Vous écrivez quoi de légal, là, tout de suite, maintenant ?

**Akodo** · 10/03/2024, 00h39

Entre 6750 et 15000 signes, toutes les infos sont quelques posts plus haut.

**Patate** · 11/03/2024, 08h18

Merci ! Désolé j'ai dû passer à côté...

**Saintvergetorix** · 15/03/2024, 11h49

Envoyé par Akodo

Bon, j'ai trouvé mon idée pour le concours, et suis en train de l'écrire. Y aurait-il des gens dispos pour une éventuelle relecture quand j'aurai terminé ?

Si besoin, tu as mon mail. Bonne rédaction!

**Goji** · 27/03/2024, 15h16

As-tu envoyé ta nouvelle, Akodo ?

**Saintvergetorix** · 27/03/2024, 15h54

Envoyé par Goji

As-tu envoyé ta nouvelle, Akodo ?

Je l'ai relue aussi

J'ai bon espoir qu'elle vaille une nouvelle publication au pen club cpc.
Ca donne quoi l'autopublication, si ce n'est pas indiscret?

**Goji** · 27/03/2024, 17h21

Quelques chroniques (par le biais de services presse), dans l'ensemble positives, mais sans retombée significative (c'est-à-dire, pour être honnête, aucune vente et aucun retour spontané).

On va dire que cela fait une petite expérience, et une base pour la suite. Je vais tâcher de compiler mes nouvelles préférées et de proposer un recueil d'ici l'été, histoire d'étoffer ma bibliographique et de préparer, doucement, mais sûrement, l'arrivée du roman d'ici la fin de l'année.

Écrire est un travail solitaire (et compliqué, pour ma part), mais tout ce qui suit ne l'est pas moins !

**Akodo** · 27/03/2024, 19h29

Envoyé par Goji

As-tu envoyé ta nouvelle, Akodo ?

Pas encore ! Je travaille encore les derniers détails. En tout cas vraiment un grand grand merci à vous deux pour la relecture et vos remarques qui m'ont permis d'améliorer mon texte. Si j'arrive à me creuser une place dans ce recueil de nouvelles, ce sera en partie grâce à vous

Courage Goji !

**Saintvergetorix** · 28/03/2024, 20h19

Envoyé par Goji

Quelques chroniques (par le biais de services presse), dans l'ensemble positives, mais sans retombée significative (c'est-à-dire, pour être honnête, aucune vente et aucun retour spontané).

On va dire que cela fait une petite expérience, et une base pour la suite. Je vais tâcher de compiler mes nouvelles préférées et de proposer un recueil d'ici l'été, histoire d'étoffer ma bibliographique et de préparer, doucement, mais sûrement, l'arrivée du roman d'ici la fin de l'année.

Écrire est un travail solitaire (et compliqué, pour ma part), mais tout ce qui suit ne l'est pas moins !

Hum, ça recoupe mon expérience du truc: pour que ça marche, il faut du battage et, dans l'idéal, une commu'... Comme avec une publication à compte d'éditeur, finalement.

Envoyé par Akodo

Pas encore ! Je travaille encore les derniers détails. En tout cas vraiment un grand grand merci à vous deux pour la relecture et vos remarques qui m'ont permis d'améliorer mon texte. Si j'arrive à me creuser une place dans ce recueil de nouvelles, ce sera en partie grâce à vous

On croise les doigts!

**Goji** · 28/03/2024, 21h44

Envoyé par Saintvergetorix

... Comme avec une publication à compte d'éditeur, finalement.

Certes, mais à compte d'éditeur, c'est essentiellement l'éditeur qui s'occupe de la com'

Si bien sûr l'auteur doit faire sa part de promo (salons, etc.), c'est surtout l'éditeur qui s'engage à soutenir l’œuvre produite. Et c'est un sacré soulagement (et la raison pour laquelle j'essayerai toujours de trouver un éditeur).

