Ah oki, merci. Vais regarder ça.
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Je pensais à la VF pour mes filles.
Sinon effectivement ils vont logiquement tenter de se rattraper avec le streaming: pas trop le choix vu la cata pour eux... mais je ne pense pas qu'on ait un jour une vf complète.
A moins que tu ne penses qu'une plate-forme de streaming se chargerait elle-même de faire des versions localisées ? J'ai quand même un gros doute. Ou alors ça sera localisé à l'arménienne: on entend la VO et un gars fait toutes les voix par-dessus...
J'ai déjà vu un épisode de Starsky et Hutch comme ça: c'était trop drôle.
Gros batave
Ce n'est pas impossible, on a bien du directDvD qui est doublée régulièrement
Tes filles ont quel âge si ce n'est pas indiscret ?
J'ai habitué les miennes à la Vostfr assez jeunes pour qu'elles s'habituent a entendre des langues étrangères, ça demande une petite période d'adaptation
The King of Staten Island
Dernier film de Judd Apatow, sur un scénario de et avec le comédien de stand-up Pete Davidson.
Pete Davidson imagine la vie qu'il aurait eu s'il n'était pas entré dans le monde du stand-up, la vingtaine, dépressif, tatoueur amateur raté vivant toujours chez sa mère à Staten Island, sans job, toujours affecté par la mort de son père, pompier disparu le 11 septembre 2001, qui passe son temps à fumer avec ses potes et qui fuit toute relation sérieuse.
C'est une tranche de vie dans laquelle le personnage principal évite délibérément toutes les perches qui lui sont tendues, sous l'effet de la dépression, qui ne sait pas où aller et qui n'arrive pas à surmonter la disparition et l'absence de son père alors qu'il était jeune. Parfois je m'y suis retrouvé, parfois il était difficile d'avoir de l'empathie envers lui alors qu'on avait qu'une seule envie, lui donner un bon coup de pied au cul.
Outre Marisa Tomei dans le rôle de la mère, on retrouve Steve Buscemi, qui était pompier volontaire lors du 11 septembre, et joue donc ici logiquement un ancien collègue du père de Pete. Puis une plâtrée de comédiens de stand-up, dont Bill Burr.
Techniquement il n'y a rien à reprocher au film ou aux acteurs, je pense juste qu'il faut être d'humeur à regarder ce genre de films.
Nomadland
Après que son mari soit mort et l'usine dans laquelle elle travaillait ait fermé, Fern, la soixantaine, décide d'acheter un van et de commencer une vie nomadique à travers les US, faite de petits jobs saisonniers, d'entraide et de débrouille.
Frances McDormand est plongée ici au milieu de l'Amérique pauvre, celle qui vit une vie de nomade par contrainte financière ou par choix, mais toujours dans un certain dépouillement, et dans un esprit très solidaire. Le fait que la quasi-totalité des acteurs entourant Frances sont amateurs et probablement des nomades eux-mêmes ajoute au côté très naturaliste du film.
Le film des petites gens, l'envers du décor d'une société américaine capitaliste où les effets de la dernière récession sont clairement palpables. D'entrepôts Amazon pendant les périodes de fête aux rassemblement d'entraide à la débrouille, on voyage avec Frances, toujours aussi talentueuse, dans des paysages souvent désolés, parmi les oubliés.
Judas and the Black Messiah
L'histoire de l'infiltration des Black Panther par le FBI, via un petit criminel auquel ils ont tordu le bras, pour faire taire et finalement assassiner son président, Fred Hampton.
Je dois dire que je n'étais pas particulièrement intéressé par le sujet, c'est surtout que j'aime beaucoup Daniel Kaluuya et j'adore LaKeith Stanfield (un vrai grand acteur en devenir), et que du coup je ne pouvais échapper au visionnage de ce film. Mais en fait si, car j'ai abandonné en cours de route. Ce n'était vraiment pas fait pour moi. Malgré le talent des deux acteurs, cette description d'un évènement historique m'a poliment ennuyé (comme souvent pour ce genre de film, avec cet enchaînement de scènes obligées et sans âme pour détailler chaque fait connu...).
Pour qui est intéressé par le sujet par contre, j'imagine que ça vaut le coup.
Petite mention à Jesse Plemons qui arrive toujours aussi bien à jouer un petit salopard tranquille sans avoir l'air d'y toucher.
Honour, eh? What the hell is that anyway? Every man thinks it's something different. You can't drink it. You can't fuck it. The more of it you have the less good it does you, and if you've got none at all you don't miss it.
Tomb raider 2018
Alors c'est mauvais. Une succession de scènes sans trop d’intérêt avec un tout petit file pour essayer d'avoir une histoire et de la CGI assez crade.
Dominic West et Walton Goggins ont l'air complètement perdu dans cette production.
