Je sens la haine en toi .
J'imagine que tu parles de ma supposition comme quoi le ventilo est allumé dans l'exercice de pensée de base, sinon ? Certains semble sauter rapidement le pas entre « exercice de pensée où on cherche un cas moyen facile » et « il fait du prosélytisme pour ne pas éteindre les appareils », tatillon quand ça vous arrange ^^.
Pour le choix de cette simplification : J'ai vécu à la réunion, j'ai rarement vu quelqu'un éteignant un ventilo quand il navigue entre plusieurs pièces. Surtout quand on parle du salon (qui était le cœur de notre expérience de pensée). Si il fait 40 dehors et que le salon est le cœur de la maison : ton ventilo au plafond tu le laisse allumé très souvent dans la journée (et tu l’éteint dans la nuit pour allumer celui des chambres par exemple) . Il n'est donc pas déconnant de voir ça comme un régime continu sur une partie importante de la journée (quand la personne est présente), suffisante pour négliger les effets intermittents et l'inertie. En tout cas dans une première approche.
En vrai c'est évident qu'il y a une différence entre le temps de refroidissement d'une pièce via clim, qui aura une inertie, et la ventilation, qui n'en a pas, et que cette différence va influer sur l’énergie dépensée pour un ressenti frais, notamment en situation d'aller retour avec la maison ou lors de journée où l'on quitte et reviens à la maison pour le travail. Mais quand tu fais un modèle faut bien commencer quelque part, même si ce quelque part est simpliste au début. C'est histoire d'avoir des ordres de grandeurs.
De toute façon, comme dit, même dans ce pire cas défavorable au ventilo, c'est le ventilo qui gagne sur une maison isolée correctement, et sur toutes les maisons moins isolés, de fait. (calcul à refaire éventuellement sur une maison très bien isolée).