Zut, faut qu'je vote!
Mais j'avais 5 ans en 86, rétrospectivement j'ai pas le droit de voter!
Zut, faut qu'je vote!
Mais j'avais 5 ans en 86, rétrospectivement j'ai pas le droit de voter!
Bon,
pas trop de titres parlant pour moi cette année. Je vais plus noter sur les titres qui m'ont parlé par leur titre et fait envie sur les quelques articles vu à l'époque :
- Outrun : 4 points
- Tetris : 4 points
- Arkanoid : 3 points
- Zelda : 3 points
- Castlevania : 2 points
- Metroid : 2 points
- Bubble bobble : 2 points
Voilà. A voté
Edit : mise à jour de mon vote.
Dernière modification par blork ; 31/03/2023 à 22h17.
En 1986 pas grand chose que je connaisse vraiment,
- Tetris : 10 points un classique
- Arkanoid : 2 points pour y avoir joué un peu
- Bubble bobble : 5 points parce que encore installé sur mon tel.
Hutchinson
Alex Kidd in Miracle World - 7
Bubble Bobble - 6
Enduro Racer - 0
Fantasy Zone - 0
Miracle Warriors - 7
OutRun - 0
Rampage - 0
Super Mario Bros 2.: The Lost Levels - 0
The Legend of Zelda - 0
Wonder Boy - 0
Mon vote à l'arrache, pas le temps d'expliquer sauf pour Zelda : je lui ai toujours préféré Golden Axe Warrior sur la Master System.
En fait j'en connais pas beaucoup dans la liste, mais:
Gunship - 10 pts
Un des jeux auxquels j'ai le plus joué. Simu d'hélico apache avec des missions aléatoires, un objectif principal, un secondaire, dézinguer ce qu'on pouvait sur le chemin du retour pour gagner des points et des médailles ricaines "réelles". Le jeu était pas mal complet avec une progression de carrière, plusieurs terrains, missions nocturnes/diurnes, choix des armes emportées, des avanies avec différents effets sur le comportement de l'appareil et une option pour avoir le droit de se crasher à l'atterrissage sans passer en cour martiale.
Defender of the Crown - 5 pts
Oui mais non, disquette buggée avec quelques phases jouables avant le crash fatal, donc je ne saurais jamais !
Manque 5 points mais je m'arrête là.
J'ai de très beaux souvenirs de 1986. Et pas seulement en matière de jeu vidéo. Mais quand j'y pense:
Wonder Boy - 2 points: un jeu très amusant et simple à prendre en main. La bouffe en permanence pour survivre et les séances de skateboard pour maigrir.
Castlevania - 3 points: beaucoup joué, jamais fini, mais passionnant. Il avait même un côté flippant avec son univers gothique. Le choix des armes était bien pensé, l'eau bénite et la hache demeurent mes favoris.
Alex Kidd in Miracle World - 5 points
La Master System comportait un jeu intégré dans la machine, Ça c’est la générosité SEGAAAAA. Selon votre chance vous pouviez tomber sur Hang On, Sonic ou Alex Kidd in Miracle World.
Comment oublier les phases en motos, les duels contre les Boss durant lesquels on jouait à Pierre Papier Ciseaux et cette musique si entraînante. Et contrairement à Mario, Alex pouvait donner du bourre-pif, lui.
Ha! Je vois qu’un remake est sorti récemment, je ne sais pas ce qu’il vaut, je vais vite jeter un coup d’œil. ^^
Bubble Bobble - 5 points
Un jour un voisin m’avait invité chez lui pour jouer à ses jeux Commodore 64, une machine totalement inconnue pour moi. Vous auriez dû voir ma tronche quand j’ai vu le mec insérer une CASSETTE dans le lecteur de la machine?!? Et nom de Dieu, Il fallait laisser charger les jeux en plus! Parfois plusieurs minutes!!! Franchement j’avais l’impression d’être dans une autre dimension. Mes jeux consoles chargeaient tout de suite, eux.
