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  1. #9331
    Civil War

    Meh. Le film effleure autant le sujet de la guerre civile que celui du journalisme de guerre. Le développement des personnages principaux est pratiquement inexistant, des clichés au mieux, ce qui fait qu'on ne s'attache pas à eux. Au final les 20 dernières minutes m'auraient amplement suffi, ce qui les précède ne sert pas à grand-chose pour moi. Au moins Garland est consistant en ce qui me concerne, tous ses films ne m'ayant jamais fait rien ressentir (contrairement à sa série Devs).

    Citation Envoyé par dralasite Voir le message
    Oui, je suis entièrement d'accord et malgré ce que certains essaient de me faire dire, je ne suis pas contre la nudité mais seulement contre la nudité inutile et/ou racoleuse que l'on voit trop souvent dans ce genre de média.
    Eh hop, on repart au point de départ en oubliant tout ce qui a été argumenté contre la notion de nudité gratuite, en faisant passer ses contradicteurs pour des gens malhonnêtes et sans répondre à ce qui a été avancé. Mauvaise foi quand tu nous tiens...
    Honour, eh? What the hell is that anyway? Every man thinks it's something different. You can't drink it. You can't fuck it. The more of it you have the less good it does you, and if you've got none at all you don't miss it.

  2. #9332
    Citation Envoyé par dralasite Voir le message
    Oui, je suis entièrement d'accord et malgré ce que certains essaient de me faire dire, je ne suis pas contre la nudité mais seulement contre la nudité inutile et/ou racoleuse que l'on voit trop souvent dans ce genre de média.
    Tant que pour moi tout le monde est consentant ca me va.

    et j'irais plus loin que Wulfstan qui disait "si les gens s'excitent derriere leur écran c'est eux qui ont un problème"

    Bah non, si tu veux faire de l'esthetisme érotique, c'est quand meme le but que le spectateur ait une petite bouffée de chaleur. Ca fait partie des émotions que peut procurer un média.

    Si tu te dis pas Wow ils ont osé faire ca ? en voyant Jessica Rabbit, je pense que t'es pas humain, y'á le plaisir de la transgression et du voyeurisme. (que ce soit des animations de nichons dans un film familial, de la nudité ou une actrice Disney qui se fait sucer les orteils)

    Parce que juste dire : l'artiste fait ce qu'il veut, c'est le public qui est déviant, c'est totalement hypocrite Si c'est une scène sexy, bah c'est normal que ce soit vu comme ca


    Grand maître du lien affilié

  3. #9333
    Citation Envoyé par dralasite Voir le message
    Un mec torse nu dans un film/série, c'est généralement une démonstration de force ou de puissance et non une sexualisation du personnage.
    Euuuuh ... relis cette phrase, parce que je crois que tu passes à côté d'un truc hyper évident là.

  4. #9334
    Citation Envoyé par tompalmer Voir le message

    Bah non, si tu veux faire de l'esthetisme érotique, c'est quand meme le but que le spectateur ait une petite bouffée de chaleur. Ca fait partie des émotions que peut procurer un média.
    Justement, le fait de montrer un corps nu à l'écran n'est pas forcément une volonté de faire dans l'érotisme. Un plan de nu n'est pas forcément là pour exciter le spectateur (ou la spectatrice).
    L'érotisme c'est autre chose, et y'a même pas besoin de déshabiller les personnes pour donner des bouffées de chaleur, si on va sur ce terrain.

    -.-.-– nAKAZZ, depuis 2024

  5. #9335
    Je m'insinue dans votre débat sur la nudité pour parler de deux films récents que j'ai vus :

    J'ai donc vu Civil War, le film post-apo d'Alex Garland. C'était pas mal, mais j'ai trouvé que ça manquait de zombies tout de même… Le film n'est pas aussi creux qu'on le laisse entendre, même s'il fait l'économie des explications de la guerre civile et du contexte, pour se concentrer sur les reporters de guerre. Voilà une nouvelle preuve qu'il ne faut pas prendre les diatribes de ce beau parleur de Yannick Dahan pour paroles d'évangile !

