D'accord, m'en doutait un peu mais je vois pas ce que tu veux dire du coup. Je dois être un peu dans le paté
D'accord, m'en doutait un peu mais je vois pas ce que tu veux dire du coup. Je dois être un peu dans le paté
Crashcourse a une serie de videos pour vulgariser la psychologie.
C'est pas mal, mais il faut bien comprendre l'anglais (surtout que le mec parle tres vite).
Les calipers, c'est pas garanti
http://www.franceinter.fr/emission-l...ues-ordinaires
Emission de france inter avec pour invité l'auteur de "Les surdoués ordinaires". Très intéressant, il démonte un peu les idées reçues sur les surdoués (ils sont tous malheureux et incompris, les pauvres petits bichons, alors qu'il ne s'agit que d'une minorité des surdoués qui rencontrent des problèmes). Un coup d'air frais après le bouquin "trop intelligent pour être heureux".
Dernière modification par Awake ; 17/09/2014 à 15h54.
J'ai seulement entendu la partie sur le QI en rentrant du taf et pour une fois ils ont expliqué que ce n'est pas juste un chiffre.
sinon: http://www.rfi.fr/emission/20140914-...eu-belllahsen/
Sur le même thème, "un monde sans fou":
L'émission de France Inter était assez intéressante. Mais surtout, ça m'a donné envie de lire le bouquin de Nicolas Gauvrit parce que celui de Jeanne-Siaud Facchin et l'attitude "On est des gens différents" qu'on retrouve à Mensa, et autres rencontres zébrées, ont tendance à me sortir par les yeux.
Sinon "Un monde sans fous" était vraiment intéressant, merci pour le partage.
Pour avoir quasiment terminé le bouquin de Gauvrit, il vaut le coup pour désamorcer un peu le côté "super-spécial" des surdoués qu'on retrouve chez Facchin. Par contre il ne prends aucun risque, probablement pas assez, et je lui reproche un peu aussi de s'éloigner par fois de la douance pour parler de sujet psychologiques plus communs.
Je pense qu'il reste de toute façon beaucoup de choses à découvrir sur la douance, que se soit en psychologie (car les jeunes surdoués ne sont pas juste en avance, ils deviennent des adultes surdoués avec des capacités hors normes) ou en neuro. Je pense par exemple aux capacités de concentration extrême dont sont capables certains, ou de la sensibilité à certains événements normalement invisibles, qui sont très difficiles à étudier scientifiquement mais qui semblent bien présent.
La capacité de percevoir consciemment des choses qui sont normalement inconscientes. Par exemple de l'analyse comportementale automatique lors de la communication, ou dans une entreprise, la capacité à ressentir de subtiles changements d'ambiance que les autres ne perçoivent pas. Dans le genre plus mystique, vous avez peut-être déjà vu des surdoués se retourner vivement et fixé un objet ou une personne, c'est encore plus impressionnant quand plusieurs HQI le font en même temps vers le même objectif. Ils ne savent même pas eux même pourquoi ils fixent ceci (un mécanisme d'alerte ou de défense ? je sais pas on n'a pas voulu me répondre quand j'ai posé la question), mais il y a une raison rationnelle, bien qu'invisible qui les pousse.
http://www.jhsph.edu/news/news-relea...udy-finds.html
No shit SherlockWhile antidepressants are the most commonly used treatment for social anxiety disorder, new research suggests that cognitive behavioral therapy (CBT) is more effective and, unlike medication, can have lasting effects long after treatment has stopped.
http://forum.canardpc.com/threads/89...=1#post8193239
Effectivement ça semble un peu mystique, mais il y a des explications rationnelles à chaque fois. Les capacités de faire des liens entre des événements qui ne semblent pas liés sont dû à une plus grande capacité à faire des connexions neuronales. L'attention accrue est dû à la sur-activité du cerveau (il y a plus de neurones qui sont utilisés pour une même tâche). Par contre pas d'études scientifiques sur ces sujets à ma connaissance .
Je vous lis tranquille depuis un moment, sans participer mais ce dernier post vient de m'interpeller.
Pourquoi, à votre avis, des compétences intellectuelles importantes (voires supérieures) sont-elles communément associées à une certaine asociabilité ?
