J'avais pas compris le bon sens de "souffrir du bingewatching". Je croyais qu'elle serait victime de la pratique.
En gros je comprends pas comment elle peut en souffrir du coup. A part endormir l'audience sur la durée de la pratique.
Ben elle va souffrir dans le sens ou c'est pas une série a bingewatché. Donc tous les gens qui attendent pour la BW vont regarder 3 ou 4 épisodes a la suite et trouver que c'est de la merde et arrêter. Alors que si ils avaient regardé 1 épisode par semaine ils serait peut être allé jusqu'au bout.
Enfin c'est comme ça que j'ai compris ce qu'a dit kilfou.
---> Topic de Vente BDs JdS : L'Aquarium de fishinou }>(((((°)>
Voilà, fishinou et manu ont bien compris.
On le voit aussi dans Flash il me semble.
Ma LudothèqueDo not fear me. Ours is a peaceful race, and we must live in harmony...
Y'a des séries qui se regardent chaque semaine (souvent les procedural en 24ep) et des séries qui se bingewatchent (les 12 épisodes avec une intrigue.)
Genre Boardwalk je le bingewatch, d'une semaine sur l'autre c'est pas simple de se souvenir des détails.
Gotham, episode de la semaine
On en reviendrait presque a regretter le freak of the week
Ma LudothèqueDo not fear me. Ours is a peaceful race, and we must live in harmony...
Bon ben The Flash, après 3 épisodes, c'est nettement plus interessant que Gotham (avis perso) pour le moment.
Ma LudothèqueDo not fear me. Ours is a peaceful race, and we must live in harmony...
Gotham, l'episode de la semaine....alors si ils essayent d'amenerben c'est pas génial ! Je crois qu'il est clair que pour le moment dc defonce pas marvel et surtout pas à gotham....Spoiler Alert!
Par contre flash et arrow sont très sympa. Le showrunner de gotham devrait en prendre de la graine !
c'est chiant la 3D
Je crois que c'est Mdt qui disait que dans Gotham, le problème était qu'il n'y avait pas de super-héros.
Du coups, effectivement, la série fait un peu pitié par rapport aux séries policières classiques. Le duo Gordon/Bullock n'a rien de très palpitant.
Pour qu'une série "extravagante" passe, il ne faut pas de demie-mesure dans l'extravagance...pour ça que je préfère aussi Flash et Arrow.
Il n'y a pas que le problème des super pouvoirs, tout fait trop cliché la femme propriétaire du bar à le charisme d'une huître et des passages vraiment ridicule, le pingouin ça fonctionne pas, le gamin Batman c'est pas assez crédible... Les épisodes sont donc long car pas assez interressent. Je ne sais pas si cela va bouger mais le constat après 5 épisodes est pas glorieux. Ça ressemble a du sous marvel agent of shield première saison, mais la y a pas la pression de film et de l'univers cinématographique de marvel.
c'est chiant la 3D
L'un des autres problèmes de Gotham, c'est que la série repose sur une contradiction :
Si Gordon réussit, Batman n'existe pas. Pour que Batman échoue, il faut que Gordon échoue lamentablement et que ses actions conduisent à la création du Pingouin, de Bane, du Joker, etc.
Alors la série pourrait jouer sur cet impending doom. Faire le portrait des échecs et des compromissions d'un homme juste mais usé par le système, qui finit par abandonner avant que l'apparition de Batman ne le relance.
Mais là, pas du tout. On est clairement censés root pour Gordon, qui essaye de sauver Bullock, qui essaye de sauver Gotham, tout en sachant qu'il ne peut réussir.
L'erreur, c'est d'avoir choisi Gordon comme perso principal. Il fallait faire du multi PoV équilibré entre sept ou huit protagonistes bien distincts (des futurs méchants, des futurs gentils et des futurs neutres) avec des enjeux propres à chacun et un seul personnage principal : la ville (qui n'a aucune identité dans la série.) Et peut-être un gros flashforward entre la première scène (les parents Wayne) et le début de la série, afin d'avoir un Bruce ado.
J'ai pas maté la série mais, pour suivre tes propos, le plus intéressant aurait été de montrer l'ascension des familles Maroni et Falcone, en parallèle de l'arrivée de Gordon, puis celle de Harvey Dent plus tard, par exemple.
On grandit au milieu des rōnins.
Ils essayent vaguement de le faire, mais mal. C'est du background noise des enquêtes de Gordon.
Ouais je vois.