    Pour le reste, le film est bien réalisé avec des scènes tendues et assez dures, une interprétation de qualité, notamment de Kirsten Dunst, mais il faut dire qu'elle joue le seul personnage un peu nuancé du film (et depuis “Melancholia”, on sait qu’elle n’a pas sa pareille pour exprimer la dépression et le désenchantement).

    Le film met bien en lumière une idée qui, n'ayant certes rien de révolutionnaire, mérite d'être rappelée en nos périodes troublées : à quel point la guerre civile (ou autre) dévalue la valeur de la vie humaine. C'est la grande bascule morale et éthique, l'inconcevable devenant alors quotidien, presque banal, ce qui peut conduire au massacre et au génocide sans sursaut particulier ou réveil des consciences. La musique guillerette, en décalage avec les images d'horreur, illustre bien cette sorte de banalisation du mal, du côté trivial et encombrant de ces corps qui jonchent les routes et s'accumulent dans les charniers (donnant donc au film, avec son côté road movie, une ambiance de “Zombie Apocalypse”, avec des rednecks à la place des zombies).

    L'autre point que j'aimerais soulever, c'est le traitement particulier des reporters de guerre. Je ne sais pas si le film a des ambitions satiriques sur le sujet, mais au final, j'en sors avec une plus mauvaise opinion de la profession que lorsque j'y suis entré. Le film n'est en aucune façon une célébration de ces héros des champs de bataille, ces croisés de l’information, qui risquent leur vie avec une rare abnégation pour apporter la connaissance à la population. Il présente plutôt une bande de connards à la “Point Break” : des types (et des femmes) dopés à l'adrénaline, qui cherchent à surfer la plus grande vague du monde, parce qu'ils kiffent à donf, tu vois. Le tout en étant en concurrence entre eux : rien de tel que de se tirer la bourre pour être le premier à photographier des cadavres... Ce sont des sortes de paparazzis de la mort, qui shootent n'importe quoi sans s’encombrer outre mesure d’éthique. Leurs images, accumulées à l’infini, paraissent répétitives, vides de sens, et leur objectif final tourne au grotesque tant il paraît vain.

    La raison de ce sentiment tient au choix du réalisateur : à aucun moment Garland ne montre, ou même ne suggère, l'intérêt de leur travail. C’est même tout le contraire. Dans un dialogue désabusé, Dunst dit clairement que son travail n’a aucune conséquence. Une idée qui subira immédiatement l'ironie du vieux sage incarné par Stephen McKinley Henderson, avant d’être disqualifiée par Joel, le trou duc' de l’investigation de choc, qui annonce leur prochain fix d'adrénaline pour le petit matin (avec l’odeur du Napalm, sans doute).
    Donc, en résumé, le grand reporter de guerre, c'est clic-clic, panpan, et ça ne le rend pas bien séduisant ! (Il y a quand même la scène dite du "Quel Américain êtes-vous ?" qui les rachète un peu, durant laquelle ils font preuve de solidarité et d'un vrai courage physique).

    Vu aussi The Fall Guy. Pas grand-chose à en dire, mais je serais quand même plus positif que les derniers commentaires. Il s'agit d'un divertissement honnête, comme Hollywood semble avoir de plus en plus de mal à en produire. Ryan Gosling et Emily Blunt sont beaux et sympathiques ; ils fonctionnent bien ensemble. Il y a de la romance, de la comédie qui fait sourire et des scènes d'action parfois impressionnantes, toujours efficaces. L'histoire n'est pas très sérieuse, mais on s'en tape un peu. C'est un hommage léger mais sincère au métier de cascadeur, qui met en lumière ces types qui se font avoiner à longueur de journée pour amuser le public.

    Si le précédent film de David Leitch, "Bullet Train", était du sous-Tarantino, je dirais que celui-ci est plutôt du sous-Shane Black, bien qu'il manque un gamin pour être complet. Il y a une scène post-générique, mais je la déconseille. C'est un passage obligé un peu pathétique et pas vraiment drôle.

