe assez universel du "sauve-qui-peut" qui a déjà égayé nos soirées d'hiver, un jeudi noir, ou d'autres...
En gros, il me paraît totalement illusoire de penser que la fin de l'Euro sera quelque chose de totalement ordonné, propre, où on "passe juste" à nouveau à des monnaies nationales. Non, j'y crois pas une seconde. Ce sera un sauve qui peut généralisé et les dindons de la farce seront tous les gens dont les économies d'une vie sont en Euro. Toi, moi, la plupart des canards, la plupart des Européens.
Et pour exemple le plus basique, j'en veux qu'un péquenau comme moi, au premier signe de Trafalgar, peut facilement vendre toutes ses actions de société Européenne, pour, en l'espace de quelques minutes prendre des actions de société US (ou soyons fous Chinoises, ou peu importe, vraiment, tant qu'elles sont pas Européennes). Le sauve-qui-peut sera beaucoup plus rapide et brutal qu'à la mort de la couronne Austro-Hongroise.
Oui, pour des raisons idéologiques et/où économique ou que sais-je, on peut penser que l'Euro a été une mauvaise idée (en particulier asujettissant des pays sans industrie à une monnaie très forte), je peux l'entendre (même si je ne partage pas nécessairement ce point de vue là à titre personnel, ou plutôt que je considère la somme des bénéfices supérieurs à la somme des pertes) mais maintenant, maintenant qu'on en est là, maintenant que l'Euro a été défendu becs et ongles face aux spéculateurs qui pensait que la monnaie était une erreur pendant la "crise de l'Euro", on est avec, jusqu'au bout.
Pas de signature.
Ceci. Avec le tarif extérieur commun, il s'agit tout de même d'un des rares transferts de compétences qu'aient accepté les États de la zone Euro, sur des prérogatives qui étaient auparavant régaliennes.
En sacrifiant de fait une partie des outils budgétaires dont ils disposaient jusque là (les dévaluations notamment).
Ce n'est pas rien.
Détricoter l'Euro, ce serait porter un coup fatal au projet Européen, lequel n'en a vraiment pas besoin.
Tiens, il semblerait que les Britanniques aient fini par bien nous la mettre sur les histoires de licences de pêche.
Ca aurait été la Belgique, pourquoi pas, mais une guerre nucléaire en remake de la guerre de 100 ans, ca aurait sûrement surpris du monde.
Pologne : comment le piège biélorusse s’est refermé sur des milliers de migrants
Quelle position peut avoir la diplomatie européenne face à Vladimir Poutine, alors que la situation humanitaire à la frontière polonaise se dégrade jour après jour ?Des vidéos tournées à la frontière entre la Pologne et la Biélorussie, authentifiées par « Le Monde », permettent de retracer les huit jours qui ont vu des milliers de migrants tomber dans le piège tendu pour faire pression sur l’UE.
Cagoulés et en treillis, souvent sans écusson visible, parfois armés. A la frontière biélo-polonaise, des hommes de main du régime biélorusse ont affiché, début novembre, un attirail aussi trouble que leur mission. Au même endroit se sont massés des centaines d’exilés irakiens, syriens ou libanais, propulsés malgré eux au cœur d’une bataille diplomatique et médiatique entre la Biélorussie et l’Union européenne.
Article du Monde très illustratif et très bonne édition d'Affaires Étrangères avec les intervenants habituels sur le sujet (Tatiana Kastouéva-Jean, Alexandra Goujon & François Heisbourg). Ne manquait que Jacques Rupnik.Quelle position peut avoir la diplomatie européenne face à Vladimir Poutine, alors que la situation humanitaire à la frontière polonaise se dégrade jour après jour ?
C’est un échiquier sur lequel se jouent plusieurs parties à la fois, un échiquier aussi vaste que l’espace géographique situé entre nos démocraties, à l’ouest du continent, et cette Russie qui ne cesse de se penser comme un empire. Un échiquier dont les pions sont des êtres humains, des femmes, des hommes, des enfants, ces migrants venus du Moyen Orient, attirés aux frontières polonaises et baltes par un dictateur biélorusse qui veut se venger des sanctions imposées par Bruxelles.
Amorcer la désescalade
A la manœuvre, un grand maître du noble jeu d’échecs, Vladimir Poutine. Reclus dans sa datcha pour cause de Covid, le président russe manie aussi ses propres pions, des soldats et des armes cette fois, aux abords d’une autre frontière, celle de l’Ukraine, pesant de tout son poids sur les fragilités de Kiev. Jusqu’à quel point les deux crises, biélorusse et ukrainienne, sont-elles liées ? Que fait l’Europe ou plutôt que peut faire une Union Européenne divisée sur la perception même du danger, sur le rôle de l’OTAN, et plus encore sur la question migratoire ?
Angela Merkel livre là son dernier baroud d’honneur, parlant plusieurs fois ces derniers jours à Vladimir Poutine et même directement, mercredi dernier, à Loukachenko. Le Biélorusse, qui ne veut en aucun cas garder des migrants chez lui et organise maintenant leur rapatriement, a-t-il gagné la partie ?
L’Ukraine réclame des armes aux Occidentaux, le Kremlin les accuse d’aggraver les tensions. Le gaz russe, qui nous alimente, transite par ces deux pays. Plusieurs centaines de migrants sont toujours acculés aux frontières. Faut-il là aussi construire des murs, Bruxelles doit-elle les accepter, les financer, comme le réclament la Pologne et les pays baltes ? Voilà notre continent en proie à un conflit hybride, échappant de plus en plus aux schémas traditionnels. Comment amorcer ou accélérer la désescalade, comment mieux assurer la sécurité de l’Europe ?
Du coup les gens payent pour lui faire dire n’importe quoi et Nigel n'y voit que du feu :
Up the RA ! Un des slogans de l'IRA ...
Menacée d'extinction, la langue ancestrale de Jersey tente de résister à l'anglais
Un message déguisé pour dire aux français et à l'UE : non, on est comme vous, ne couper pas le jus, on peut s'arranger pour les licences de pèche.
Non, Emile Zola n'est pas un fromage italien.
BoJo le clown n'a apparemment jamais aussi bien porté son nom
La video vaut son pesant de cacahouette : "forgive me"
Le jeu vidéo est une chose trop grave pour le laisser aux canards