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  1. #151
    Mon best off de Charles Laughton :
    La Nuit du Chasseur / La Nuit du Chasseur / La Nuit du Chasseur
    Le jeu vidéo est une chose trop grave pour le laisser aux canards

  2. #152
    Citation Envoyé par Ruadir Voir le message
    Mais pourquoi ?
    Parce que je veux croire que je peux aimer le film
    La résa c'est parce que j'y vais à une heure où les guichets sont fermés + placement pas libre.

  3. #153
    Citation Envoyé par jeanba Voir le message
    Concernant La Forme de l'Eau, c'est la porte de la Muette ?
    Ton article m'inspire !
    Je pensais plus à eau - écume - mer - mouette - muette
    Citation Envoyé par Helifyl Voir le message
    Perso ça me dérange pas de voir une critique en mode pavé ici. Je préfère ça à un lien (que je ne suivrai pas). Après si t'as peur que ça prenne trop de place tu mets juste l'intro et la conclusion en "clair" et tu colles le reste dans une balise "[spoiler2]" comme ça tu prends moins de place verticale
    Pour Carpenter je me garderai bien de faire un top 10 vu que je n'ai pas vu autant de ses films
    Mais dans ceux que je retiens il y a: Assault on Precinct 13, The Thing et They live.
    Yes, je fais ça juste pour toi regarde :

    Je vais me permettre de débuter ce billet un peu différemment, sans tourner autour du pot : j'aime énormément le cinéma de Guillermo Del Toro. Si vous me suivez depuis quelques temps (si vous ne le faites pas, sachez que vous avez tort), vous connaissez mon amour du film de genre, vilain petit canard qui vit toujours dans l'ombre du "vrai cinéma des vrais connaisseurs". Loin de moi l'envie de militer ici pour sa réhabilitation, mais paradoxalement, même extrêmement sarcastique quand j'évoque les récompenses académiques, je ne peux m'empêcher d'être relativement enthousiaste vis-à-vis du succès critique de La Forme de l'eau. Assez enthousiaste par rapport à ce que cela traduit de la popularité du cinéma de genre, enthousiaste à l'idée que le cinéma de Del Toro fasse l'objet d'une reconnaissance de la profession après une carrière atypique de 25 années et enfin très excité à l'idée qu'il ressorte de cette expérience avec davantage de libertés artistiques. Je nourris toujours l'espoir de voir le projet d’adaptation des Montagnes Hallucinées de Hugo Philémon Lovecraft se concrétiser (oui, je suis aussi un parfois ce qu'on appelle un rêveur).

    Mais en dépit de l'avalanche de récompenses décrochées par le film, La Forme de l'eau reste avant tout un film de Del Toro. Freak Show et conte pour adulte, il est surtout l'aboutissement d'un projet cher au cinéphile mexicain : revisiter l’Étrange créature du Lac Noir, ce qui lui permet au passage d'y injecter ses propres thématiques.
    Spoiler Alert!
    Avant d'aborder le fond, je voudrais d'abord aborder la forme. Je n'irai pas par quatre chemins : comme toujours avec le cinéaste c'est extrêmement beau. Artistiquement, que ce soit du point de vue de la reconstitution du cadre historique de l'intrigue (prenant place dans les années 50, époque à laquelle est sorti le film séminal), de la poésie folle de certaines scènes et du point de vue de la pure réalisation, La Forme de l'eau est un objet filmique magnifique. C'est certes une habitude chez Del Toro (Crimson Peak était une véritable claque visuelle), mais je trouve à titre personnel qu'esthétiquement il s'agit d'un véritable aboutissement.
    Agrémenté des excellentes compositions d'Alexandre Desplat, le film délivre quantité de scènes splendides et marquantes, c'est indéniablement la plus grande réussite du film.
    Del Toro oblige, le contraste avec la brutalité graphique de certaines scènes n'en est que plus tranchant, le rapport au corps et aux blessures revenant encore une fois comme une composante principale de son cinéma. Que les plus sensibles se rassurent : on est encore très loin du cinéma de Cronenberg.