  6. #9336
    Citation Envoyé par Mordicus Voir le message
    L'autre point que j'aimerais soulever, c'est le traitement particulier des reporters de guerre. Je ne sais pas si le film a des ambitions satiriques sur le sujet, mais au final, j'en sors avec une plus mauvaise opinion de la profession que lorsque j'y suis entré. Le film n'est en aucune façon une célébration de ces héros des champs de bataille, ces croisés de l’information, qui risquent leur vie avec une rare abnégation pour apporter la connaissance à la population. Il présente plutôt une bande de connards à la “Point Break” : des types (et des femmes) dopés à l'adrénaline, qui cherchent à surfer la plus grande vague du monde, parce qu'ils kiffent à donf, tu vois. Le tout en étant en concurrence entre eux : rien de tel que de se tirer la bourre pour être le premier à photographier des cadavres... Ce sont des sortes de paparazzis de la mort, qui shootent n'importe quoi sans s’encombrer outre mesure d’éthique. Leurs images, accumulées à l’infini, paraissent répétitives, vides de sens, et leur objectif final tourne au grotesque tant il paraît vain.

    La raison de ce sentiment tient au choix du réalisateur : à aucun moment Garland ne montre, ou même ne suggère, l'intérêt de leur travail. C’est même tout le contraire. Dans un dialogue désabusé, Dunst dit clairement que son travail n’a aucune conséquence. Une idée qui subira immédiatement l'ironie du vieux sage incarné par Stephen McKinley Henderson, avant d’être disqualifiée par Joel, le trou duc' de l’investigation de choc, qui annonce leur prochain fix d'adrénaline pour le petit matin (avec l’odeur du Napalm, sans doute).
    Donc, en résumé, le grand reporter de guerre, c'est clic-clic, panpan, et ça ne le rend pas bien séduisant ! (Il y a quand même la scène dite du "Quel Américain êtes-vous ?" qui les rachète un peu, durant laquelle ils font preuve de solidarité et d'un vrai courage physique).
    Assez d'accord avec ce constat. Certains moment pourraient presque faire penser à Nightcrawler, ça fait forcément un effet repoussoir. Au final je préfère qu'il n'ait pas montré ou suggéré l'intérêt de leur travail, tant dans le film la vision du reporter de guerre est une caricature hollywoodienne, surtout sur la fin. Essayer de nous les rendre sympathiques aurait rendu le tout encore plus meh (pour ne pas dire con-con), amha.

  7. #9337
    Citation Envoyé par Mordicus Voir le message

    Vu aussi The Fall Guy. Pas grand-chose à en dire, mais je serais quand même plus positif que les derniers commentaires. Il s'agit d'un divertissement honnête, comme Hollywood semble avoir de plus en plus de mal à en produire. Ryan Gosling et Emily Blunt sont beaux et sympathiques ; ils fonctionnent bien ensemble. Il y a de la romance, de la comédie qui fait sourire et des scènes d'action parfois impressionnantes, toujours efficaces. L'histoire n'est pas très sérieuse, mais on s'en tape un peu. C'est un hommage léger mais sincère au métier de cascadeur, qui met en lumière ces types qui se font avoiner à longueur de journée pour amuser le public.

    Si le précédent film de David Leitch, "Bullet Train", était du sous-Tarantino, je dirais que celui-ci est plutôt du sous-Shane Black, bien qu'il manque un gamin pour être complet. Il y a une scène post-générique, mais je la déconseille. C'est un passage obligé un peu pathétique et pas vraiment drôle.
    J'approuve ce message ! On a passé un bon moment au cinéma. C'était sympatoche.

  8. #9338
    En divertissement sympathique du moment Atlas sur Netflix avec Jlo.
    Un truc futuriste avec de méchantes IA dans des corps de robot.
    Pas eu le temps de finir, mais au delà du scénario basique et le coté mode de l'IA, et du fait que Jlo semble avoir 40 ans pas 54, c'est plutot sympa à regarder le samedi soir avec du popcorn.
    De mauvaise foi moi ? Noooon ?