C'est quasi-systématique dans les oeuvres de fiction et je pense que beaucoup de gens font cette association naturellement. Or dans la réalité, rien ne semble le suggérer. Cela m'a tout l'air d'être une parfaite construction.
Deux raisons au pif:
- les autistes à la TV et au ciné sont quasiment tous des génies, d'où confusion
- effet jalousie: si un type est plus intelligent que toi, il FAUT qu'il ait un défaut, sinon ce serait trop injuste.
Parce que c'est pourtant le cas. Pas pour les QI légèrement au dessus de la moyenne mais pour ceux fortement au dessus de la moyenne:
http://psychology.wikia.com/wiki/Cor...ial_deficiency
Mouais... C'est pas ce dit l'article, et de plus, je le trouve tout sauf convainquant. Il évoque des compétences sociales amoindries mais prend pour exemple des situations où c'est la perception des autres qui est en cause.
Et puis, je pense qu'il pourrait y avoir un effet de loupe sur ce sujet, dans le sens où les personnes soumises aux tests sont justement celles qui présentaient des troubles de la relation (du moins, c'est probable).
Ce que je veux dire, c'est qu'une personne disposant de compétences intellectuelles supérieures et de bonnes compétences sociales serait plus difficile à remarquer. Cela ne fait pas ni d'un cas ni de l'autre une généralité.
Maintenant, concernant les très haut niveau, ces personnes étant "exceptionnelles" en elles-mêmes (sans jugement de valeur), elles se distinguent nécessairement et se différencient du groupe d'individus majoritaires.
Dernière modification par Xchroumfph ; 01/10/2014 à 18h20.
Je pense que c'est du flan. Il a plein de surdoué (une majorité en fait) qui ne se savent pas surdoués et qui mènent une vie sociale tout à fait normale.
Il y a peut-être une corrélation entre douance et phobie sociale, de la même façon qu'il y a une corrélation avec la synesthésie, mais cela veut juste dire que les chances sont augmentés, pas que la majorité est touchée.
Intéressants vos avis. Des études ou des articles qui vont dans ce sens ?
Le forum CPC, nous sommes tous experts en tout donc surdoués et on a tous l'air vachement social
Plus sérieusement, ça me semble difficile de valider une hypothèse dans un sens ou dans l'autre vu qu'il faudrait choper un panel de surdoués suffisamment important et faire une expérimentation sur leur "sociabilité".
Je n'ai aucune étude pour appuyer mon propos, c'est quelque chose d'empirique: comme dit plus haut le test de QI ne se limite pas a un chiffre, on pourrai meme plus le voir comme une courbe de scores dans differentes catégories, et si il y a un excellent score genéral, il existe des disparités dans le detail. Sans parler d'associabilité peut être que l'on ne s'attend pas a voir des disparités, ou du moins pas si grandes, on voudrai que tout les surdoués soient surdoués en tout?
Je bosse à l'hosto donc ce n'est pas représentatif de la population générale, mais j'ai le souvenir d'une patiente qui avait une courbe en montagnes russes, et qui était incapable de gerer son quotidien, avec pourtant un score general bien au dessus de la moyenne.
Les résultats hétérogènes sur les tests psychométriques, c'est plutôt très mauvais signe. Soit cela invalide le test, soit cela peut indiquer un aspect pathologique.
Sinon, ma question concernait la représentation commune du fait qu’intelligence et asociabilité sont souvent liées. Pas vraiment de sa véracité.
Je pense en effet que des personnages de fiction très emblématiques ont entretenu cette idée depuis des lustres (Holmes, Spock, Tournesol, Dr House, etc.). C'est un gimmick très utilisé. Je pense que ces personnages symbolisent dans une certaine mesure le mélange de méfiance et de fascination qu’exerce la science en général sur la plupart des gens.
Il y aussi toutes les histoires qui entourent les autistes de haut niveau même si la plupart sont de pures fabulations.
Ma petite contribution, parce que j'ai toujours apprécié les sciences cognitives, même si je n'ai jamais poussé le sujet très loin pour ma part.
