Berk, je ne sais pas comment vous les éduquez mais c'est bizarre quand même.
A noter que notre ORL râle bcp sur ces seringues. faut surtout pas les remplir (5Ml par narine et pas une seringue par narine) car ca fout plein de flotte dans les canaux et c'est source d'otite chez les enfants... donc bien pour le nez moins pour les oreilles
en gros d'après elle, faut les utiliser sur les enfants qui savent déjà se moucher, avant c'est trop tôt
De notre côté, jamais de seringues, juste le mouche bébé et cela a très bien fonctionné. Nous lui avons aussi appris à se moucher très tôt.
Pareil on a toujours utilisé que le mouche bébé de notre côté, celui où on aspire avec la bouche (ne surtout pas oublier la petite mousse ), ça permet de bien doser l'aspiration.
Et un coup de prorhinel avant si c'était bien bouché.
"J'essaie de déterminer comment le psora lamellaire s'est répandu sur le Normandy. Infection sexuellement transmissible. Porteur viral : le varren. Conclusions troublantes."
J'avais testé une fois, je suis tombé malade direct, une semaine KO avec une crève de dingue.
PLUS JAMAIS
VRAIS SACHENT
JE ME SOUVIENS, CALISSE !
etc...
Nezpirateur saved my life. Faut juste un parent qui plaque ses paumes sur les oreilles du pti pendant que l'autre démarre le Rowenta à 2h du matin...
Quand je vois la merde gluante qui apparaît dans le tuyau, je suis bien content que ça soit pas ma bouche de l'autre côté...
Franchement entre le mouche bébé et le gamin qui m'éternue dessus non stop, fais des bisous bien baveux ou fout ses doigts plein de baves dans la bouche avant que tu puisses réagir, je suis pas sûre que ça soit la faute du mouche bébé
Les enfants ont une notion bien à eux des gestes barrières.
"J'essaie de déterminer comment le psora lamellaire s'est répandu sur le Normandy. Infection sexuellement transmissible. Porteur viral : le varren. Conclusions troublantes."
Perso on a un aspirateur à nez mais qui fonctionne sur piles.
Un truc comme ça (c’est un Philipps le notre mais c’est quasi pareil)
https://www.boulanger.com/ref/1068763
Ça doit sans être moins aspirant que le truc qui se met sur l’aspirateur mais c’est peu bruyant et surtout portable tu peux sans problème l’emmener avec toi.
On continue de l’utiliser avec le grand de 4,5 ans quand il a le nez vraiment pris et que le mouchoir suffit pas.
Je me demande si une customisation, du genre poire connectée sur le mouche bébé "manuel", ça peut pas fonctionner, à condition de bien maîtriser le geste (appuyer sur la poire avant de le mettre dans le nez)
Après bon, experimentation et santé des bébés, vaut mieux pas essayer...
Petite question pour les parents (TW :PAS DROLE)
Ma fille (5 ans , moyenne section) vient de perdre une copine de classe (double crise cardiaque ) avec qui elle faisait le trajet matin et soir .
La situation étant assez inédite pour nous, on se demande comment aborder le sujet avec elle. Si des canards on eu la malchance de se retrouver dans cette situation, on serait assez preneurs de conseils .
Voilà voilà, désolé de plomber un peu l'ambiance :/
Oh là c'est dur.
Comme dit par Wobak, je ne pense pas qu'un avis d'un canard soit pertinent. Seul un professionnel sera apte à gérer ce genre de situation.
Condoléances, c'est vraiment une crainte de tous les parents d'avoir ce genre de décès qui survient subitement. C'est en tous cas ma plus grande peur.
Je n'imagine même pas le choc pour tout le monde.
Du même avis, un spécialiste sera plus recommandé, on peut faire des conneries en voulant bien faire.
Je me souviens avoir lu qu'il ne faut pas utiliser de métaphore par exemple, en voulant minimiser la chose, on dit à l'enfant que la personne est partie faire un long voyage et trois mois plus tard on ne comprend pas pourquoi elle fait une crise quand on lui annonce que papi et mamie vont faire un voyage à la barbade ^^
Il y aura peut-être d'ailleurs quelque chose de fait dans l'école elle-même, en général ils mettent en place une cellule psychologique quand ce genre d'évènement arrive.
Je pense aux pauvres parents qui vivent ça.
