---> Topic de Vente BDs JdS : L'Aquarium de fishinou }>(((((°)>
Un poisson sur deux consommé dans le monde provient de l'élevage.
L'article date de 2011 donc ça a peut-être même dépassé la moitié depuis.
C'est n'importe quoi, non ?
Comme dit plus haut, on est végétarien si on ne bouffe pas de viande (y compris le poisson, donc). Si on en bouffe, ben on est pas végétarien. On peut inventer des termes (pesco-végétarien, steakdecheval-végétarien, agno-végétarien) mais ça change pas. Ta phrase "les mentalités ont pas mal évolué" laisse à penser que les végé s'autorisaient auparavant le poisson et auraient maintenant évolué vers un durcissement en ne l'acceptant plus..
Je crois plutôt que c'est les gens non-végé qui ne captaient rien avant ("t'es végé ? Ah, ben tu ne peux manger que des oeufs et du poisson..") et .. et qui ne capte pas bien mieux maintenant, pour certains.
Il se trouve que c'est la vérité. A chaque fois que je mange un gros bout de barbaque (une blanquette dernièrement), ça me retourne méchamment le bide.
Comme dit plus haut, je ne me considère pas comme végétarien, puisque je bouffe du sauciflard de temps à autre, ou une tranche de jambon quand ça se présente chez quelqu'un. Mais une viande rouge cuisinée, j'y arrive de moins en moins. A chaque fois que j'ai mangé un plat du genre, (4-5 fois en 2020), depuis le magret de canard au kébab dégueulasse, j'ai le ventre retourné pareil et je mets 2 jours à m'en remettre entre les prouts protéinés et/ou la chiasse que ça me file (désolé pour la poésie..).
Bref, dans mon cas, si je refuse de la viande comme c'était le cas aux grillades du week-end dernier (oui, météo de fou en février), c'est surtout parce que ça passe de moins en moins bien.
La Bibliothèque idéale de l'imaginaire, c'est bon pour les noeils et l'esprit.
Maalak dit vrai, l'industrie du poisson est une saloperie pour l'environnement et la biodiversité.
Et non, justement ! Le poisson d'élevage, c'est près de la moitié de la consommation mondiale ! ... mais beaucoup de ces poissons d'élevage sont carnivores, et donc nourris des produits de la pêche de poissons sauvages. Tu parles d'un système à la con...
Pour en savoir plus, une petit vidéo (activez les sous-titres français si besoin).
J'y peux rien si je n'ai que des gens normaux autour de moi.
En tout cas, c'est bien qu'on ait développé cette discussion sur la poiscaille, je n'avais pas réalisé que la part d'aquaculture était aussi grandissante. Bon, il faut dire que l'on n'est pas forcément aidé non plus si on ne le recherche pas car on n'en voit quasiment pas parler dans les médias, au contraire des problèmes des pêcheurs sur leurs chalutiers.
a priori, pas de source sous la main, mais si l'industrie du poisson était bien gérée (pas de surexploitation en gros) c'est une ressource qui se renouvelle extrèmement vite et naturellement.
Par contre la pisciculture de carnivore c'est de la merde, genre puissance 2 et en aucun cas une solution.
Mais la c'est un sujet écologie et non pas végétarisme.
M'enfin comme d'hab si les gens qui veulent de la viande ou du poisson se le faisait eux même on en aurait beaucoup moins envie que la réalité des choses.
vévévé.alamain.info, mais oui, mais oui, mais oui ! C'est moche, mais on s'enfout !
90% des gens seraient pareil selon mes statistique personnelle et pas du tout biaisée.
sisi j'ai fais une analyse sur moi même et a priori yaurait qu'un bout de ma jambe qui serait pour.
En vrai ya qua regarder un enfant qui peut manger du jambon tout en te disant que c'est pas cool de tuer des animaux. Ils sont pas cons, ils font juste pas le lien parce qu'entre ton jambon et un cochon ya 20304 étapes que personne de voit/connait.
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D'ailleurs si je me trompe pas, ceux qui voudrait abattre un animal pour le manger n'ont plus le droit si il ne vont pas a un abattoir. ça aide pas à montrer qu'un jambon avant il était content de vivre.
vévévé.alamain.info, mais oui, mais oui, mais oui ! C'est moche, mais on s'enfout !