À compte d'auteur, c'est l'auteur qui fait sa com', et c'est une casquette pas forcément facile à porter. Perso, ça m'emmerde, d'autant que le public est de plus en plus difficile à "capturer". Sous plusieurs chroniques sur Instragam, des messages affirment "oh lala, elle a l'air super cette histoire, ça m'intéresse", pour finalement aucun achat, et encore moins d'autres critiques pour un quelconque effet boule de neige.

Bref, pour moi, c'est compliqué. Encore une fois, je préfère voir ça comme une expérience et un terreau pour mes futures productions.

**Dross** · 28/03/2024, 22h38

T'est pas le seul.

Faut vraiment être d'une mentalité particulière pour faire une auto-promotion efficace, et personnellement j'ai aussi horreur de ça. J'aime écrire, pas hurler sur les places publiques que ma soupe est la meilleure.

Et c'est ce que je n'aime pas dans la stratégie des maisons d'éditions actuelles : elles piochent dans les nouveaux auteurs qui ont déjà une petite communauté, donc qui ont déjà des compétences en auto-promos. Bien sûr elles se dé-risquent énormément, mais ça limite aussi énormément la variété d'auteurs compatibles avec cette démarche (déjà que c'est un milieu où règne naturellement l'entre-soit).

**Saintvergetorix** · 29/03/2024, 14h03

Envoyé par Goji

Certes, mais à compte d'éditeur, c'est essentiellement l'éditeur qui s'occupe de la com'

Si bien sûr l'auteur doit faire sa part de promo (salons, etc.), c'est surtout l'éditeur qui s'engage à soutenir l’œuvre produite. Et c'est un sacré soulagement (et la raison pour laquelle j'essayerai toujours de trouver un éditeur).

Envoyé par Dross

Faut vraiment être d'une mentalité particulière pour faire une auto-promotion efficace, et personnellement j'ai aussi horreur de ça. J'aime écrire, pas hurler sur les places publiques que ma soupe est la meilleure.

Je vais argumenter un peu dans l'autre sens (sinon, ce n'est pas drôle): les auteurs publiés à compte d'éditeur les plus "bankables" sont aussi ceux qui se mettent le plus en scène pour leur promo. Au point que certains semblent s'être construit un véritable "personnage public", à destination des médias et des lecteurs. Je pense à Sylvain Tesson, Michel Houellebecq, ou encore Amélie Nothomb: tous les trois font partie des "happy few" qui peuvent vivre de leur plume. Ils sont sur-couverts par les médias au moment de la promotion de leurs nouveaux bouquins. Et, très franchement, ils bullshitent tellement, leur discours est tellement hors-sol que, quand je les entends, je me dis: "mais qui sont ces gens?"

Réponse: de grands bourgeois, habitués à être autorisés (à écrire, à parler), à juger que ce qu'ils disent est bon, intéressant et vrai... qui ne se posent pas la question de leur légitimité à s'exprimer (bien sûr qu'ils sont légitimes), ni celle de leur raison d'être (auteur), que leur place dominante dans la société a réglé à la naissance, et encore moins celle de l'intérêt de leur oeuvres. La "mentalité particulière" que tu évoques, Dross, ça me semble découler de ça: pourquoi ne pas faire sa promo quand on a l'assurance d'apporter un discours de vérité à un monde qu'on surplombe ?

Pourquoi ces réticences à faire ce que font ces auteurs à succès (mettre en avant son oeuvre, se mettre en avant)? Notre modestie répugne à tout ça... mais ne vient-elle pas de notre place modeste dans la société (relativement à eux)?
Je pense qu'il ne faut pas rechigner à faire son autopromo, quand on pense que ce qu'on a écrit vaut la peine d'être lu. Et on le pense quand on le publie.