"J'essaie de déterminer comment le psora lamellaire s'est répandu sur le Normandy. Infection sexuellement transmissible. Porteur viral : le varren. Conclusions troublantes."
Je dirais de manière générale sur des sujets délicats, plutôt questionner l'enfant pour qu'il puisse lui-même donner le tempo des infos qu'il veut avoir (mais sans chercher à esquiver les questions parce qu'on est pas à l'aise avec le sujet, sans chercher à éluder non plus, et lui montrer qu'on peut tout à fait parler de la question) "Est-ce que tu veux que l'on parle du fait que X ne vient plus à l'école (ou dire carrément décès ou mort si c'est acté que l'enfant a déjà cette info) ? Est-ce que tu as des questions sur...". C'est à dire lui laisser la main sur les infos et la quantité d'info (ou degré d'infos) que l'enfant veut avoir, et aussi le rassurer (mais sans minimiser ce qu'il s'est passé).
Je pense qu'il faut y aller par pallier dans la conversation en essayant de percevoir quel information l'enfant a besoin pour faire son deuil, comprendre ce qu'il s'est passé. Ne pas avoir peur d'évoquer frontalement le sujet de la mort.
Perso, je ferais quelque chose du genre:
"Est-ce que tu veux que l'on parle du fait que X ne vienne plus à l'école ?
(...)
Est-ce que tu sais pourquoi X ne vient plus à l'école ? Est-ce que tu veux que je te dise pourquoi X ne vient plus à l'école ?
(...)
Alors X ne vient plus à l'école parce que (soit embrayer sur la mort, soit la maladie mais si on parle de maladie, il faut être clair car on est tous malade à un moment ou à un autre donc il ne faut pas que l'enfant puisse s'imaginer que la mort va venir frapper au moindre rhume).
etc..."
Et en parallèle, pouvoir répondre à ses craintes et potentielles angoisses (et enfant comme adulte, c'est normal d'être angoissé par la mort), la rassurer (avec des arguments logiques et vrais).
Si ce n'est pas le moment pour elle, dire qu'on est là pour un parler à un autre moment.
Je pense que cet article est de bon conseil (tu as aussi une liste de livres pour enfant à la fin):
https://www.pommedapi.com/parents/ca...e-mort-enfants
La question du psychologue pour enfant ou pédopsychiatre, ça peut être une bonne chose s'il y a un traumatisme et il sera surement plus à l'aise pour parler de ces questions (le professionnel). Malgré tout, la mort est une des questions premières qui nous taraude et nous détermine, je pense qu'il faut pouvoir en parler à son enfant (mais sans le brusquer non plus) et cinq ans me parait un âge adéquat pour le faire (ou commencer à évoquer ces questions... Mais bon, là c'est entré direct dans la vie de votre fille, dans une de ses relations).(...)
« On va où, quand on est mort ? »
Voilà bien une question à laquelle personne ne peut répondre avec certitude. Autant le dire ! « Ce n’est pas parce qu’on ne sait pas qu’on ne doit pas parler », insiste Claire Pinet. Il faut donc avouer que sur ce qui se passe après la mort, personne ne sait exactement. On peut expliquer que les gens ont des croyances et des opinions différentes sur ce point, avant de donner son propre point de vue : « Moi, je pense que… Toi, petit à petit, tu te feras ta propre idée. » Hélène, interrogée par son fils de 4 ans sur “l’après”, se souvient lui avoir donné « une des pires réponses pour un enfant : je lui ai dit qu’à mon avis on n’allait nulle part. » Confirmation de Claire Pinet : « Dire qu’après la mort, il n’y a rien, c’est très angoissant. » Elle conseille aux non-croyants d’insister sur le fait que la mort n’est pas la fin de la relation, mais sa transformation, en disant par exemple : « Même quand on est séparé par la mort, on peut encore s’aimer très fort. Ta grand-mère reste ta grand-mère, même maintenant, et tout ce que vous avez vécu de beau et de grand continue d’exister. »
Que faire, que dire… si un proche meurt ?
Quand ça arrive “en vrai”, il faut en informer l’enfant, sans délai, et en utilisant des mots sans ambiguïté : “il est mort”, plutôt que “il est parti” ou “il nous a quittés”. Il importe aussi de “valider l’émotion de l’enfant”, même s’il ne dit rien, même s’il ne laisse rien transparaître, en mettant des mots.
(...)
Ce qui est sur, c'est qu'il ne faut pas mettre ça sous le tapis et faire comme si rien ne s'était passé.
