Globalement, tout ce que vous dites me conforte dans mon avis.
Merci pour la vidéo, c'est intéressant. Je n'étais pas au courant pour des histoires de "patchs". Et au-delà de la question de la conservation des œuvres, pour moi le principal problème, c'est que les gens qui sont déjà allés voir le film sont floués (même si j'admets que le problème existe déjà avec le jeu vidéo).
Globalement, tout ce que vous dites me conforte dans mon avis.
Et donc quand tu chies beaucoup , ça veut dire que tu manges beaucoup, et ça veut donc dire que tu est riche, CQFD
Ça à la limite, ça ne me choque pas, ce sont deux éditions distinctes. De la même manière, que le Blu Ray soit mieux, ça ne m'étonne pas.
Mais patcher un support déjà sorti, c'est différent je trouve. Après, c'est sans doute du ressenti personnel, parce qu'au final, pour le problème que j'ai relevé, ça ne change pas grand chose.
Globalement, tout ce que vous dites me conforte dans mon avis.
Après, les derniers Marvel je les regarde en Blue-Ray, et c'est quand même crade niveau CGI. Le dernier Dr. Strange c'est vraiment pas propre.
La jalousie est un vilain défaut.
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Si c'est le meme que la version Disney+, on peut meme dire qu'elle est carrément horrible. Je me souviens d'une scène quand un perso entre dans un miroir et qui est absolument hideuse.
Mais j'imagine qu'avec des films bourrés de CGI partout, il est difficile de faire un sans faute avec des délais aussi serrés... et autant de boite de SFX comme celle de mon pote.
Et donc quand tu chies beaucoup , ça veut dire que tu manges beaucoup, et ça veut donc dire que tu est riche, CQFD
Je trouve que ça s'est quand même grandement accentué ces derniers temps, pour toutes les raisons citées ici sûrement, et le COVID n'a pas du arranger les choses.
Mais les films Marvel pré-phase 3, je les trouvais plutôt corrects à ce niveau-là. Il y avait quelques ratés déjà (notamment Black Panther) mais globalement c'était plutôt le haut du panier. Là, depuis End Game, je trouve les effets numériques de plus en plus dégueulasses.
Ca dépend, je trouve que Eternals par exemple était plutôt propre au niveau des effets spéciaux.
Strange 2, ça dépendait vraiment des moments mais c'est vrai qu'il y avait des passages bien crade.
Mais comme l'a bien résumé Maximum Laine, c'est tendu entre les studios de SFX et Marvel.
Vu Avatar en Imax 3D (ma premiere 3D).
Pas grand chose a dire, autant c'est un bon film en one shot, mais en faire 4 suites a partir d'un lore inexistant ca va probablement etre gonflant
Grand maître du lien affilié
Ca dépend la direction que prend Cameron. S'il utilise chaque film pour faire un manifesto écolo light, ça risque d'etre chiant oui.
Mais s'il propose des twists intéressants, ça peut le faire. Genre, un cross-over avec Terminator. L'arbre géant du premier film était Skynet et les Navis des Terminators qui avaient enfin trouvé une planète pour vivre en paix.
Et donc quand tu chies beaucoup , ça veut dire que tu manges beaucoup, et ça veut donc dire que tu est riche, CQFD
Et tout personnellement, je ne trouve pas que la force du premier Avatar soit le lore, qui est ultra-classique, mais plus l'invitation au voyage. Si chaque film propose une nouvelle tribu et un nouveau biome, ça me va. Comme des cartes postales de luxe.
Il m'a fallu des plombes pour le piger, mais l'histoire et le lore viennent au deuxième plan.
Et donc quand tu chies beaucoup , ça veut dire que tu manges beaucoup, et ça veut donc dire que tu est riche, CQFD
En marge de l’Étrange, un détour par l’UGC pour voir les gros films de l’été après tout le monde :
Jurassic World: le Monde d’après de Colin Trevorrow
Les dinosaures se sont encore échappés. Et il se passe des trucs puis d'autres.
Je suis déçu, le deuxième film avait un pied dans le nanar et celui-ci le remet dans le navet, à pieds joints donc. Je m’attendais à un truc genre Jurassic World War III mais ça doit pas être assez sérieux pour les producteurs qui se limitent à un lâcher d’atrociraptors à guidage laser et un ptérodactyle géant anti-aérien. On espérait le Pentagone attaqué par un badassosorus, la tour Eiffel renversée par un destroyodon ou la Muraille de Chine aplatie par un apocalypse Rex et puis non, c'est sauterelles grillées sans dessert. Pour 2h30 et le prix d’une place de ciné, on est pas payé de retour.
Everything Everywhere all at Once de Daniel Scheinert et Daniel Kwan
La vie accable Evelyn Wang : son couple bat de l’aile, elle ne comprend plus sa fille, son père vieux jeu débarque, son entreprise est harcelée par le fisc et le pire est à venir… pour faire face à toute cette adversité, elle va faire appel aux talents d’autres Evelyn Wang ayant pris des virages différents dans leur vie.