Pour commencer, ce qui concerne le plus de monde: les tests psychotechniques. J'en ai passé plusieurs récemment dans le cadre de recrutements. C'était pour des postes typés cadre, soit avec le concours de cabinets de recrutement, soit fait directement par le service RH de grosses boites. J'ai donc eu droit aux chiffres, aux suites de dominos, aux lettres, aux contraires/synonymes/intrus et autres associations d'idée, ainsi qu'aux questions du genre "je préfère lire le journal que de prendre des bains chauds". Je me souviens d'un nom de tests parmi d'autre: le test PAPI. Et un autre test se basait sur les big5.
Au final, sur les retours que j'ai pu avoir, j'ai eu des résultats assez vrais en ce qui concerne mon comportement au travail et ma personnalité globale; je dirais qu'ils étaient proches entre 70 et 90% par rapport à mon moi du boulot. Les fois où j'ai essayé d'orienter les tests, les résultats étaient moins flatteurs ou adaptés aux poste visés, donc j'ai fini par y aller "au feeling". Si ces tests sont toujours en compléments d'entretiens plus classiques, il n'y a quand même qu'une seule fois que j'ai trouvé qu'ils ont fait ça de manière sérieuse car les tests étaient mis en perspective: un psychologue du service RH m'avait appelé pour me faire part des résultats, et pour chaque trait de caractère/comportement, me demandait un exemple de ma vie professionnelle illustrant l’assertion.
Sinon à part ça, je connais quelqu'un d'assez proche de moi qui souffre de TOC, et je compte donc vous faire part de mon expérience, de l'angle d'un béotien.
Le TOC, aussi appelé névrose obsessionnelle par les psychanalistes, est parfois surnommée la maladie du doute. Au niveau médical, la maladie trouve son origine dans un souci avec les recapteurs de sérotonine. En terme de symptômes, la personne atteinte sera sujette à des angoisses régulières, fréquentes et puissantes. Afin d'éviter ces angoisses, la personne va alors imaginer des rituels sensés la rassurer (vérifier qu'on a bien fait telle action, qu'on a bien dit tels mots, que tel objet est toujours à sa place). Les rituels peuvent être physiques (c'est ce qu'on montre souvent à la tv, car ça peut parfois être impressionnant) mais aussi mentaux (ruminations, reflexion intense et répétée sur un événement anxiogène).
Au niveau traitement, il y a plusieurs méthodes: hypnose, psychanalyse, électrochocs; ces méthodes sont souvent contraignantes, tout en ayant un succès discutable sur la globalité des patients. La méthode qui pour l'instant semble donner les meilleurs résultats est la TCC, ou thérapie comportementale et cognitive, qui consiste globalement à exposer le patient à des angoisses contrôlées, afin finalement qu'il se réhabitue à affronter ses angoisses plutôt qu'à les fuir. Bien sûr l'exposition à ces angoisses doit se faire très graduellement, afin de ne pas provoquer un aggravement de l'état du patient. Une TCC dure entre 6 mois et 2 an, si je me rappelle bien.
Au niveau médoc, les cocktails d'anxiolytiques et d'anti-dépresseurs (qui agissent sur la sérotonine, si je ne me trompe pas?) semblent assez efficaces. Comme souvent en psy, le dosage peut varier fortement selon les patients.
Un bouquin expliquant bien tout ça est celui du docteur Sautereaud: Je ne peux pas m'arrêter de....
Alors on a vu les grandes théories, maintenant en pratique:
un tocqué va avoir un thème prédominant sur ses angoisses. Ça peut être le malheur(j'ai peur qu'il arrive quelque chose parce que j'ai vu tel signe), l'agressivité (j'ai peur d'avoir fait du mal à quelqu’un -par négligence, par accident,...- ), les pensées magiques (j'ai peur que ce qui vient de me traverser l'esprit ne se réalise), etc. Ce thème va se décliner en plein de sujets d'angoisses plus ou moins fortes, mais le tout reste hyper cyclique. Le thème et les sujets sont donc récurrents, et la maladie elle-même l'est également: il y a des périodes de plusieurs mois où ça va mieux, et d'autre où ça va moins bien.