Le fait que l'école en parle, ça peut être aussi un bon terrain de départ pour discuter de cela, si vous n'avez pas trouvé comment le faire avant.
Après, je donne ces "conseils" mais je ne suis pas dans la situation, je ne suis pas le parent de l'enfant, etc... Cela reste abstrait pour moi.
Dernière modification par M.Rick75 ; 21/05/2024 à 18h49.
En tant que parent ayant perdu un enfant et devant accompagner le reste de la fratrie, je trouve tes conseils justes et pertinents.
Après c'est toujours à ajuster en fonction de l'âge, du caractère et du vécu antérieur de l'enfant, de sa relation avec la personne décédée.
Et l'appui d'un psy peut aider directement l'enfant mais aussi les adultes à trouver les bons mots ou à déchiffrer les non-dits, les attitudes à surveiller, etc.
Bon on en a parlé hier soir avec elle (le sujet avait été abordé en classe et avec le psy qui est venu) .
Je ne sais pas si elle a compris mais on a eu le droit à un gros calin qui a duré longtemps et depuis , elle est en train de s'appliquer :
"Je fais un dessin pour A*****, avec des fleurs, des papillons et les copines de la classe. Ensuite je le donnerais à sa maman"
Bordel c'est dur
En un sens heureusement que ta fille est jeune, ça s'effacera plus vite.
Ici on a perdu le grand père en 2023, ils n'ont pas de tristesse quand on l'évoque.
De mauvaise foi moi ? Noooon ?
Je saute du coq à l'âne sur un sujet plus léger. Est-ce que vous avez des conseils de brosse à dents électriques pour les petits (3ans). Pour l'aider à être plus autonome sur le sujet. Il veut faire comme les grands mais bien sûr à son âge avec une brosse à dent normale je dois repasser derrière. Je me dis que la version électrique, en plus de le chatouiller, va faire tout le travail de "frotter comme il faut"
Hello !
Ca fait un moment que j'ai pas posté !
Depuis la dernière fois ma fille d'1 an et demi a été rejointe par son frère de 2 mois. On s'amuse bien, c'est reposant, tout ça, tout ça...
En guise de challenge, on a prévu de partir en vacances à 4, fin septembre. Le voyage se fera par avion (1h30) et je me demandais si vous aviez des astuces pour ne pas passer le vol enfermé dans les toilettes.
Le dernier trajet, en train, avec ma grande, avait été plutôt éprouvant : et vas-y que je gu...parle très fort, me jette entre les sièges et lèche les vitres. Les 1h30 m'ont paru durer le double.
La fermeté et les gros yeux n'ont pas trop d'effet.
Elle sera encore un peu jeune en septembre, son frère n'en parlons pas et j'aimerais cumuler les distractions pour éviter de me mettre à dos tout l'avion.
Vous avez des astuces ou des témoignages ?
Tu veux faire une bonne action ?
Prévoie une occupation qu'elle aime bien (dessin, livre, jeu calme).
Cela avait aidé mais pas pendant tout le vol, le bébé sur la place de devant était beaucoup plus intéressant, elle a passé un bon moment debout à regarder par dessus l'appuie-tête...
Faut espérer tomber sur des voisins intéressants alors :D
Je ne sais pas comment sera son frère, mais elle c'est une vraie tornade.
On va espérer qu'elle ne jettera pas tout par terre et qu'on survive au vol.
Tu veux faire une bonne action ?
---> Topic de Vente BDs JdS : L'Aquarium de fishinou }>(((((°)>
Je sais pas si le vol a lieu la nuit ou pendant une sieste. Si c'est le cas et qu'elle est du genre à pas chercher à l'enlever, un casque isolant type BABY BANZ peut être pas mal pour la couper des bruits environnants.
On avait utilisé ça pour un trajet de 4h la nuit à ses 10 mois. Bon après, autant sur l'aller on a eu de la chance, tout s'est bien passé, elle a dormi et n'a pas réagi au décollage/atterrissage. Autant au retour elle a passé tout le trajet à vouloir jouer avec les écrans qui étaient heureusement en panne à l'aller. Bon après, en dehors de ça elle était pas bruyante. Elle cherchait juste à voir un peu ce qui se passait devant.
Du coup oui, si voyage de jour, prévoir un jeu/livre calme qu'elle apprécie, et croiser les doigts.