L'apport freudien reste indispensable pour l'histoire du domaine. Le problème c'est d'en rester là. Je ne sais pas pour toutes les facs, mais en médecine à descartes et upmc il y a clairement une approche plus large par rapport à avant (de ce que me disait les étudiants/profs passés par là). Dans les départements de psycho, ça varie énormément, l'UFR de Diderot est un vieux bastion de psychanalystes, alors qu'à descartes et l'ens on a la possibilité en master entre plusieurs approches, et notamment la psycho expérimentale et les sciences cognitives (au sens large).