  9. #9339
    Citation Envoyé par LeLiquid Voir le message
    J'approuve ce message ! On a passé un bon moment au cinéma. C'était sympatoche.
    Rien d’étonnant de la part d’un mec qui a adoré Babylon.

  10. #9340
    On a vu City Hunter sur Netflix hier avec Madame. Il me semble que c'est l'adaptation d'un épisode du manga ou de l'anime. Bon bah ce qui passe bien en animé ça passe beaucoup moins bien en film. Et les passages où il fait le con c'est totalement "cringe". C'est passable quoi. Ça manque de Mamuth et du café cat eye's.

  11. #9341
    Citation Envoyé par Ventilo Voir le message
    En divertissement sympathique du moment Atlas sur Netflix avec Jlo.
    Un truc futuriste avec de méchantes IA dans des corps de robot.
    Pas eu le temps de finir, mais au delà du scénario basique et le coté mode de l'IA, et du fait que Jlo semble avoir 40 ans pas 54, c'est plutot sympa à regarder le samedi soir avec du popcorn.
    Le film est une longue cinématique de Titanfall, ni plus ni moins.
    Si on est intéressé par ça, ben ça respecte le cahier des charges.
    Some days, some nights, some live, some die in the way of the samurai
    Some fight, some bleed, sun up to sun down, the sons of a battlecry

  12. #9342
    Citation Envoyé par poneyroux Voir le message
    Rien d’étonnant de la part d’un mec qui a adoré Babylon.



    Et qui l'a vu 2 fois au cinéma. Dont une dans séance Dolby mes couilles à 20 balles.

  13. #9343
    Citation Envoyé par Calz Voir le message
    Assez d'accord avec ce constat. Certains moment pourraient presque faire penser à Nightcrawler, ça fait forcément un effet repoussoir. Au final je préfère qu'il n'ait pas montré ou suggéré l'intérêt de leur travail, tant dans le film la vision du reporter de guerre est une caricature hollywoodienne, surtout sur la fin. Essayer de nous les rendre sympathiques aurait rendu le tout encore plus meh (pour ne pas dire con-con), amha.
    De toute façon je ne sais pas si en moins de 2 heures c'était possible de présenter le métier de manière réaliste (en admettant que ça a été le but). Rien que le rôle essentiel des fixers dans le monde du journaliste n'est pas du tout abordé. C'est certes surtout valable pour les pays étrangers au reporter, mais dans le cas présent on pourrait voir les fixeurs les faire entrer dans les escouades.
    Citation Envoyé par nova Voir le message
    C'est crédible mamie chiffon qui dirige la moitié du monde alors qu'elle doit meme pas savoir ce qu'est twitter.

  14. #9344
    Citation Envoyé par LeLiquid Voir le message
    Et qui l'a vu 2 fois au cinéma. Dont une dans séance Dolby mes couilles à 20 balles.
    Wow ils se touchent la nouille dans ton cinéma
    Grand maître du lien affilié

  15. #9345
    C'était un Pathé. En temps normal je vais dans les UGC ou MK2 et je m'en sors pour pas cher.


    C'était ça la salle !




    Pour l'anecdote, au moment de payer, quand j'ai vu le prix s'afficher, j'ai pensé avoir fait une erreur quelque part et j'ai recommencé.
    Citation Envoyé par Bah Voir le message
    Jean-Henry LeLiquid, l'ébouillanteur de Monéteau.

  16. #9346
    Vu Jusqu'au bout du monde (The dead don't hurt en VO, la traduction du titre est bizarre même si les deux font référence à des dialogues), de Viggo Mortensen.

    Un western intimiste, bien qu'avec quelques très beaux paysages. Un immigré danois (Olsen; Mortensen, oeuf corse) et une fleuriste québécoise (Vivienne; Vicky Krieps, formidable) se rencontrent sur un quai à San Francisco, c'est essentiellement le coup de foudre et ils partent s'installer dans un trou paumé du Nevada, où la loi et l'ordre ne sont pas encore tout à fait au niveau.