    Mais le visuel ne fait pas tout. J'ai tendance à considérer que si artistiquement Del Toro a une vision et un talent indéniable, le traitement du scénario au sein de ses films me laisse bien souvent perplexe. Heureusement le script de la Forme de l'eau est extrêmement simple et particulièrement bien traité. Une des critiques récurrentes faite à l'égard du film est qu'il ne met en scène qu'une simple histoire d'amour entre une femme et une créature. Cette vision réductrice qui confond simplicité et simpliste est surtout complètement fausse, tant les sous-textes et les thèmes traités abondent.

    Même s'il traité au travers d'une relation sentimentale impossible, La Forme de l'eau me semble être principalement une critique politique virulente des fondements de la société américaine moderne et de ses tendances actuelles populistes et radicales. Dévoilées pendant l'exposition, les années 50 sont présentées comme une époque faste et pleine de promesse, pour mieux être démolies petit à petit, pour mieux dénoncer cette nostalgie hypocrite et ostentatoire, leitmotiv grotesque et ressort pathétique de la campagne de l'actuel président américain. Cette chimère n'a jamais existé que pour convaincre le peuple d'une grandeur passée, justification d'une politique économique débridée et meurtrière.
    L'Amérique des années 50, que l'on caractérise plus volontiers comme l'apogée de la prospérité et de la croissance économique des Etats Unis est ici dépeinte avec davantage de recul, mettant en scène le repli culturel, l'idéalisation et la puissance d'une classe dirigeante militaire, l'ostracisation des minorités et l'essor de la culture du consumérisme en tant que marqueur social, comme autant de vers dans le fruit aujourd'hui pourri d'une société décadente et fragilisée par plus d'un demi-siècle de libéralisme débridé.

    Les véritables monstres du film ne sont en définitive pas ceux que l'on croit, et la créature, finalement au second plan, n'apparaît que pour cristalliser les meilleurs et les pires facettes de la galerie de personnages qu'elle côtoie.
    Que ce soit Eliza ("piss sweeper" mutique), Giles (l'artiste mis au ban de la société pour son homosexualité) ou Strickland, chacun incarne une facette différente de cette Amérique complexe.

    D'ailleurs le personnage campé par Michael Shannon est finalement assez loin d'être aussi caricatural que ce que le consensus mou le laisse penser. Militaire déséquilibré et instrumentalisé, il s'accroche désespérément à l'American Way of Life dans tout ce qu'il a de plus destructeur et superficiel, jusqu'à l'effondrement de son compas moral, lorsque la reconnaissance qu'il lui croyait due est broyée au-delà de tout espoir de réhabilitation.
    Le discours est clair : toute ethnocentrée et puritaine qu'elle soit, l'Amérique appartient aussi aux laissés pour compte : l'infirme, la noire, l'homosexuel et le communiste renégat forment finalement le quatuor faillible mais profondément humaniste du film.

    Au-delà de ces aspects politiques, on retrouve une thématique chère à Guillermo Del Toro, à savoir la confrontation d'une réalité froide et clinique au fantastique, et au-delà notre rapport à l'imaginaire. Si le Labyrinthe de Pan soumettait le fantastique à l'érosion du réel, s'achevant dans un climax abrupt et choquant, La Forme de l'eau s'applique à considérer la problématique par effet inverse : il est question ici de l'érosion du réel par le fantastique, se rapprochant ainsi davantage du conte. Le final, doux amer se conclue sur
    Spoiler Alert!
    la renaissance d'Eliza, dont la mort violente sera finalement l'élément déclencheur de sa fuite d'une société qui n'a jamais voulu d'elle. Elle ne trouvera finalement le bonheur et sa place que dans l'imaginaire.


    Enfin, le film s'intéresse également avec bienveillance à la place essentielle de l'art et de la culture, comme vecteurs de rapprochement, d'apprentissage et comme forces indispensables de communication. Ils touchent notre sensibilité et notre humanité, comme une invitation permanente au rassemblement et au partage, tout en étant les témoins de ce qui définit notre espèce.