Le film a beau être gonflé, dans tous les sens du terme, je suis resté sur ma faim : je ne m’attendais pas à autant d’explications et de ressassement des règles du jeu. C’est plutôt cher payé pour trois chouettes bagarres et demie et des scènes absurdes parfois amusantes souvent ostentatoires. Malgré tout j’ai été agréablement surpris par la façon dont le film aborde un sujet grave, en l’occurrence la dépression, par le fantastique. Ça m’a paru pertinent et assez émouvant, même si ça aurait pu l’être encore plus si le personnage de la fille était moins convenu et (peut-être) mieux écrit au départ. Les autres personnages sont attachants, même celui de Jamie Lee Curtis y parvient et elle partait de très loin !
Je dirais que si l’on est prêt à supporter les longueurs et le capharnaüm, ça se tente pour voir un film original et assez touchant au bout du compte. Après à titre perso et en marge de l'Étrange Festival, ce n'était même pas le truc le plus dingue que j'ai vu de la journée. Donc ok mais sans plus.
Bullet Train de David Leitch
Un voleur malchanceux et sur le retour est chargé de récupérer une mystérieuse mallette à bord d’un train. Bien entendu rien ne se passe comme prévu : des tueurs professionnels font partie des passagers.
C’est distrayant, j’ai passé un bon moment selon la formule consacrée. Ça ne se prend pas au sérieux, les acteurs ont l’air de s’amuser et le plaisir est communicatif. Les rebondissements arrivent à rythme régulier, c’est ce qu’il me faut pour ne pas m’ennuyer.
Je n’ai jamais éclaté de rire, c’est plutôt le genre de film qui fait sourire. L’estampille « déglingo » est quand même très voyante, à se demander si c’est censé être drôle ou simplement épater le chaland. Perso ça fait un moment que les flashbacks pour montrer à quel point un personnage est cool suivies d’un arrêt sur image avec le surnom marqué un gros sur l’écran me laissent de marbre.
Et puis le film est un brin paresseux, l’idée du train est peu exploitée par moment. Faut savoir que le train ne transporte pas que des tueurs mais c’est quand ça arrange le scénario… quelques gags pour meubler avec les autres passagers, rien de plus. Le Snowpiercer de Bong Joon-ho est bien meilleur de ce côté.
Enfin bon, ça se voit avec plaisir et un seau de popcorn.
Nope de Jordan Peele
Le propriétaire d’un ranch, qui dresse des chevaux pour le cinéma, décède de façon étrange. Son fils et sa fille héritent de l’entreprise familiale… et des événements inexplicables se répètent.
J’ai eu un intérêt comment dire… flottant pour le film, qui a pas mal de cordes à son arc dont les tensions varient sans arrêt. On pourrait faire une décomposition du film en série de Fourier.
Il y a un petit suspens avant de découvrir le monstre, qui est intéressant à voir, puis qui lasse parce qu’on le voit trop, ensuite regain d’intérêt par changement de forme. Le « héros » est barbant, puis carrément antipathique et enfin plus intéressant quand les choses sérieuses se pointent. L’image est toujours léchée, et on s’ennuie à force de scruter le même paysage pendant tout le film mais finalement le dernier acte donne plus à voir.
Du coup le film est intriguant, puis moins, puis plutôt chiant, puis je me réveille, puis je m’ennuie, puis ça s’améliore, en fait non et finalement si. Étant donné que le dernier chapitre est très bon, j’ai fini sur une bonne impression et je pense que le film m’a plutôt plu. Malgré le petit côté désagréable du « film à interpréter » qui semble être fait pour être décortiqué dans tous les sens sur le net et ailleurs pour faire parler de lui.
Trois Mille ans à t’attendre de George Miller
Une éminente et solitaire narratologue découvre un djinn dans flacon. Ce dernier va lui raconter ses aventures.
Le côté recueil de contes et civilisations de l’Orient me plaît beaucoup, on en voit très rarement au cinéma. C’est bien kitsch, ça peut faire penser à du Zack Snyder avec la petite touche de grotesque et d’humour (de Miller) par-dessus. Ces passages me conviennent très bien.
Le reste est oubliable voire cucul la praloche (le dernier acte) je n’y vois aucun intérêt. Ce qui m’agace c’est tout ce dispositif pour raconter des histoires… que Miller aurait pu raconter directement ? Je n’ai pas besoin de voir un personnage se faire raconter des histoires, spectateur c’est mon boulot.
Jeux du moment : TEKKEN 8
Et donc quand tu chies beaucoup , ça veut dire que tu manges beaucoup, et ça veut donc dire que tu est riche, CQFD
C'était tout à fait excellent. Ce poisson a du goût parfois.
Ça vaut le coup rien que pour Saroumane.
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Ben y avait une bonne idée et il avait moultes bonnes images ... mais au bout du compte il fait un carton puis un listing. Du coup c'est lourdingue. (et donc si je comprends, heureusement ils lui ont dit de faire plus court )
Mouais, c'est discutable...
Les hommes-chats bleus ça reste un concentré de stéréotypes de divers peuples autochtones et cultures mal connues ou perçues comme exotiques en occident (j'adore le fait qu'ils poussent tous des youyous comme les femmes au Moyen-Orient )...
Ça fait un peu le dernier des Mohicans sauce déforestation de l'Amazonie servi sur une planète alien.
Signature Merde !
Ben Avatar c'est juste Pocahontas chez les chats bleus, c'est le même scénar ^^
Un écrivain qui se livre, c'est un peu comme un canard qui se confie.