Bubble Bobble est très prenant lorsqu’on joue à deux. Engluer les monstres dans des bulles pour les exploser ensuite, quelle idée géniale tout de même.
The Legend of Zelda - 5 points Mon GOTY
Pour confidence, c’est le seul Zelda que j’ai vraiment aimé. Pourquoi? Je n’ai jamais su. La taille impressionnante des maps peut-être. Ou les énigmes retorses qui ont fait cogiter l'ado que j'étais. Cet air mystérieux qui s'enclenchait lorsque l'on découvrait un passage secret. Et puis cette musique grandiose. Quoi qu'il en soit, je n'avais jamais joué à un truc pareil. Il y a eu un avant et après Zelda.
Pour l’anecdote, la première Cover de fan que j’ai entendu de ma vie était dédiée à Zelda, Le fameux "Overworld Theme". Composée par un certain DJ Galax, elle m’avait fort émoustillée à l’époque. Accrochez-vous, ça défouraille:
DJ Galax - Zelda Main Theme REMIX (Youtube)
Enfin l'Overworld Original pour comparer: The Legend of Zelda - Overworld (Youtube)
- "Je t'arracherai un par un les boyaux et les agraferai sur ma balalaïka en guise de cordes et je danserai le kazatchok sur tes cendres!" (série TV, méchant à l’accent russe)
Oh bon sang, les bureaux de vote vont fermer! Vite!!
- Alex Kidd, énorme madeleine à la maison de campagne de mon pote Baptiste qui avait la Master System.
- Castlevania, parce que sans lui, pas de Metroidvanias.
- Metroid, euh idem.
- Space Quest, pour l'ensemble de son oeuvre.
- Zelda, parce que c'est tout de même un monument.
4 Points chacun, comme ça tout le monde est content!
A l'arrache, je vote ainsi :
Defender of the Crown 5 points - Le seul jeu auquel j'ai joué à l'époque. Très peu de souvenirs concrets, quelques images, mais une impression globale positive qui ne m'a jamais quitté.
Leather Goddesses of Phobos 3 points - J'ai joué à ce jeu à cause du film "Seul sur Mars". Effectivement, c'est un jeu à emporter sur une île déserte. Pour le finir, il faut s'accrocher ! (mais très drôle)
Metroid 2 points - En émulation, j'y ai passé du bon temps avant de tourner en rond comme un con sans arriver à rien. Mais super ambiance.
Space Quest 5 points - Dès le début, il y a les bases : un jeu d'aventure de survie ! Il faudra sauver sa peau, menacée à chaque recoin du vaisseau en péril par l'esprit vicieux des deux gars d'Andromède.
The Legend of Zelda 5 points - En émulation. J'ai fait le plan à la main comme si j'étais jeune ! Mais là encore, je suis arrivé à un point où je ne savais plus quoi faire ni où aller. J'ai cependant beaucoup apprécié ce parfum d'aventure tant qu'il a duré.
Un grand merci aux 50 canards qui ont voté !!
1 point: Infiltrator, Trailblazer, The Great Escape, Rampage, Alien Syndrome, L'affaire Vera Cruz, Dossier Boerhaave, Lock-On, Sram 2, Spindizzy
Bien des titres de cette ligne ne vous diront rien et pourtant il y a un jeu Lucasfilm Games et un jeu Atari parmi eux. Ami(e) lecteur(trice), sauras-tu les retrouver ?
2 points: King's Quest III, Alter Ego, Phantasie II, Solomon's Key, La femme qui ne supportait pas les ordinateurs, Ultima I, Fantasy Zone, Lords of Conquest, Leader Board, Might & Magic, HMS Cobra
Voilà des titres déjà mieux connus et bien représentatifs des années 80: du Sierra, de l'arcade Sega, du dungeon crawler, un RPG célèbre remaké en assembleur...
3 points: Sai Combat, Zombi, Silpheed
Ce Silpheed n'a quasi rien à voir avec celui du Mega CD, il s'agit de son ancêtre issu des micros japonais et porté par Sierra notamment sur PC où il s'illustra comme un des premiers shmups en 3D, et comme l'une des plus belles partitions que le Roland MT-32 ait connu. Ah oui et il y a le premier jeu de Ubi Soft aussi.