    Pour conclure, je souhaiterais souligner l'extraordinaire performance de l'actrice Sally Jenkins. Toujours dans la justesse, touchante et d'une intensité dramatique folle, elle porte porte le film sur ses frêles épaules, n'hésitant pas à s'exposer sans fard à la focale du réalisateur. Elle est pour moi l'une des plus grosses forces du film. Le reste du casting est franchement excellent, tout particulièrement Michael Shannon, qui incarne à merveille l'antagoniste. J'émettrais en revanche une légère réserve sur la perte d'une partie du background du personnage, apparemment exclusive au format écrit. Je pense qu'en apprendre davantage sur la traque de la créature aurait été un apport bénéfique pour la caractérisation de Strickland.

    Ce léger bémol ne doit néanmoins en aucun cas vous dissuader d'aller voir en salle une oeuvre singulière et attachante. Ce n'est pas le film de la décennie, peut-être même pas le film de l'année, mais qu'importe : il ne manque clairement pas de raisons d'être aimé.

  4. #154
    Citation Envoyé par Couyu Voir le message
    Yes, je fais ça juste pour toi regarde :
    TL DR ()

    J'étais pas trop chaud pour aller le voir, le côté "film aux whatemilles oscars" me laissait un peu de marbre. Mais ta critique est encourageante, je vais peut être me laisser tenter

  5. #155
    Citation Envoyé par Maed Max Voir le message
    J'avais bien aimé aussi Ghost of Mars à l'époque mais j'avoue ne pas l'avoir revu depuis mon adolescence, les souvenirs que j'en garde sont assez... étrange..
    Je m'étais fais chié quand je l'avais vu au ciné... mais finalement en me revoyant quelques années plus tard, c'est assez fun quand même.
    Gros batave

  6. #156
    Ghosts of Mars, je le prends comme un film résumant toute sa carrière......tout ses films sont recensés dans GoM.
    Do not fear me. Ours is a peaceful race, and we must live in harmony...
    Ma Ludothèque

  7. #157
    Citation Envoyé par Bouyi Voir le message
    Je m'étais fais chié quand je l'avais vu au ciné... mais finalement en me revoyant quelques années plus tard, c'est assez fun quand même.
    Dans une soirée pour regarder des films à la con, c'est pas mal du tout.
    Avec un ami on l'avait également vu avec les commentaires de l'actrice principale et du réalisateur. Même eux n’arrêtent pas de se foutre de la tronche du film.

  8. #158
    Je viens de regarder I Kill Giants. Je ne m'étais pas renseigné sur le film, l'affiche avait l'air sympa, et le résumé (et le fait que ça soit une adaptation de comics) laissait présager un truc à la Kick Ass avec une gamine abattant des géants dans des scènes d'action sympathiques.

    Je vois pas comment j'aurais pu plus me planter.

    En fait, c'est l'histoire d'une gamine à l'imagination débridée, qui s'en sert pour échapper à la réalité. Le total des "scènes d'action", doit être d'à peu près 15 secondes sur tout le film (sans la moindre exagération).

    Néanmoins, même si c'est très basique, j'ai trouvé ça sympathique, et ça m'a touché. Le fait d'y avoir retrouvé une situation connue a du aider, néanmoins.
    Globalement, tout ce que vous dites me conforte dans mon avis.

  9. #159
    Citation Envoyé par jeanba Voir le message
    Mon best off de Charles Laughton :
    La Nuit du Chasseur / La Nuit du Chasseur / La Nuit du Chasseur


    Et à côté faut le voir comme acteur dans Witness for the Prosecution.

  10. #160
    New Mutant et Dark Phoenix décalé en 2019.
    http://www.premiere.fr/Cinema/News-C...es-films-X-Men
    Anál nathrach, orth' bhais's bethad, do chel denmha
    Flickr Steam Flickr2

  11. #161
    Celui de Josh Boone est passé du 13 avril 2018 au 22 février 2019, mais il sortira finalement encore plus tard : le 2 août.
    Qu'est-ce qui peut justifier, un mois avant sa sortie, de repousser un film de 16 mois ? Avec un délai pareil, ils auraient presque le temps de tout reprendre de zéro.