J'en sais quelque chose. D'ailleurs, lisez Jupiter, tiens https://www.amazon.fr/Jupiter-Foulqu.../dp/B096YGH6MV

**Dross** · 29/03/2024, 16h43

Pour moi ce n'est pas de la modestie, juste un désintérêt profond. La promotion de contenu, c'est un métier, et la meilleure manière d'y être efficace c'est de prendre les gens pour des cons (rabâcher à longueur de temps, etc), c'est le contraire d'une pratique littéraire. C'est pas juste poster un lien comme tu fait, c'est poster reposter le même contenu toute la journée sur les réseaux pour s'assurer que tout le monde l'a bien vu, rabâcher et rabâcher encore, occuper l'espace en parlant tout le temps, tout les jours, même pour ne rien dire, s'insérer dans des polémiques juste pour la visibilité que ça donne, produire du contenu artificiellement viral, etc.

Les auteurs peoples dont tu parles sont déjà d'une caste particulière, mais en plus il ne font qu'intervenir dans la promotion organisée par leur maison d'édition. Ce qui n'est pas tout à fait la même chose.

Personnellement je crois infiniment plus à la cooptation dans ce domaine qu'à d'autres mécanismes pour trouver des perles : des auteurs ayant leur propres lecteurs qui découvrent et mettent en avant la "relève". Quand on lis des auteurs du début 20e c'est flagrant : ils sont sans arrêt en train de parler d'autres auteurs, passés ou nouveaux, certains sont resté dans l'histoire et d'autres non, mais je suis certains en tant que lecteur que si j'irai lire l'un d'entre eux ça sera bien, car adoubé par un auteur que j'aime.

Cette cooptation c'est un risque pour les maisons d'éditions, car ce qui est bon ou apprécié d'un auteur ne sera pas forcément un succès commercial, et il est beaucoup plus facile de prendre ce qui va se vendre (quelqu'un qui a déjà un lectorat, qu'importe la qualité de ses textes) que de faire un pari sur un inconnu.
Un peu comme les Goncourt qui aujourd'hui ne pré-sélectionnent que ce qui a déjà au moins un petit succès commercial.

Sauf qu'en tant que lecteur, la cooptation est beaucoup plus performante pour trouver ce qu'on aime. J'en veux pour preuve que du temps des blogs et de leurs "liens références" on trouvait quand même infiniment plus de plumes intéressantes et inconnues qu'avec les réseaux et usages d'aujourd'hui. On pouvais d'un seul échange avec un autre auteur se retrouver mis en avant sur son blog et obtenir sans effort une visibilité d'un lectorat potentiellement intéressé par tes écrits. Comme avec l'ancien monde de l'édition : un Rimbaud pouvais impressionner les acteurs d'alors et se retrouver mis en avant.

Bien sûr, il fallait qu'il ai un peu d'audace et envoie 2-3 manuscrits à des sommité avant, mais on est loin de ce second job que l'état actuel exige.

Car au final, ceux qui vont les passer ces 2-3h/jour à faire leur auto-promo, bah c'est ceux qui n'ont rien de mieux à faire, et pas grand chose à dire.

**zebulon** · 29/03/2024, 17h38

Bonjour à tous,

Nous étions en 2016 et j'étais certainement un petit peu en colère :

Spoiler Alert!

Nous sommes en 2024 et je pense m'être sauvé de la solitude, de l'incompréhension de mes contemporains, du besoin de reconnaissance ; bref, de toutes les turpitudes qui assaillent n'importe quel littérateur...

Spoiler Alert!

L'écriture, pour moi, était au départ peut-être, comme un sursaut d'orgueil, une façon de dire aux autres et de me dire : "moi aussi, je sais faire quelque chose !" Ce fut assez compliqué… Et puis le temps a passé et l'écriture fait aujourd'hui partie de moi ; elle m'accompagne comme peut m'accompagner mon épouse ou le Créateur. La littérature est une amie, un confident… (la littérature n'a pas de sexe). Il m'arrive parfois de la laisser de côté ; mais je suis toujours très heureux de la retrouver, en tout simplicité…

Bien à vous et au plaisir d'avoir de vos nouvelles !

**Akodo** · 31/03/2024, 16h59

Belle poésie Zebulon. Effectivement tu as parcouru du chemin en 8 ans, tu as comme qui dirait accepté les choses. Il parait qu'apprendre à vivre c'est apprendre à accepter, donc bravo à toi !