Oui et non, tu peux assez facilement avoir une dérogation suite à plusieurs plaintes au niveau européen, dès que tu dis "jurisprudence untel" ca fonctionne. C'était devenu complètement idiot à un moment, genre les agriculteurs qui ne pouvait plus abattre leur propre bête pour faire un méchoui au village.
Apres c'est clair que quand je tuais une de nos bêtes, les amis curieux qui ont vouloir voir une fois comment ca se passe ne sont en général jamais revenu... Y a rien a faire, tuer un animal (et surtout le dépecer) ca se fait pas dans le propre
Frag or frag not, there is no try.
Hier soir sur FR5 dans "C ce soir":
https://www.france.tv/france-5/c-ce-...la-viande.html
(visible sans inscription sur captvty)
Bon, au début ca fait peur quand ils annoncent le truc via les réactions de politiques français complètement à côté de la plaque (facepalm >9000), mais au final le débat lui même était pas trop mal, même excellent par rapport à la moyenne de ce genre de débat télévisé.
Truc assez énorme pour être noté mais l'argument de la "viande heureuse", "bien tuée" s'est enfin fait démonter dans les règles. Je crois que c'est une première.
Ca aide énormément pour avoir un débat serein de pas avoir invité l'extrémiste hystérique lobbyiste de service et sa stratégie de couper la parole de tout le monde qui va expliquer que ca va être l'apocalypse avec moult biais et fausses informations.
Par contre c'est dommage de pas avoir énoncé les faits sur la consommation de ressources et le rapport avec la population humaine mondiale qui abouti nécessairement à un élevage industriel intensif pour soutenir la demande avec un prix abordable.
Je dit ca en rapport à l'anecdote de l'aut' journaliste avec son grand père qui élève son mini troupeau dans les règles pour prouver que "ouais on peut".
D'après me statistiques personnelles et pas du tout biaisées non plus, c'est un chiffre qui peut vite changer car on s'habitue vite à tuer.
Il y a pléthore d'exemples (j'en ai 3 dans mon entourage proche) de citadins ayant commencé à élever poules et lapins qui maintenant décapitent et dépècent sans problèmes. C'est juste une habitude à prendre.
Ah bon?D'ailleurs si je me trompe pas, ceux qui voudrait abattre un animal pour le manger n'ont plus le droit si il ne vont pas a un abattoir. ça aide pas à montrer qu'un jambon avant il était content de vivre.
Parce que ma grand mère qui a quelques poules, lapins, pigeons et parfois coqs, c'est pas juste pour la déco. Et mon oncle qui vit chez eux chasse et pêche (bord de Loire). Et à côté de ça il on aussi un grand jardin et pas mal d'arbres fruitiers.
Et autrement personne à Koh Lanta, dit : "oh le pauvre poisson", ils sont ravis quand ils en ont attrapés un, surtout si ils ne l"ont jamais fait. Bref à mon avis c'est aussi facile de devenir végétariens que de tuer pour manger, on 'adapte en fonction des contextes.
Venez voir mon site, Geek Passion, avec entre autres : Mon super casse brique - The Witcher 3 en 360°.
Venez vider votre backlog grâce aux events du backlog sur cpc-backlog-event.
L‘abattage des volailles et lapins domestiques par la personne qui les a élevés ou entretenus est également autorisé lorsque cette personne en réserve la totalité à la consommation de sa famille.
https://vigiferme.org/La-reglementat.../abattage.html
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Les amis, une grand famille quoi
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C'est ce que j'avais lu, ça concerne peut être pas les lapin et poulet, mais il me semblait que c'était pas autorisé, après personne va venir vérifier chez ta grand mère. Et comme dit au dessus, il y a eu plein de juriprudence face a la connerie de la chose
ou alors mon info était moisi et relayé par un islamo gauchiste qui avait pas sa carte lrem.
Et la chasse et la peche c'est autre chose.