    Je dois dire que ces deux films me rendent curieux, au passage. Dark Phoenix, c'est sans doute THE arc des X-Men, c'est risqué, mais y'a du potentiel. Et The New Mutants m'attire par sa tentative d'originalité (un film d'horreur dans l'univers X-Men).
    Globalement, tout ce que vous dites me conforte dans mon avis.

  12. #162
    New Mutant est dans le registre horreur, je suis pas fan, mais ca peut etre surprenant. Dark Pheonix la aussi beaucoup de chose a faire , mais Sophie Turner ma laissé tres dubitatif dans le précédent X-men, pas qu'elle d'ailleurs , tout le film en faite !
    Pour les date, je pense qu'ils sont trop pret des prochaine sortie Marvel notamment Avenger qui sort fin Avril .
    Anál nathrach, orth' bhais's bethad, do chel denmha
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  13. #163
    Citation Envoyé par Durack Voir le message
    New Mutant est dans le registre horreur, je suis pas fan, mais ca peut etre surprenant. Dark Pheonix la aussi beaucoup de chose a faire , mais Sophie Turner ma laissé tres dubitatif dans le précédent X-men, pas qu'elle d'ailleurs , tout le film en faite !
    Sophie Turner en elle-même ne m'a pas choqué, mais le film...
    Globalement, tout ce que vous dites me conforte dans mon avis.

  14. #164
    Citation Envoyé par Maximelene Voir le message
    mais le film...
    Voila! Le plus mauvais X-men pour moi.
    Anál nathrach, orth' bhais's bethad, do chel denmha
    Flickr Steam Flickr2

  15. #165
    Oui, c'était vraiment de la merde.
    Quand t'as un ensemble supporté par un Fessebender qui lutte, à moitié dans des scènes grotesques en pure CGI, un Oscar Isaac coincé dans un rôle écrit avec un anus de babouin cocaïné et des jeunes acteurs beaux mais sans une once de talent...
    Ben ça ne marche pas.
    Même Mc Avoy n'arrive pas à sauver cette merde.

    C'est d'autant plus drôle que Singer trollait les 3 films de la trilogie originale...
    Plus mauvais X-men pour ma part aussi, je ne vois pas comment on peut autant se planter après First Class, voire Days of the Future Past.
    Dernière modification par Yves Signal ; 27/03/2018 à 16h35.

  16. #166
    Citation Envoyé par Dyce Voir le message
    Dans l'ordre :

    The Thing / L'antre de la Folie/ Big Trouble in Little China / They Live / NY 97 / Vampires / Ghosts of Mars / Assaut / Halloween / The Fog


    Mais je suis un grand fan de Carpenter.....j'aime tous ses films....oui tous.
    Copaing, je ferai à peu près le même top... peut être en descendant un peu they live et en remontant Halloween, qui est quand même un film fondateur d'un genre. Et puis je virerai Ghost of mars pour mettre prince des ténèbres.
    Enfin de toute façon avec The thing et l'antre de la folie c'est un réal immense. Deux films que j'ai du voir cinq fois chacun et où je découvre toujours de nouveaux trucs.
    Il y avait plus simple !

  17. #167
    Citation Envoyé par corentintilde Voir le message
    Copaing, je ferai à peu près le même top... peut être en descendant un peu they live et en remontant Halloween, qui est quand même un film fondateur d'un genre. Et puis je virerai Ghost of mars pour mettre prince des ténèbres.
    Enfin de toute façon avec The thing et l'antre de la folie c'est un réal immense. Deux films que j'ai du voir cinq fois chacun et où je découvre toujours de nouveaux trucs.
    Me faudrait presque un top 15 en fait, vu que sa trilogie de l'Apocalypse, je la mettrais en 1 sans distinction.
    Do not fear me. Ours is a peaceful race, and we must live in harmony...
    Ma Ludothèque

  18. #168
    Quelqu'un se sent de créer un GDoc public ?

