C'est un peu comme le culte voué a Daemon Targaryen dans House of the Dragon, alors qu'objectivement, c'est une des pires raclures que l'univers nous a dépeint (en incluant Game of Thrones).
Testé pour les canards... Dead Boy Detectives. Bon bah c'est de la merde. Série complètement fauché pour ados 99% fond vert/studio. Pourtant ça partait bien. 2 Détectives fantômes qui enquête pour libérer des fantômes coincés sur terre à Londres. Quel décor ! Puis bon bah on a pas de moyen donc seul le premier épisode se passe à Londres après tout se passe dans une petite ville perdu des USA (du côté de l'état de Washington) et impossible d'en sortir grâce au ressort scénaristique.
Je me serais arrêté au 3eme épisodes mais madame aimait bien donc j'ai regardé en me facepalmant (comme dirais theclaw!) tout du long. Avec les superbes incohérences du genre : "On peut pas toucher le fer ça nous brûle"... Et hop dans un épisode suivant : "Oh il est super ton marteau avec le manche en fer"...
C'est dommage j'avais bien aimé Sandman et DBD se passe dans le même univers mais non pas possible...
De ce que j'ai compris, c'est à la demande de netflix que les deux univers ont été reliés.
If you can read this, you're alone.
Sauf que dès la parution des comics, les personnages de Charles Rowland et Edwin Payne apparaissent dans le numéro 25 de Sandman en 1991 (arc 'La Saison des Brumes' ). Ils ne prendront officiellement le nom de 'Dead Boy Detectives' qu'en 1993 dans la série Children's Crusade (dans les histoires écrites encore une fois par Neil Gaiman).
Les univers sont donc reliés dès la conception des personnages.
Là où Netflix précise avoir voulu rapprocher les DBD de Sandman, c'est que les persos apparaissent dans la série Doom Patrol d'HBO Max, qui s'éloigne des comics dont elle est adaptée.
Quand Netflix a repris les droits d'adaptation de Dead Boy Detectives, ils ont tenu à éviter ce qui s'était passé avec Lucifer, tellement 'librement adapté' des comics qu'il était impossible de relier ce Lucifer à celui de l'univers de Sandman, dont il est pourtant issu à l'origine.
Bon c'est fait avec la subtilité de Netflix, en balançant un gros caméo d'un perso important de Sandman.Spoiler Alert!
Tiens au fait, la série Sandman, elle devient quoi? (j'ai pas encore relu les comics cette année, je manque de temps on dirait)
Meh.
Pour l'épisode 4 saison 4 je suis d'accord qu'il est raté, il devrait être étiré sur 2 épisodes pour laisser la place au huit clos.
Pour la remarque de Dralasite, je ne comprends pas ce que tu ne comprends pas Le modèle, Trump, se vante d'attraper des filles, fait envahir le capitol et est condamné, il a des chances d'être élus président..
Homelander, c'est un symbole viriliste par devant qui a de grosses failles émotionnelles a cause d'une enfance torturée (littéralement) mais qui évolue, pas en bien, en mieux, au fil des saisons. Il est énormément plus humain que Butcher dans la série (encore que Butcher fait plus humain que Howie, un comble) ; il fait sa propre psychanalyse, il tue la mère, il tue le père, il chasse la femme, il devient figure paternelle, il combat ses traumas.. A la fin de la S5 il pourrait bien sauver le monde en fait.
Ouais c'est une grosse merde, mais dans la série il ne touche pas Stella par exemple (contrairement à la BD) ;
En fait, j'ai pas tous les épisodes en tête, sans la séquence de l'avion ou il se comporte comme un vought man, en calculant, et qui en fait le pire des salauds c'est juste un gamin capable d'exploser des gens
Mais pas en VFRegardez Veep. Vraiment.
c'est noté
De mauvaise foi moi ? Noooon ?
Moui.
Il a parfaitement conscience de ce qu'il fait et se met tout seul en tête d'être de la race supérieure. Il considère le monde entier comme des cloportes et n’hésites pas à massacrer ceux qui lui barrent la route.
Même la figure paternelle justement, il n'y arrive pas. Il ne supporte pas d'être au second plan, et c'est un père exécrable.
Je ne trouve pas qu'il combatte ses traumas. Il se cache derrière ces excuses pour justifier sa psychopathie.
C'est un être profondément mauvais, vil et répugnant.
Du coup pour l'électorat visé il est pile dans le thèmeIl a parfaitement conscience de ce qu'il fait et se met tout seul en tête d'être de la race supérieure. Il considère le monde entier comme des cloportes et n’hésites pas à massacrer ceux qui lui barrent la route.
De mauvaise foi moi ? Noooon ?
Ah oui ça d'accord.
La caricature paraît grossière, mais elle n'est pourtant pas si loin de ce qu'on peut observer.
Le flou commence à se dissiper (encore une fois, subtilement) très tôt, puisque c'est quasiment des le début de la première saison que WW se voit proposer sans arrières pensées la prise en charge intégrale des meilleurs traitements par Gretchen, et qu'il préfère néanmoins continuer sur sa voie (utilisant une excuse totalement pipeautée au passage, mais ça on ne le saura effectivement que bien plus tard ; mais même si son excuse n'avait pas été bidon, il préfère néanmoins concocter de la drogue que l'alternative honnête).
Non, c'est pour ça que je précise "la première saison".
Mais pour moi oui clairement, même si il y a de nombreux indices plus ou moins discrets sur le fait que c'est un salaud, la réalisation générale reprend tous les codes classiques de la construction du héros pour WW.
C'est une des grandes forces de la série, réussir à faire le spectateur s'attacher à WW dans un premier temps et espérer pendant longtemps l'arrivée d'une rédemption.
Pas mieux
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BB c'est quand même une série sans vrai héros au sens premier du terme. (Hank à la limite et pfff, non même pas). Comme The Shield.
C'est le protagoniste principal, Gus Frings est au bout d'un moment l'antagoniste. Ca s'arrête là. WW fabrique et vend de la drogue. A partir de là... 'nuff said.
Better Caul Saul, est bien meilleur que Breaking Bad d'ailleurs concernant l'évolution du personnage principal. (et toute son ambiguité)