    Le film se concentre sur le personnage de Vivienne, femme forte et indépendante même si elle abandonne tout pour suivre son taiseux de bonhomme sur un coup de tête. La temporalité du film est un peu perturbante, on jongle sans trop prévenir entre trois époques (l'enfance, la période de la rencontre, et la période juste avant et juste après la mort de Vivienne - je ne spoile pas, c'est le deuxième plan du film).

    Il me semble que c'est le deuxième film que réalise Viggo Mortensen, après Falling il y a quelques années, où il jouait un fils homosexuel en prise avec un père vieillissant et viscéralement homophobe. Et comme le précédent, j'ai bien aimé celui-ci.

  17. #9347
    Je sors de Furiosa.

    J'adore Fury Road. Je l'ai revu cet après-midi et le film fonctionne toujours aussi bien. C'est un modèle de narration et de world-building. Miller nous présentait tout un univers pendant une course poursuite effrénée de 2h, en faisant confiance au spectateur. Il respectait la règle du show, don't tell de bien belle manière. C'est un film qui avait dix idées à la secondes et qui te collait a ton siège.

    Pour ce second volet, c'est clairement différend. Déjà ceux qui critiquaient le premier film en disant qu'il ne racontait rien avec son aller-retour devraient être ravis. Ici le réalisateur fait le choix d'exposer tous les enjeux via des dialogues (le film étant beaucoup plus bavard que son prédécesseur) et on prend bien le temps de préciser qui est qui et qui fait quoi. Il va même jusqu'à écrire les lieux visités a l'écran, ce qui était franchement évitable. La confiance dans le spectateur dont il faisait preuve dans le premier volet a disparue malheureusement. D'ailleurs, le film ne développe pas vraiment son univers, on y voit les même personnages, les même lieux. Un peu dommage là aussi, la grande créativité du premier restera inégalée.

    En revanche, pour ce qui est de filmer de l'action, papy Miller montre à tout le monde qu'il sait encore faire. Et bien que le recours aux effets numériques soit plus visible (le début m'a fait peur avec ses fonds verts mal incrustés), le plaisir procuré par les bastons routières de Fury Road est toujours présent et même si ça fait un peu redite, il y a quelques idées qui viennent apporter un peu de fraîcheur. Lesoteurs hurlent, ça fuse, ça explose. On en prend plein les yeux et les oreilles dès que la fureur est lâchée.

    La structure narrative de ce second volet tranche avec celle du premier. Miller dépeint une fresque épique, construite comme une fable ou un compte dégénéré. Le film prend son temps et est même un peu long à démarrer. Il laisse respirer ses personnages et ses instants et c'est plutôt réussi pour tout ce qui touche à la caractérisation de ses protagonistes. Je pense à Dementus qui est la vraie bonne surprise du film. Son personnage est détaillé, approfondi et il vole la vedette à Furiosa. Il est servi par un Chris Hemsworth en très grande forme, qui cabotine beaucoup moins que ce à quoi je m'attendais. Anya Taylor-Joy s'efface enfin derrière son personnage et moi qui commençait à saturer de la voir partout, j'ai trouvé qu'elle offrait une très belle prestation. En revanche, sur la fin, ça se voit qu'il lui manque la carrure qu'avait Charlize Theron.

    C'est donc un second opus qui est à la fois dans la droite continuité du premier volet pour tout ce qui touche à l'univers présenté mais en même temps radicalement différend dans la manière de raconter son récit. N'attendez pas un Fury Road 2.
    Dernière modification par Stratosfear ; 27/05/2024 à 09h51.