Il ya des passage sympa qu'on aurai cru tirer directement des jeux vidéo.
Le seul interet du film pour moi, c'est la prestation de Alicia Vikander. Elle colle très bien au personnage de Lara Croft et joue bien, elle relève le niveau du film. C'est une actrice que j'avais découvert avec Ex machina, il va falloir que je me penche un peu plus sur ça filmo
Clérembard, d'Yves Robert avec Philippe Noiret, Claude Pieplu, Roger Carel ..., adapté d'une nouvelle de Marcel Aymé.
Tout de suite, on sait que ça va être sympathique, gentiment anarchiste et anti-clérical.
Pas un chef d'œuvre, ni même un des meilleurs Yves Robert, mais ça se regarde avec plaisir et bonne humeur
Le jeu vidéo est une chose trop grave pour le laisser aux canards
Enfin eu le courage de terminer Star Wars IX, et j'ai pas été déçu: Je m'attendais à une daube... ben ce fut carrément épique pour réussir à aller jusqu'au bout.
J'ai bien ri en tout cas.
Mention spéciale (enfin parmi la myriade de trucs que j'ai trouvé plus débiles les uns que les autres) auxSpoiler Alert!
Sinon, dans un autre style, j'ai enfin vu Parasite (après tout le monde) et c'était quand même autre chose (oui, je sais, ça n'a même rien à voir). Alors par contre (et je savais que), je ne saurais dire pourquoi mais la fin me laisse un peu un goût bizarre. Pas que je l'ai trouvé mauvaise mais y'a quelque chose qui me dérange sans que je parvienne l'exprimer clairement.Spoiler Alert!
Gros batave
J'ai maté sur Amazon Prime le Prince à New Work 2.
Alors comment dire...
Entre la voix VF d'Eddy Murphy qui est à l'Ouest, et 70% du temps en mode "Comédie Musicale"... bref...
Seul point positif, la prestation de Wesley Snipes qui m'a bien fait marrer
L'espoir est le premier pas sur le chemin menant à la déception.
Honour, eh? What the hell is that anyway? Every man thinks it's something different. You can't drink it. You can't fuck it. The more of it you have the less good it does you, and if you've got none at all you don't miss it.
Honour, eh? What the hell is that anyway? Every man thinks it's something different. You can't drink it. You can't fuck it. The more of it you have the less good it does you, and if you've got none at all you don't miss it.
Justement, j'ai vu Un prince à New York 1 et 2 (pas à la suite, j'ai laissé deux jours d'écarts).
Le premier a été réalisé par John Landis qui nous a quand même offert The Blues Brothers et le second par Craig Brewer qui nous a offert... Voilà.
J'avais peur que le premier ai mal vieilli au niveau de l'humour mais ça fonctionne toujours aussi bien, j'ai maté le film deux fois (en VF et en VO) et si j'affectionne toujours la VF par nostalgie, la VO est quand même un cran au-dessus.
L'humour fonctionne toujours aussi bien et Eddie Murphy a vraiment une présence et un dynamisme qui fait plaisir, son duo avec Arsenio Hall fonctionne vraiment bien.
Je dirais que le film tire un poil en longueur sur la fin.
Pour le second opus, c'est dans la droite lignée du premier. Je ne l'ai maté que en VO vu que le doubleur original de Eddie Murphy est malheureusement décédé.
J'ai pas grand chose à dire, j'ai trouvé que ça fonctionnait bien et, comme le premier, ça tire en longueur sur la fin. Y a du fan service comique que j'ai trouvé bien foutu ( je dois avouer que j'ai bien rigolé lorsque la fille qui saute sur une jambe en aboyant revient ) mais après c'est vraiment l'histoire classique du mec qui se retrouve dans une classe sociale auquel il ne connait rien donc c'est un peu poussif parfois mais ça reste suffisamment divertissant pour passer un bon moment devant une madeleine de proust inoffensive mais agréable.
Some days, some nights, some live, some die in the way of the samurai
Some fight, some bleed, sun up to sun down, the sons of a battlecry
J'ai essayé Deadpool 2 hier soir. Comme pour le premier, rien à faire... Je trouve ça vachement nase.
Entre l'humour ultra-forcé pour ado et Ryan Reynolds qui est vraiment un comédien médiocre, j'ai arreté vite fait. Les monologues putain... J'aurais honte de dire ce genre de trucs...
Sans compter que c'est flimé avec les pieds et que les CGI sont honteuses.
Bref, c'est nul. Autant j'ai appris à apprécier les GotG, autant Deadpool, c'est niet.
Et donc quand tu chies beaucoup , ça veut dire que tu manges beaucoup, et ça veut donc dire que tu est riche, CQFD
Honour, eh? What the hell is that anyway? Every man thinks it's something different. You can't drink it. You can't fuck it. The more of it you have the less good it does you, and if you've got none at all you don't miss it.