4 points: Sram, Salamander, Billy la Banlieue, Chessmaster 2000, Leather Goddesses of Phobos
Au milieu des portages des impressionnantes bornes d'arcade se glissaient souvent dans les ventes des jeux français, mieux distribués, mieux marketés et surtout vendus en français aux non-anglophones que nous étions... Si Sram est un jeu d'aventures fantasy classique, Billy la Banlieue, avec son titre qui fait sourire (pourquoi ?), est une sorte d'emblème de la première "French touch". Mais à y regarder deux fois, n'est-il pas l'ancêtre français des Yakuza ?
5 points: Dragon Quest, Cauldron 2, Trivial Pursuit
Si ce GOTY avait eu lieu au Japon, Dragon Quest, la série la plus populaire de l'Archipel, l'aurait sans doute gagné. Mais ici, il est au niveau d'une citrouille sur un 8 bit à color clash et d'un camembert sur un 8 bit à croco.
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6 points: Batman
Et voilà la toute première apparition du Chevalier Noir dans l'univers des jeux vidéo, animée par Ocean dans une 3D isométrique rendue populaire par Knight Lore.
7 points: Kid Icarus, Saboteur, Miracle Warriors
Le petit héros de Nintendo est une des rares stars de ce bas de GOTY. Saboteur, en comparaison, était le top de l'action-aventure à l'occidentale de l'époque avec son ninja, et Miracle Warriors un représentant d'un RPG à la japonaise qui cherche encore ses marques.
8 points: Wonder Boy
Tom-Tom va chercher sa nana en skateboard. C'était suffisant pour faire un très bon jeu d'arcade. Ca le sera aussi pour donner naissance à l'une des plus belles séries des consoles 8/16 bits.
9 points: Renegade, Super Sprint
Deux jeux moins historiques qu'ils ne devraient normalement l'être: le premier est carrément l'inventeur du beat'em up moderne et d'une série qui a connu des dizaines de titres. Le second a donné naissance à une flopée de clones de jeux de course en vue de dessus... très vite ringardisés.
10 points: L'armure sacrée d'Antiriad, Tera: la Cité des Crânes, Saphir
Ces trois obscurs ont pour point commun d'être le gros coup de coeur personnel d'un canard. Antiriad (Rad Warrior) est un standard du jeu d'action de l'époque sur Spectrum. Saphir, son pendant hexagonal sur Thomson. Tera, également français, est un rare exemple de RPG hexagonal.
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11 points: The Sentinel, Wizard's Crown, Space Quest
Avant de se faire une spécialité des simulations, Geoff Crammond s'illustra par cette prouesse technique d'un jeu de stratégie tout en 3D nanti d'un scénario original. Avec le premier RPG de SSI, qui leur rapporta la licence Donjons & Dragons, cela fait de bons exemples des ambitions simulationnistes des ordinateurs et des possibilités de profondeur de gameplay qu'ils proposaient. Enfin Roger Wilco sauve le monde, mais lui n'a qu'un balai et la hotline de Sierra.
12 points: Crafton & Xunk
Quand la France se met à son tour à l'action isométrique, cela donne un titre qui annonce rien que dans son titre les aventures cartoonesques que notre pays produira dans les années 90. Et à titre personnel, je trouve que Ere Informatique a toujours été un studio plus "quali", à mes yeux, que Loriciels.
14 points: Super Mario Bros. 2: The Lost Levels, La mine aux diamants, The Bard's Tale 2
Si cette histoire de mine ne vous dit rien, c'est que vous avez de la chance et que vous n'avez pas eu de TO7. Du coup cela fait un peu bizarre d'apercevoir ce clone français de Boulder Dash entre un jeu de Shigeru Miyamoto (moins coté que le premier, certes) et un jeu de Brian Fargo (moins coté que le premier, certes).
