Il n'y a pas besoin de ça pour démontrer que les bases seraient proche. Il suffit de prouver que si on cherche un composé chimique X qui tiennent lieu de base malléable, changeable etc etc, et peu couteuse en énergie à produire, bref : répondant au critère globaux qui caractérise leur usage, alors on tombe sur assez peu d’espèces chimiques candidates.
C'est un point noir de vos analyses précédentes dans ces pages, amha, vous négligez ne considérer que "la vrai vie" est constituée d'un nombre fini d’espèce chimique, notamment d'atome, aux propriétés bien définies. Et que nombres d’entre eux sont exclus d'office des critères ci-dessus (incapacité à s'attacher ou à s’attacher/détacher facilement notamment, présence dans l'univers ridicule, durée de vie hors laboratoire ridicule etc etc...) . Une fois un petit groupe de candidat isolé il ne reste plus grand chose comme substrat potable pour "la vie". Bah oui, ça va vite l'élimination. (voir l'
article wikipedia assez complet sur le sujet)
Une fois cette élimination faites, rien ne dit que les bases constituantes des codes ADN ne constituent pas un genre de sous ensemble d'un ensemble pas forcement très très vaste des possibilités de bases possible capable de tenir ce rôle. Et rien ne dit non plus, au vu de leur caractéristique très élémentaires, que d'autres bases fictive ne pourraient pas tout simplement interagir avec le fonctionnement existant, et ne constituerait donc qu'une extension du système actuel, et non un second système.
Il y a eu d'ailleurs une base étrangère découverte sur une météorite, la
2,6-Diaminopurine mais qui interagit avec les bases déjà existantes.