Bref sinon koh lanta j'en sais rien j'ai jamais regardé, mais si c'est le genre de truc ou tu dois bouffer ce que tu trouves, tu fais pas le même foin. C'est pas la même quand t'as plein d'alternative que de tuer ton poulet. Mais oui c'est un coup de main a prendre, un coup de main que beaucoup ont perdu et qu'il serait assez difficile de reprendre sans contraitre autre que "pas le choix" ça dépend du contexte comme tu le dis. Et la je parlais de la majorité de la population (qui pour l'instant a un supermarché a moins de 5km de chez eux). Pas de personne qui ont toujours vécu avec des poules a manger ou des crêve la faim sur une ile.
Enfin c'est mon point de vue, je n'aurais rien contre manger/tuer un animal si ma survi ou celle de ma famille en dépendait. Mais le truc, c'est que c'est pas le cas. Moralité : Vegan c'est un truc de bobo moderne.
(je pose juste un troll sur la fin, mais en vrai, vous voyez hein ?)
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la loi sur les abbatoirs, je me demande si c'est pas aussi pour éviter les dérives d'une certaine fête religieuse "qui n'est pas dchez nous madame" (article de loi rédigué par un certain aliot)
et heu ton cochon tu peux sans doute le tuer dans ton garage, mais légalement c'est pas si clair. après, tant qu'on te balance pas, personne va venir voir si t'as tué un cochon. (même si on te balance j'imagine)
https://vigiferme.org/tableau-des-in...ons---abattage
vévévé.alamain.info, mais oui, mais oui, mais oui ! C'est moche, mais on s'enfout !
Le véganisme est une idéologie anti-animale.
En effet l'interdiction de l'élevage aboutirait à la division par cent du nombre de veaux, vaches, cochons et autres. Ce serait la disparition de l'animal des campagnes. Certes on ne les tuerait plus, mais ils ne vivraient plus non plus.
Ajoutez-y la reconnaissance de l'animal comme personne et vous ferez disparaître les animaux domestiques, leur possession devenant en effet esclavagisme ou soumise à des conditions impossibles. Ce serait la disparition de l'animal dans nos vies, désormais cantonné aux zones sauvages.
Le véganisme ne se fonde donc pas sur le souci de l'animal, mais sur le rejet de l'homme et de sa domination sur la nature.
C'est donc un anti-humanisme, cette tendance qui traverse la plus grande partie de l'écologie et du progressisme, et qui explique toute l'attention autour de la réintroduction du loup et des ours, pourtant disparus depuis longtemps (vision pristinale, muséale et pré-humaine de la nature), problématiques pour l'homme, et plus nocifs à la biodiversité qu'autre chose. C'est dillapider le capital politique en faveur de la biodiversité sur un symbole antihumain.
Mais qu'est-ce que tu racontes avec l'anti humanisme ? Tu as tué Erasme.
Les animaux d'élevage sont des biens de consommation et de production, les espèces sont sélectionnées pour le rendement. Il n'y a rien à argumenter dans leur bien être. Le jour où le clonage ou la prod de viande sera synthétisée, ils disparaîtront. Comme ont disparu les chevaux de traits, les bœufs pour lr tirage de péniches.
Le cheval ardennais n'existe que par ses capacités, s'il existe encore, ce n'est que par un attrait de minoritaires.
Quand on copie des fiches argumentaires, faut mieux faire.
Nb, je ne suis pas végé.
Nb : ton argumentaire poutinien était gonflé dans le topic EU.
Sous une argumentation peu réfléchie, il y a de vrais questions philosophiques amenées ici. Sur quel fondement se baser pour juger qu'une situation est éthiquement préférable à une autre ; une légion d'animaux d'élevage vivant une vie affreuse vaut-elle mieux qu'un nombre réduit de vaches, cochons, poules vivant librement selon leurs instincts ? Les végans, et la plupart des êtres humains je le pense, diront qu'on doit se baser sur le bien-être. Mais comment définir celui-ci de manière satisfaisante, et, surtout, nous permettant de jongler avec les chiffres - qu'ils représentent des humains ou des animaux d'élevage - pour arriver à des réponses claires ?