16 points: Gunship
1986, c'est aussi l'époque où MicroProse prend son... envol, avec notamment cette simulation d'hélicoptère, la plus pointue, profonde et développée de son époque, que ce soit sur 8 ou 16 bits.
27 points: Tetris
J'ignorais que la version shareware PC du hit de Pajitnov fût aussi populaire au point de faire faire un bond au GOTY. Portage réalisé pour faire connaître son jeu en Occident, bien avant sa commercialisation officielle (vous avez vu le film ?), elle avait l'avantage d'être gratuite et de proposer un système de scoring.
30 points: Ikari Warriors
Sans l'inventer (le Commando de Capcom est antérieur), SNK a donné une saveur particulière au run & gun ramboesque avec son action particulièrement bien menée et sa réalisation technique qui faisait de l'arcade le support roi des années 80-95.
34 points: Sapiens, Alex Kidd in Miracle World
OVNI de l'époque, le jeu d'aventure-stratégie-survival des frères Guillon se démarquait largement par sa proposition : diriger un homme préhistorique pris dans un conflit de tribus et dans la nature sauvage. Une des plus belles réussites de Loriciels ! Quant au petit roi-singe-avec-une-fausse-moustache de Sega, il fut pour bien des joueurs européens le Mario de ceux qui n'eurent pas de NES, avec assez de maîtrise et d'idées pour être de ces jeux de bundle dont on se souvient.
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41 points: Bubble Bobble
Bub et Bob ont besoin de vous. Des bulles, des petits monstres, des petits fruits colorés partout. Comment résister ? Taito déclinera cette mignonnerie arcade jusqu'à plus soif.
47 points: OutRun
Bien sûr OutRun est un pur jeu d'arcade à la Sega, un jeu de scoring où l'objectif est d'aller le plus le plus loin possible et de passer les checkpoints avant le timeout. Mais la majorité d'entre nous prendront toujours le jeu pour ce qu'il est au moment où on glisse la pièce: une caisse rouge sous le soleil de Californie sur fond de Splash Wave. Parfois il n'en faut pas plus pour être mémorable.
49 points: Le Manoir de Mortevielle
L'un des fleurons de ce qui était alors notre industrie nationale, celle des jeux d'aventure. Apparue sur Sinclair QL, c'est sur les plus populaires CPC ou ST que l'enquête prend sa vraie dimension: Jérôme Lange et ses amis parlent ! Décors superbes, histoire criminelle palpitante en français, techniquement un jeu luxueux pour nos supports de l'époque. Un très grand souvenir.
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56 points: Metroid
Considéré comme très, voire trop difficile dès sa sortie (et le standard était élevé), l'aventure alienesque du mercenaire Samus Aran n'en reste pas moins un jeu historique, un de ceux qui firent la réputation d'excellence de Nintendo et qui firent vendre des NES jusqu'à plus soif en Amérique puis en Europe. Plus encore: ils ne sont pas nombreux les jeux à avoir donné leur nom à un genre populaire.
69 points: Castlevania
Le premier titre (avec Vampire Killer sur MSX) d'une licence légendaire qui rappelle que Konami fut un des meilleurs éditeurs du monde. Cette petite merveille de jouabilité, de level design et d'ambiance à la japonaise éclatait alors les jeux d'action-aventure occidentaux pauvrement pensés. En France, la sortie du jeu à Noël 1988 donne le vrai coup d'envoi de la carrière nationale de la NES: un jalon pour nous !
82 points: Arkanoid
Arkanoid, c'est le jeu d'arcade à la simplicité universelle. Dix ans après le Breakout d'Atari, Taito reprenait la formule et la surgonflait: succès total et vague de clones s'ensuivit. Un jeu auquel on joue à deux doigts, et qui de ce fait est aussi aisé à prendre en main sur borne d'arcade que sur micro ou console, la recette gagnante.
104 points: Defender of the Crown
La killer app de l'Amiga 500 a bien failli rafler le GOTY ! Parti de bas, le légendaire titre de Cinemaware a longtemps dépassé Zelda avant de finir à un poil de son concurrent. Démonstration technique des capacités du 16 bits, Defender of the Crown est quasiment l'inventeur du "jeu beau" et du photoréalisme en jeu vidéo, en même temps qu'un mélange passionnant et immersif de stratégie et d'arcade qui aura un nombre infini de successeurs.