J'ai envoyé ma nouvelle pour le concours hier, ils annoncent les résultats le 30 juin au plus tard. Dans tous les cas j'ai pris beaucoup de plaisir à écrire ce texte, et j'ai créé un personnage pour mon roman dans le même mouvement... @Goji et @Saintvergetorix : j'avoue ne pas avoir tout à fait écouté vos remarques concernant la fin de l'histoire, puisqu'après avoir rédigé une conclusion qui allait dans "votre" sens, je n'étais pas satisfait. J'ai quand même modifié la chute pour que ce soit plus marquant, en trouvant une idée que je trouve originale et dans la thème. Si ça vous dit je peux vous faire parvenir le texte.

Car au final, ceux qui vont les passer ces 2-3h/jour à faire leur auto-promo, bah c'est ceux qui n'ont rien de mieux à faire, et pas grand chose à dire.

Je connais une autrice qui est très présente sur les réseaux, mais aussi dans beaucoup de salons du sud de la France. Avec ses deux romans et ses déplacements, c'est facilement trois posts par semaine sur les réseaux. Plus le temps de présence aux événements, sur une semaine on est effectivement pas loin du mi-temps. Ça a l'air de marcher à peu près, mais quel investissement... Et pendant ce temps on n'écrit pas.

**Goji** · 01/04/2024, 12h28

C'est très satisfaisant d'envoyer enfin sa nouvelle, ensuite il faut s'armer de patience !

Je ne sais pas où en est l'anthologie L'humour de demain et d'ailleurs qui doit sortir chez Arkuiris ; j'ai appris avec joie que ma nouvelle était retenue en juin 2023. J'espère une sortie cet été !
De même j'attends l'annonce des finalistes de l'anthologie Avatar, Digital Ghost, toujours chez Arkuiris, pour laquelle mon histoire a été présélectionnée en janvier dernier. Et je suppose qu'après la sélection finale (je croise les doigts ^^) il faudra attendre encore un an avant la publication.
Enfin, je garde un œil sur l'anthologie Lueurs Obscures des éditions Ogmios. J'avais envoyé Senex Parcum en septembre 2020, pour une réponse (négative, donc) en mars 2022. Nous sommes en avril 2024 et l'anthologie n'est toujours pas sortie. Leur dernier message sur Facebook date de décembre dernier... j'espère que ce n'est pas une mauvaise nouvelle.

J'ai tout à fait conscience que l'édition prend du temps, et je ne pense pas que ça va s'arranger. La conjoncture économique ne va pas dans ce sens. Bravo à ces maisons d'éditions qui gardent le moral et la passion !

**Saintvergetorix** · 03/04/2024, 11h07

Envoyé par Dross

Personnellement je crois infiniment plus à la cooptation dans ce domaine qu'à d'autres mécanismes pour trouver des perles : des auteurs ayant leur propres lecteurs qui découvrent et mettent en avant la "relève". Quand on lis des auteurs du début 20e c'est flagrant : ils sont sans arrêt en train de parler d'autres auteurs, passés ou nouveaux, certains sont resté dans l'histoire et d'autres non, mais je suis certains en tant que lecteur que si j'irai lire l'un d'entre eux ça sera bien, car adoubé par un auteur que j'aime.

Je suis d'accord sur ton analyse des auteurs des XIXe-XXe, et c'est un idéal dans lequel je me retrouve.
Quelques part, les prix littéraires en sont l'héritage, puisque ceux qui les reçoivent sont ensuite membres du jury. Exemple type: le Goncourt, qui a primé les auteurs que j'ai cités dans mon post précédent, et qui fonctionne par cooptation.