  19. #169
    Citation Envoyé par Tarsiz Voir le message


    Et à côté faut le voir comme acteur dans Witness for the Prosecution.
    Charles Laughton est un des plus grands acteurs anglo-saxon du 20ème siècle, au cinéma comme au théâtre
    Le jeu vidéo est une chose trop grave pour le laisser aux canards

  20. #170
    Pour Carpenter, réalisateur :

    1. The Thing
    2. Invasion Los angeles
    3. Halloween
    4 et 5 (dans l'ordre que vous voulez). New york 97 et Los angeles 2013
    Les 2 derniers films ne sont pas bouleversant mais rien que la musique et Kurt Russel, ça mérite de figurer dans le top.)

    J'ai vu l'antre de la folie, c'était nul.
    Je n'ai pas (encore) vu ses autres films.
    psn/steam/gog: chameaufou/ Hearthstone: chameaufou#2336/ Switch: chameaufou 8061-6627-4614

  21. #171
    Citation Envoyé par LeChameauFou Voir le message
    J'ai vu l'antre de la folie, c'était nul.

  22. #172
    Citation Envoyé par LeChameauFou Voir le message

    J'ai vu l'antre de la folie, c'était nul.
    Wow, t'es sur que c'était bien "l'antre de la folie" ?

  23. #173
    Citation Envoyé par Flad Voir le message
    Wow, t'es sur que c'était bien "l'antre de la folie" ?
    Il doit confondre avec "L'entre-deux, la folie".

  24. #174
    Citation Envoyé par Maximelene Voir le message
    Je viens de regarder I Kill Giants.
    Si tu ne l'as pas vu tu peux regarder Quelques minutes après minuit / A monster calls qui, sur un sujet similaire, est je trouve bien meilleur.

  25. #175
    J'ai regardé quelques critiques, et effectivement, ce titre ressort souvent. Je vais y jeter un œil.

    Après, le thème en lui-même ne me botte pas plus que ça, au final. J'aime pas être touché.
    Globalement, tout ce que vous dites me conforte dans mon avis.

  26. #176
    Citation Envoyé par Flad Voir le message
    Wow, t'es sur que c'était bien "l'antre de la folie" ?
    Une chouette vidéo (en anglais) de Good Bad Flicks sur cet excellent film :

    On grandit au milieu des rōnins.

  27. #177
    Citation Envoyé par Ikari Voir le message
    Si tu ne l'as pas vu tu peux regarder Quelques minutes après minuit / A monster calls qui, sur un sujet similaire, est je trouve bien meilleur.
    Je conseil aussi, un tres beau film, tres touchant !
    Anál nathrach, orth' bhais's bethad, do chel denmha
    Flickr Steam Flickr2

  28. #178
    Citation Envoyé par Tellure Voir le message
    : pat pat:

    Moi j'ai lu un peu plus haut :
    Vu les dents de la mer. Mouais, bof. Le genre de film qui m'aurait plus si j'étais un gosse des années 80. ça me laisse totalement imperméable.
    Ils sont jeunes, ils ne comprennent pas.
    Ceci devrait être une signature conforme nette lisse et propre comme un cul de bébé. Elle fait trois lignes en hauteur et j'ose l’espérer moins de 100 par 40... ou alors 200? Meeeeerde Je sais plus......!!!!!!

  29. #179
    Le film qui te fait préférer les vacances à la montagne plutot qu'à la plage. (ca et les teen-movie)
    Ces acteurs ne sont pas des joueurs.

  30. #180
    J'ai pas tout vu de Carpenter mais je crois que mon préféré reste The Thing. Dommage que les effets spéciaux aient un peu vieilli. C'est plus flagrant que dans Alien et Aliens : le Retour en tout cas.
    J'avais commencé Halloween mais j'ai vite décroché, je trouve ça très kitsch. Il faudrait que je lui redonne sa chance (j'avais plus accroché à Massacre à la tronçonneuse dans le même registre).
    Citation Envoyé par nova Voir le message
    C'est crédible mamie chiffon qui dirige la moitié du monde alors qu'elle doit meme pas savoir ce qu'est twitter.

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