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118 points: GOTY 1986 - The Legend of Zelda
Quelle est la série de jeux vidéo la plus populaire du monde ? Les réponses sont multiples (Mario, Call of Duty, Pokémon...) mais Zelda figure facilement dans le top 10. Shigeru Miyamoto, sans doute le plus grand designer de jeux de tous les temps, signe ici un de ses chefs-d'oeuvre, qui ont fait de Nintendo une entreprise à part, auréolée d'une légende. Celle de Zelda reprend les bases de l'action, de l'aventure et du RPG, mais en fait une épure d'un degré encore inégalé, évacuant tout superflu, maîtrisant la moindre de ses fonctions.
C'est ouf que Defender of the Crown soit monté si haut, c'est un jeu que je connais de nom parce qu'à force de trainer sur des site d'abandonware, mais clairement personne n'en parle jamais sur les internet. J'ai du mal à comprendre comment il a réussi à se hisser aussi haut.
C'est parce que tu n'écoutes ni ne lis assez Patrick Hellio
Bravo à Zelda, le plus célèbre des elfes de jeu vidéo!
Qui ça, Link? Euh connais pas.
Merci Catel
Ça ne m'étonne pas que Defender of the Crown soit haut vu la population du forum. Je l'aurais donné gagnant, et il s'en est fallu de peu.
J'ai savouré toute la lecture des résultats, merci !
(et je regrette de pas avoir mis des points sur Super Sprinti)
Sleeping all day, sitting up all night
Poncing fags that's all right
We're on the dole and we're proud of it
We're ready for 5 More Years
Il était vraiment génial, tout simplement. C'était une expérience de jeu unique surtout par rapport a ce qui existait autour, et peut etre qu'une explication de ce que tu observes viens du fait qu'il n' a pas vraiment crée un gameplay, il n'y a pas vraiment eu de clones ou de versions 2, c'était un patchwork de petits jeux si on y regarde de près, un peu de risk, un peu combat a l'épée, un aspect visual novel et ce qui faisait fonctionner le truc c'est le talent des devs, tout était parfaitement agencé avec un seul objectif : te plonger dans une aventure de chateaux avec des chevalieurs et tout l'imaginaire qui va avec. C'est pas qu'il ait révolutionné tel ou tel genre mais c'est simplement que c'était un exellent jeu, bourré de talents, un peu comme certains films sont de purs chefs d'oeuvre sans révolutionner le cinéma.
Et en fait c'est ceux qui y ont joué a l'époque qui vont tous te dire qu'ils s'en souviennent, pas ceux qui font une analyse des grandes étapes de l'histoire, ni ceux qui font l'historiographie des gameplays. Il y a un coté affectif avec ce jeu, on l'a aimé alors on s'en souvient, même si on y a pas rejoué depuis.
En tout cas, s'il cherchait pour du trouble, il est venu à la bonne place.
Ça me fait ça pour Sapiens aussi, je suis déçu qu'il ne soit pas monté plus haut. C'était un ensemble de petites activités/gameplay pas dingues pris séparément, mais un univers, une ambiance.
C'est peut être le seul très très bon jeu du IIGS aussi, ça compte pas mal: le IIGS était la dernière machine du premier standard PC de facto (un peu comme un équivalent du compatible IBM aujourd'hui et depuis la mort des ST/Amiga), beaucoup d'utilisateurs d'Apple II voulaient pas entendre parler du Mac et sont resté sur cette lignée.
Histoire bizarre encore que celle du IIGS, ordinateur que tous les clients voulaient et que Apple voulait pas vendre. Un revendeur informatique de l'époque m'avait raconté plein d'anecdotes croustillante (son grossiste lui obligeait d'acheter un certain nombre de mac pour avoir le droit d'acheter des IIGS, beaucoup moins facilement disponible)