J'aime beaucoup comment le texte critique finalement le côté immoral de Prison Architect, mais justifie que c'est "okay" en jeu vidéo sur le prétexte que : c'est un support différent (oui et?) Et qu'on y joue dans l'intimité.
Ça confirme très franchement l'opinion que j'avais du jeu vidéo : un thème infâme, exploité en jeu de gestion d'une manière apparemment depolitisée. Enfin seulement apparemment, la première mission du story mode c'est faire une salle d'exécution et de griller un détenu sur la chaise. J'en avais la gerbe quand je me suis aperçu qu'il n'y avait aucune second degré (coucou Millgram)