  18. #9348
    Citation Envoyé par Ventilo Voir le message
    En divertissement sympathique du moment Atlas sur Netflix avec Jlo.
    Un truc futuriste avec de méchantes IA dans des corps de robot.
    Pas eu le temps de finir, mais au delà du scénario basique et le coté mode de l'IA, et du fait que Jlo semble avoir 40 ans pas 54, c'est plutot sympa à regarder le samedi soir avec du popcorn.
    J'ai regardé aussi.
    Jennifer Lopez se bat contre des robots dans l'armure de Pilaf.
    Je suis sidéré qu'on trouve des gens pour mettre autant de pognon dans un truc aussi con

  19. #9349
    Citation Envoyé par Petit Patapon Voir le message
    J'ai regardé aussi.
    Jennifer Lopez se bat contre des robots dans l'armure de Pilaf.
    Je suis sidéré qu'on trouve des gens pour mettre autant de pognon dans un truc aussi con
    C'est Jlo qui produit via sa boite de prod (qui aime bien les trucs un peu fauchés)


    Moi ca me sidère qu'on en arrive à avoir ce genre de prod avec des gens qui regardent en mode "oue c'était divertissant", Netflix est vraiment devenue une chaîne de TV comme une autre, tu l'allumes le soir et tu ne choisis même pas en fait.

    Dans un monde normal, personne n'aurait choisi sciemment de payer pour regarder ce truc.

  20. #9350
    C'est complètement ça, tu paies pour ne pas avoir de pub.
    De mauvaise foi moi ? Noooon ?

  21. #9351
    Citation Envoyé par Petit Patapon Voir le message
    Jennifer Lopez se bat contre des robots dans l'armure de Pilaf
    Et encore. Et bourdel qu'est-ce qu'elle joue mal !
    La campagne Single Player de Titanfall 2 est infiniment meilleure sur quasiment le même sujet.

  22. #9352
    J'suis allé voir Furiosa. Pour être parfaitement honnête, j'étais pas chaud, mais j'y suis allé pour éviter d'avoir des regrets si les trailers n'étaient pas représentatifs.

    J'ai pas aimé, du tout. Mon premier problème, c'est que le film n'à qu'une seule chose à apporter à Fury Road, c'est Dementus, parfaitement interprété par Chris Hemsworth. Pour tout le reste, c'est de la longue redite de Fury Road, la structure sociale, la structure "économique", rien de neuf dans le Wastedland.

    L'histoire de Furiosa, on l'avait compris en 3 phrases dans Fury Road dans les grandes longueurs, la seule inconnue, c'est encore Dementus, qui, vous l'aurez deviné si vous avez vu Fury Road, est un détail dans l'univers chaotique des films.

    Le film est trop long, trop lent et n'apporte absolument rien, y'a des ellipses de l'espace dans le déroulement des opérations. Les bagnoles sont moins folles, n’espérez pas voir des trucs aussi dingues que le véhicule chimèrique de Immortan Joe ou le War Rig ou la merco du Man Eater du premier, les effets numériques sont hyper présents.

    Je sauve une scéne de combat très très réussie avec pleins de super idées et quelques plans particulierement jolis, mais globalement, y'a entre 2h et 2h15 de trop.

  23. #9353
    Citation Envoyé par Petit Patapon Voir le message
    J'ai regardé aussi.
    Jennifer Lopez se bat contre des robots dans l'armure de Pilaf.
    Je suis sidéré qu'on trouve des gens pour mettre autant de pognon dans un truc aussi con
    C'est même super con ! La suspension d'incrudilité n'a tenu que 5 minutes.
    C'est de la fiction pulp avec une actrice qui surjoue la souffrance et qui pleure durant une grande partie du film.

    Il n'y a rien qui va, la planète dite hyper hostile abrite de la vie, vous savez c'est commun dans l'univers où le voyage supraluminique est chose courante...

    Revenons aux bases de la SF des années 50...
    Susan Calvin, la robopsychologue d'Azimov est un prix Nobel par rapport à sa pâle copie, Atlas.
    A vrai dire, j'ai eu l'impression de voir un mélange foireux du jeu Titan Fall et de Susan Calvin.

    Que de pognon pour ça !

