Pour poursuivre ce tour du monde franchouillard, intéressons-nous aujourd'hui aux Asiatiques. Alors que les peuples européens, à l'exception des Anglais, trop rigides, des Allemands, trop sévères, des Italiens, trop hétéros, des Grecs, trop homos et des Espagnols, trop bruyants, et je ne parle même pas des pays du Nord ou de l'Est, ça n'en vaut pas la peine, alors que les peuples européens, disais-je, sont la lumière du monde, les Asiatiques, non.
Leur fourberie, bien connue des personnes au regard français, pardon, au regard franc, est redoutable. D'ailleurs, ne s'adonnent-ils pas, pour un grand nombre d'entre eux, à un odieux mélange abâtardi de communisme et de confucianisme ? Si, ils le font, et sans honte en plus, ce qui ne peut qu’écœurer l'honnête homme nourri au sarkozysme de bon aloi.
Mais, comme souvent chez les peuples mangeurs de riz, la vilenie ne s'arrête point là. Certains d'entre eux poussent le vice à copier servilement les grandes idées des Européens, pour inonder le marché de contrefaçons, qu'ils revendent à vils prix pour terrasser notre saine économie.
Et, figurez-vous que je découvre qu'ils adoptent cette démarche dans le droit aussi ! Alors là, je dis stop ! Laissez-nous nos idées ! Ne les recopiez pas ! Vous n'en avez pas le talent.
Tenez prenez, par exemple, la Corée du Sud. Figurez-vous que cette dernière a voté une loi qui est entrée en vigueur le 1er avril dernier. Déjà, vous aurez remarqué la troublante similitude avec la pratique législative québécoise, qui consiste à traiter avec un humour déplacé de potache les textes de loi.
Mais ce n'est pas tout. Tentant de copier les saines tentatives françaises de contrôler le Web, leur loi prévoit que pour chaque site, dont l'audience dépasse cent mille visiteurs uniques par jour, il y a désormais une obligation de collecter l'équivalent local du numéro de carte de sécurité sociale, ainsi que le nom réel de tout internaute qui souhaite s'exprimer.
Du coup, Google, propriétaire de YouTube, a fermé sa version sud-coréenne du site de partage et les internautes ne peuvent plus envoyer de vidéos ni laisser des commentaires et ce, afin d'éviter d'avoir à balancer l'identité réelle des internautes à la première demande du gouvernement.
Alors, laissez-moi rire, messieurs les Sud-Coréens. Votre imitation grossière du contrôle du Web manque de la subtilité de nos textes.
Ah oui, et aussi un mot à l'intention des Japonais. Arrêtez de flooder l'Assemblée Nationale française avec vos ninjas socialistes pour torpiller notre processus législatif. Merci.
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