La personne, étant incapable de gérer l'angoisse, va ritualiser afin de tenter de se rassurer. Ce rituel va être plus ou moins logique et plus ou moins loufoque/impressionnant/visible, et va avoir un effet plus ou moins marqué selon les cas. Le problème étant que parfois le rituel va amener d'autres angoisses... le toc faisait Inception avant même que le film ne sorte!
Pourquoi le toc est appelé maladie du doute? Parce que la personne atteinte va toujours angoisser sur des choses passées. donc elle va tenter de se remémorer (ai-je bien fait-ci, ai-je bien vu ça?); de même, il va se mettre à douter du coup sur ses rituels (l'ai-je fait correctement? l'ai-je vraiment fait? mais quand j'ai vérifié ça, quel était le résultat déjà?), c'est pourquoi il les répète.
Le problème avec les tocs, c'est que les probabilités n'existent plus. Un exemple trop gros pour exister sera néanmoins assez parlant: le fait qu'une météorite me tombe sur la gueule et me tue est possible. Y'a 0,0000001% (en vrai sûrement encore moins) de chances que ça se produise, mais ça reste possible. Eh bien pour un tocqué, cette possibilité va lui provoquer une angoisse, qu'il ne saura gérer.
Personnellement, je trouve qu'on peut pas mal rapprocher les tocs des addictions à l'alcool ou aux drogues, pour plusieurs raisons:
- on y est plus sujet quand notre état mental est faible (fatigue, stresse,...)
- la personne atteinte va avoir tendance à s'isoler du monde extérieur (car en l’occurrence ça lui provoque ses angoisses)
- on n'en guérit jamais vraiment (qui n'a jamais senti l'odeur d'une clope qui s'allume en se disant mmmmh! ça faisait longtemps!); chez les tocqués, ça veut dire des angoisses qui reviennent (mais qui se gèrent bien grâce aux armes fournies par la TCC)
- il y a un phénomène de "manque": lors des périodes calmes du toc, on observe parfois la personne "se chercher des angoisses" (la personne en question le disait elle-même)
- la honte associée à cette dépendance et/ou l'aspect de culpabilité
- il semblerait qu'il y ait pour les tocs une prédisposition génétique. Comme pour l'alcool: on ne naît pas alcoolique, mais certains gènes favorisent l'apparition de la maladie
Au final, cette maladie est une vraie chianlie qui transforme quasiment les personnes atteintes. De plus, elle est insidieuse et bien maligne, car elle sait se transformer en cas de progression (nombreux sont ceux qui aux cours d'une TCC, après avoir connu quelques temps de diminution du nombre et des sujets d'angoisse, voient des sujets inédits apparaître). Les rituels physiques, associés à une certaine notion de culpabilité font que les personnes atteintes peuvent avoir du mal à sauter le pas de la thérapie. Je préciserai que si on veut guérir de manière durable des tocs, il faut vraiment le vouloir: la TCC comporte une partie d'exposition volontaire et programmée aux angoisses; une personne qui ne veut pas guérir ne va donc pas avoir la motivation nécessaire à s'exposer ainsi, et arrêtera la thérapie en cours de route. Il sera donc inutile de "forcer" quelqu’un à commencer une thérapie si elle n'y croit pas.
Bon, à la relecture je vois que c'est un peu foutraque, mais bon, ça fait quand même du bien d'en parler
En bilan je dirait quand même que si vous souffrez de tocs, prenez un rdv pour une TCC le plus rapidement possible: la maladie, même s'il y a des périodes de mieux, ne s'en ira jamais d'elle-même, et sans accompagnement il y a très peu de chances que vous puissiez guérir. Les médoc marchent très bien pour vous soulager de la majorité des angoisses pendant que la tcc vous fera travailler sur celles qui restent (les médocs élaguent les branches de l'arbre et la tcc va couper le tronc).
Et d'ailleurs pour ceux qui veulent suivre une TCC, je leur conseille le site de l'aftcc, qui recense les praticiens formés à la thérapie suite à une démarche volontaire.
Merci pour ton retour.
Concernant les angoisses, on m'avait expliqué qu'en général c'est "l'arbre qui cache la forêt".