Ce qui m'apparait certain, au delà de ce genre de masturbation philosophique, c'est que la relation de l'homme aux animaux, de nos jours, est problématique et très loin d'être éthiquement défendable.
L'argument du nombre d'animaux qui ne naîtraient pas est un peu le même que l'argumentation anti-avortement; on "empêche" une naissance potentielle.
Sauf que si on va par là, il y a déjà une infinité d'animaux qui ne naissent pas naturellement, parce que chaque spermatozoïde n’aboutit pas systématiquement à un animal, que le nombre d'animaux est déjà limité par les contraintes d'espace et de ressources.
De même que les espèces n'existent pas en nombre infinies de par la sélection naturelle, voir les extinctions de masse de l'Histoire.
L'apparition ou la disparition d'une nouvelle espèce artificiellement fabriquée par l'Homme n'est pas plus dommageable que les créations et extinctions dues aux mutations naturelles, le problème est le déséquilibre des écosystèmes et la perte de biodiversité générale et la vitesse de celle-ci.
L'élevage intensif est comme la monoculture intensive, totalement à l'opposé de la diversité, et sujette aux même problèmes de vulnérabilité.
Le problème n'est pas pour la Nature qui s'en sortira toujours, mais pour l'Homme pour qui de tels déséquilibres seront vite très dommageables.
Le véganisme c'est de ne pas participer à une forme d'exploitation de l'animal du point de vue de l'humain végan en effet, parce que le véganisme ne cherche pas à empêcher la prédation naturelle des animaux entre eux et n'intervient pas dans ce qui ne concerne pas le vegan lui même.
Les prédateurs comme le loup ou l'ours ne déséquilibrent pas l'écosystème bien au contraire, et ne sont pas "nocifs à la biodiversité" ce qui n'a strictement aucun sens; la biodiversité c'est la diversité du vivant, et des espèces supplémentaires ne feront que l'accroître.
Pour l'anti-humanisme, c'est au contraire l'Humain qui s'est exclu de la Nature, considérant à tort qu'il n'en faisait plus parti.
C'est un putain de troll. Arrêtez de perdre du temps. Le lisez même pas.
Moi qui avait peur d'avoir dit de la merde hier soir, je suis content qu'on soit passé après moi pour dire une bouse de vache en voix de disparition.
et dire que la re-introduction de grand prédateur est néfaste a la biodiversité c'est une méconaissance réelle de la biodiversité.
(et l'impact sur l'homme est discutable aussi)
vévévé.alamain.info, mais oui, mais oui, mais oui ! C'est moche, mais on s'enfout !
La Bibliothèque idéale de l'imaginaire, c'est bon pour les noeils et l'esprit.
C'est marrant votre discussion sur le fait de tuer l'animal pour le manger, parce que même simplement le fait de voir un animal entier mort emballé en barquette comme je l'avais vu une fois dans un magasin (un cadavre d'animal tel quel, avec sa tête, sa queue et ses poils) m'a fait me poser des questions. Clairement, le citadin que je suis préfèrera opter pour la viande déjà préparée, déjà avant tout par facilité, mais aussi il faut le reconnaître, parce que c'est moins choquant (en gros, ce n'est plus un animal mort mais juste une tranche de viande).
Ce que tu dis là est un vrai problème, qui est reconnu par beaucoup de monde, même si un non-vegan aura plus de faciliter à mettre ça de côté au moment de regarder le prix sur l'emballage.
Cependant, je trouve qu'il est très réducteur de limiter l'élevage à ce genre de pratique. Il existe beaucoup de petits producteurs qui élèvent leurs 20 bêtes en en prenant soin de leur naissance jusqu'à l'abattage, il n'y a pas que des salauds dans le domaine agricole (même si ce sont malheureusement souvent ceux qui se font le plus de fric).
Il ne faut pas tout mettre dans le même sac, mais de trop nombreux militants, que l'on voit mis en avant dès qu'il s'agit de parler de véganisme, n'en font pas trop au motif d'une idéologie anti-spéciste que je trouve absurde, et cela dessert au final la cause des vegans qui passent pour des farfelus, parfois même dangereux, aux yeux de la population.
Considérer que l'humain croit ne plus faire partie de la nature a tout du jugement à l'emporte-pièce.