Pourtant avec la galerie de personnages qu'il y a (en plus il suffit de lire Un Long Halloween et Amère Victoire pour se faire une très bonne idée du potentiel) y avait moyen d'en dégager des suffisamment charismatiques pour faire tourner la série autour.
On grandit au milieu des rōnins.
Ben la guerre Falcone / Maroni ça occupe de plus en plus de place dans les derniers épisodes, quand même. A mon avis ça va se déporter sur ça, principalement.
Un écrivain qui se livre, c'est un peu comme un canard qui se confie.
Bon clairement, Flash / Arrow, c'est nettement mieux mené que Gotham.
L'épisode de la semaine pour Arrow est très agréable, permet de mettre en place quelques fils rouges, qui devraient diriger une grosse partie de la saison.
Et surtout on s'endort pas devant.
Ma LudothèqueDo not fear me. Ours is a peaceful race, and we must live in harmony...
Je devrais bientôt pouvoir rattraper, j'en suis au 2x15 (), j'apprécie de plus en plusSpoiler Alert!
Un écrivain qui se livre, c'est un peu comme un canard qui se confie.
A vous lire on dirait que Gotham c'est les experts gotham.
Il y avait plus simple !
Ah putain Arrow je sais pas comment vous faites pour apprécier la reprise, je trouve ça pire que tout. Le 3e épisode était d'une tristesse... Arrow qui veut faire du Strike Back/24 sans moyens.
Par contre The Flash, j'ai vraiment bien aimé les épisodes 2 et 3. D'abord parce que comme le souligne Mdt, une série de super slips sans super slips ça fait tâche, et dans les épisodes de TF on a des méchants assez sympa donc ça marche d'autant mieux quand tu viens de t'enfiler un Gotham, mais aussi parce qu'il se passe pas mal de trucs dès le début du show.
Puis Barry est quand même plus sympa que cette baderne au regard de crabe anémique d'Oliver.
Gotham dans les derniers épisodes les enquêtes étaient juste prétextes à faire montrer les mafieux et autres impliqués dans le machin sur Arkham.
Je m'en fiche un peu de leur construction, les crimes sont cons, ça me fait marrer et ils font avancer une histoire rapidement par rapport à une série policière classique.
Je matte ça a 23h quand je rentre chez moi, je dois pas être très exigent à ce moment de la journée aussi.
J'ai pas maté Arrow, enfin les premiers épisodes et je trouvais ça chiant, Flash c'est regardable sans regarder/aimer l'autre ?
J'ai le même sentiment pour Arrow, je suis très déçu de cette nouvelle saison ... De plus en plus de personnages m'insupportent (Laurel Lance bien sûr, mais maintenant Felicity qui tourne carrément en rond, et en plus Thea Queen ...). Le seul qui me fait encore rester c'est Oliver/Stephen Amell qui se bonifie de saison en saison. Les autres perso c'est juste de la déco et leur évolution est nulle voire dégressive selon moi ...
The Flash m'a rendu curieux. Ils balancent de gros cliffhanger à la fin et ne connaissant pas le comics ça m'intrigue. Mais j'ai bien peur de me retrouver dans la même situation qu'Arrow avec des persos qui tournent en rond.
Gotham par contre j'apprécie beaucoup. L'arc du Pingouin me plaît, celui du jeune Bruce apprenti détective aussi. Donald Logue (Harvey) m'avait pas du tout convaincu dans Vikings mais ici je le trouve intéressant. Reste Gordon à propos duquel je ne sais que penser.
Je me faisais la réflexion justement sur le fait que dans TF, on a de vrais super-vilains contrairement à Arrow.
Peut-être parce qu'il a un vrai super-pouvoir quand Arrow est juste un Batman, plus surhomme que superhomme.
Quelqu'un a maté Constantine ? Le pilote est quand même réalisé par Neil Marshall (déjà sur le coup du pilote de Black Sails) et écrit par D.S. Goyer.
En contrepartie, ils ont transformé le héros bisexuel, alcoolique et tabagiste de l'extrême en hétéro à la limite de la caricature straight edge
C'est quand même sacrément ironique si on prend en compte le fait que le héros soit une épave car
Et que le business TV mainstream le récupère au final en lui ôtant tout ça.Apparu dans les années 1980, il est alors l'expression du refus du thatcherisme que portent les scénaristes anglais. Par la suite, qu'il vive en Grande-Bretagne ou qu'il se rende aux États-Unis, comme c'est le cas sous la plume de Brian Azzarello, il est un moyen de présenter les ravages du capitalisme sauvage contre les classes sociales les plus faibles.