En gros, cette théorie consiste à dire que tu as peur d'une chose que ton inconscient ne peut pas accepter du coup tu déportes inconsciemment ta peur sur d'autres objets que ton inconscient accepte. Cela expliquerait la difficulté qu'il y a à guérir et l'angoisse à se transformer puisqu'une fois que tu cesses d'angoisser sur la météore pour reprendre ton exemple, tu n'as pas réglé ta véritable peur du coup le cerveau déporte sur un autre objet.
Cette théorie n'explique certainement pas tout mais elle m'avait semblé intéressante et en tout cas dans mon cas elle m'a aidé à comprendre un peu ma maladie.
Je me suis permis de souligner les passages relatifs à la "volonté de guérir" car les termes ne me semblent pas exacts. Une personne souffrant de tels problèmes veut toujours guérir mais elle n'a pas toujours la force nécessaire pour le faire pour quelque raison que ce soit.
Je vais prendre un exemple avec une maladie physiologique pour être plus clair.
Toutes les personnes qui souffrent d'un cancer veulent en guérir. Cependant, parmi elles certaines seront extrêmement fortes moralement, elles passeront chimio après chimio sans faillir et auront la rage de s'en sortir alors que d'autres vont parfois s'effondrer, elles vont perdre espoir durant le traitement car il est trop lourd à supporter, parce qu'elles sont seules et n'ont pas le soutien de proches ou quelque autre raison. Pour autant ça ne viendrait à l'esprit de personne de dire que les premières veulent guérir et les seconde ne veulent pas, elles veulent toutes s'en sortir simplement certaines parviennent à lutter plus efficacement que d'autres contre la maladie.
Pour les maladies psychiques c'est exactement la même chose, tout le monde veut s'en sortir mais c'est très très dur de le faire et parfois il y a de la lassitude l'impression que c'est perdu ect...
Voilà, je sais que pour beaucoup de monde ce que je viens de dire paraît très pointilleux et j'avoue que ça l'est un peu mais voilà ça me semble important de dire que les personnes atteintes de trouble psy n'ont pas moins de volonté que d'autres et ne se complaisent pas dans la maladie en refusant de guérir. Ce n'est pas un problème de volonté mais de capacité à faire face à la maladie.
Tu as raison de le préciser gatsu
Effectivement c'est une question de force plus que de réelle volonté. Je parlais de volonté plutôt par rapport à la thérapie: la personne proche qui est atteinte ne crois pas trop aux psy, ni à l'efficacité de la TCC; du coup, elle n'a pas la motivation nécessaire pour endurer les angoisses que la thérapie peut impliquer.
La peur du traitement joue également. La personne s'auto-persuade que finalement sa maladie n'est pas si handicapante, que de toute façon ça ne touche qu'elle (ce qui est faux bien sûr), etc.
Donc comme toute maladie psychique, le fait de se résoudre à suivre une thérapie est déjà un bon pas en avant.
Je rajouterais la possibilité de délire en phase maniaque (megalomanie etc..). Et aussi le traitement par antipsychotique qui est très souvent indiquée dans l'épisode maniaque(délire ou non). Pour ce qui est de l'électroconvulsivotherapie à par en épisode depressif très sévère et résistant à tout traitement j'ai eu peu d'écho de son utilisation (après je suis pas professionnel de santé je tiens tout de suite à le préciser). Je m'intéresse de près au sujet pour des raisons personnelles (étant touché) et parce que j'entame des études de psychologie.
Ps: J'adore ce thread très intéressant, et j'espère qu'il vivra longtemps.
Hop, modif faite sur l'OP.
Sinon vu que c'est le sujet, tentative de définition des TOCs :
Trouble Obsessionnel Compulsif, aussi appelée maladie du doute. Les personnes atteintes de TOC sont sujettes à de puissantes angoisses et tentent de se rassurer via des rituels (physique ou psychiques). Les TCC sont recommandées - éventuellement en association avec un traitement médicamenteux - afin de vaincre ou de réduire les effets négatifs de la maladie.
Internet Trolls Are Narcissists, Psychopaths, and Sadists
Ce n'est pas un article de theonion..
Un rituel n'est pas par définition répétitif ?