Dites, je reviens ici par rapport à
une affaire qui fait l'actualité et que j'ai rapporté dans le topic LDJ suite à la dernière discussion relative à l'immobilier qui y a eu lieu.
Alors, on comprend en gros que toute notification écrite, fut-ce même un mail avec un simple "OK" peut suffire pour faire valoir une acceptation du vendeur, mais quand c'est de l'oral, ce n'est pas un peu trop facile pour l'acheteur, qui au final pourrait très bien dire ce qu'il veut, vrai ou pas ?
Je demande, parce qu'un collègue m'a tenu il y a quelques mois un discours du même type, en étant remonté contre un propriétaire qui lui aurait donné un accord oral avant de se désister, et il était persuadé de gagner s'il décidait de porter l'affaire en justice, bien qu'en ne disposant d'aucune preuve écrite de cette acceptation, ce qui me semblait douteux pour ma part.