  24. #9354
    Ouch Furiosa se plante assez fort : 25M$ pour le premier week-end aux US, c'est pas beaucoup.

  25. #9355
    Citation Envoyé par Mordicus Voir le message
    J'ai donc vu Civil War...
    J'ai vu le film et j'ai globalement le même ressenti que toi.
    Le truc qui m'a chagriné tout le long du film et qui n'est pas expliqué : comment deux états aussi différents (dans tous les axes possibles) que la Californie et le Texas pourrais faire coalition pour former la WF ???
    Ahahah, on t'avait prévenu.
    -Les Forces des Ténèbres

  26. #9356
    Citation Envoyé par Stratosfear Voir le message
    Ouch Furiosa se plante assez fort : 25M$ pour le premier week-end aux US, c'est pas beaucoup.
    Ouais, assez terrible de voir que le film est encensé à peu près partout pour se planter comme ça.

    Pas sûr que Wasteland puisse voir le jour, du coup
    Citation Envoyé par nAKAZZ Voir le message
    J'en arriverais peut-être à sortir des trucs du genre : "J'ai été vilain" ou "Punis-moi".

  27. #9357
    Citation Envoyé par nefrem Voir le message
    J'ai vu le film et j'ai globalement le même ressenti que toi.
    Le truc qui m'a chagriné tout le long du film et qui n'est pas expliqué : comment deux états aussi différents (dans tous les axes possibles) que la Californie et le Texas pourrais faire coalition pour former la WF ???
    On s'en fout. Tout le contexte politique de la guerre civile présentée n'a pas vraiment d'intérêt pour ce que veux raconter le film, c'est passer à côté du sujet.
    A mon avis, si le choix a été fait d'allier deux états aussi opposés aujourd’hui c'est justement pour éviter qu'il se prenne des critiques de l'un ou l'autre camps.

  28. #9358
    Citation Envoyé par fwoueddd Voir le message
    J'suis allé voir Furiosa. Pour être parfaitement honnête, j'étais pas chaud, mais j'y suis allé pour éviter d'avoir des regrets si les trailers n'étaient pas représentatifs.

    J'ai pas aimé, du tout. Mon premier problème, c'est que le film n'à qu'une seule chose à apporter à Fury Road, c'est Dementus, parfaitement interprété par Chris Hemsworth. Pour tout le reste, c'est de la longue redite de Fury Road, la structure sociale, la structure "économique", rien de neuf dans le Wastedland.
    C'était un peu mon impression et ma crainte lorsque j'ai vu le trailer de Furiosa.
    Marionnettiste

  29. #9359
    Citation Envoyé par SuicideSnake Voir le message
    Ouais, assez terrible de voir que le film est encensé à peu près partout pour se planter comme ça.

    Pas sûr que Wasteland puisse voir le jour, du coup
    Mince, je ne savais pas qu'il avait encore un film dans les tuyaux le père Miller. Bon, de ce que je lis ça serait encore une préquelle à Fury Road, centrée sur Max cette fois, mais du coup on va encore se retrouver avec un Wasteland figé, qui est déjà une critique que je faisais de Furiosa, et visiblement je ne suis pas le seul.

  30. #9360
    Citation Envoyé par nefrem Voir le message
    J'ai vu le film et j'ai globalement le même ressenti que toi.
    Le truc qui m'a chagriné tout le long du film et qui n'est pas expliqué : comment deux états aussi différents (dans tous les axes possibles) que la Californie et le Texas pourrais faire coalition pour former la WF ???
    Pour Garland, parce que certains événements peuvent faire péter les clivages dans une sorte "d'union sacrée".
    Mais clairement, Civil War est tout sauf un film politique, bravo aux équipes de la com' pour l'avoir vendu comme ça.
    Je suis d'accord pour dire que le film est loin d'être une ode au journalisme de guerre, la preuve avec le dernier plan plein d'ironie..
    Citation Envoyé par Jack Bonheur Voir le message
    L'anglais c'est jamais que du français mal prononcé

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