Envoyé par Dross

Pour moi ce n'est pas de la modestie, juste un désintérêt profond. La promotion de contenu, c'est un métier, et la meilleure manière d'y être efficace c'est de prendre les gens pour des cons (rabâcher à longueur de temps, etc), c'est le contraire d'une pratique littéraire. C'est pas juste poster un lien comme tu fait, c'est poster reposter le même contenu toute la journée sur les réseaux pour s'assurer que tout le monde l'a bien vu, rabâcher et rabâcher encore, occuper l'espace en parlant tout le temps, tout les jours, même pour ne rien dire, s'insérer dans des polémiques juste pour la visibilité que ça donne, produire du contenu artificiellement viral, etc.

J'ai le même ressenti, mais il ne faut pas mépriser cette promo pour de mauvaises raisons. Quand on est artiste, on n'a pas envie d'être marchand de ses oeuvres, ni marchand de soi-même, mais je maintiens que les auteurs, même publiés par des maisons d'édition, sont cela aussi et que ça participe de leur succès.

Envoyé par Goji

Je ne sais pas où en est l'anthologie L'humour de demain et d'ailleurs qui doit sortir chez Arkuiris ; j'ai appris avec joie que ma nouvelle était retenue en juin 2023. J'espère une sortie cet été !
De même j'attends l'annonce des finalistes de l'anthologie Avatar, Digital Ghost, toujours chez Arkuiris, pour laquelle mon histoire a été présélectionnée en janvier dernier. Et je suppose qu'après la sélection finale (je croise les doigts ^^) il faudra attendre encore un an avant la publication.

Au top, Goji!

**Akodo** · 08/04/2024, 21h04

J'espère qu'on aura des nouvelles de tout ça prochainement Goji ! Ça sent quand même un peu le pâté pour les éditions Ogmios, autant de retard pour une anthologie... Finalement c'est peut-être presque mieux que tu sois libre avec ton texte, au moins tu peux en faire ce que tu veux...

Je reviens avec un nouvel appel à textes. Dimanche j'étais au TGS de Montpellier, et j'y ai rencontré une assoc' qui publie une revue bisannuelle de nouvelles SFFF. J'ai acheté deux numéros pour voir à quoi ça ressemble, ça a l'air plutôt pas mal. Bref, le prochain numéro à paraître est pour plus tard dans l'année, et ils ont lancé un appel à texte pour le 14/07 au plus tard. Le thème : les hommes et femmes de l'ombre (les petites mains qui permettent à de grandes choses de voir le jour), entre 10000 et 34000 caractères espaces compris (entre 5 et 13 pages A4 quoi). Ça me botte bien d'essayer. Plus qu'à trouver une idée.

https://www.etherval.com/2024/03/17/...mes-de-lombre/

**Goji** · 08/04/2024, 22h11

Merci pour le partage, ça peut être intéressant ! Même si je suis tête baissée sur le roman, je ne dis pas non à une petite parenthèse. Et si la sélection le veut bien, ça pourrait regrouper des canards dans un même numéro, ce qui serait très marrant.

**Saintvergetorix** · 09/04/2024, 17h39

Les projets que j'avais annoncés ici il y a deux ans mûrissent toujours dans un coin de ma tête. Toutefois, je suis out pour l'écriture jusqu'à ce que la thèse soit terminée, soit 2026 environ. Je ne ferai d'exception que pour un AT de La Volte ou d'une autre belle maison, type Le Bélial.

Je reste à la disposition du CPC penclub pour la relecture, ceci dit. C'est toujours un plaisir.

Alors, qui se lance?

**Goji** · 09/04/2024, 18h20

Faut vraiment que je fasse davantage de veille concernant les AT ; je suis sûr d'en rater plein, alors qu'il s'agit autant d'un bon prétexte pour écrire une histoire que pour se donner un peu de visibilité (en cas de texte retenu, bien sûr) et étoffer sa bibliographie.

**Lee Tchii** · 10/04/2024, 18h32

Envoyé par Goji

je suis sûr d'en rater plein

Même en consultant les 3 sites principaux, j'en ratais

Je ne propose même plus de relire les textes, j'ai déjà 2 retours en retard

Discussion: Vous écrivez quoi de légal, là, tout de suite, maintenant ?

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