L'humain, en tant qu'espèce, a pour devoir d'assurer sa survie, comme n'importe quel autre être vivant. Il a simplement l'intelligence pour s'être rendu compte qu'il lui était plus profitable d'adapter la nature à ses besoins plutôt que de se plier lui-même à ses caprices. Après, on peut considérer que ça va trop loin, mais le débat est là, pas sur le fait d'avoir pu adapter son environnement, sinon on retourne au stade des tribus primitives, mais je vous souhaite bien du plaisir avec vos 30 ans d'espérance de vie dont une dizaine malade.
On rejoint le premier passage que je cite. Oui, il y a de la grosse exploitation sans plus de considération pour l'animal que pour un objet, mais il y a aussi beaucoup de petites exploitations avec un faible nombre d'animaux dont l'agriculteur prend soin, et qui pour le coup vivent bien mieux avec cette captivité que si elles avaient dû naître dans la nature à se démerder toutes seules pour se nourrir, échapper aux prédateurs et affronter les maladies.
Dire que ces espèces doivent disparaître parce qu'elles ne sont pas "naturelles" n'a rien de sain, c'est juste une niche écologique qui s'est créée par l'adaptation au milieu anthropique, qui a autant droit de cité que les autres niches, faute de quoi on tombe sur l'anti-humanisme en cherchant à détruire tout ce que l'Homme pourrait créer par son influence.
Et encore, là je ne parle que des animaux d'élevage, mais on pourrait aussi étendre aux animaux de compagnie qui, bien souvent, aiment réellement leurs maître, loin d'être exploités mais au contraire traités comme des rois (pas toujours, il existe des pourris violents, mais n'en faisons pas une généralité).
Et les loups viendront manger vos bébés lors des longues nuits d'hiver.
Blague à part, le problème ne sera pas le loup, non, en effet.
En revanche, il faut bien voir que l'alimentation à base de végétaux bio qui est demandée par les végans a certes la grande qualité de pouvoir se targuer d'être naturelle, et globalement saine par absence de résidus de produits chimiques qu'il pourrait rester dessus même après lavage, mais c'est aussi basé sur une agriculture très fragile, soumise non seulement aux aléas climatiques, comme toute production agricole, mais aussi et surtout confrontée aux autres êtres vivants, avec notamment les maladies qui feront des ravages, mais aussi des espèces animales qui trouveront dans les champs un véritable garde-manger.
Certes, il est beau, le discours du "laissez vivre les animaux dans la nature", mais cela sera vite difficilement compatible avec la réalité, quand une harde de sangliers aura ravagé le champ, avec une multitude de lapins qui finiront le travail derrière. Je serais curieux de savoir comment vous allez arriver à nourrir une population de plus de 7 ou 8 milliards d'individus avec une telle généralisation de l'agriculture bio. Je doute pour ma part que l'on puisse y arriver sans une "domestication" de l'environnement agricole, qui ira de pair avec une élimination des nuisibles sus-cités au mépris du respect de la vie animale qui devra s'effacer devant les impératifs alimentaires, et beaucoup de croisage de doigts et d'espèces végétales en espérant trouver au gré du hasard des espèces résistantes au insectes et maladies.
Bref, je comprend l'idée du monde souhaité par les végans, mais c'est un peu comme ducon avec son anarchisme, ça reste une utopie qui n'est pas transposable dans la réalité. On peut faire en sorte d'améliorer les choses, mais tout doit être question de compromis, alors que trop de personnes refusent ces compromis en s'enfonçant dans le dogmatisme (et c'est là que je m'oppose).
Véganisme et agriculture biologique, ça nʼa pas grand chose à voir
La plupart des végans que je connais sont assez bien renseignés pour savoir quʼon nʼa encore jamais pu mesurer de bienfait du bio au niveau de la santé. (connaissance qui dʼailleurs me semble bien moins répandue en-dehors des végétariens de tout poil)
Je comprends que le raccourci végan-hippie-qui-mange-bio-et-s-habille-avec-des-feuilles est tentant, mais il va falloir sʼen débarrasser pour avoir un quelconque espoir de comprendre le véganisme