C'est triste d'en arriver là surtout.
D'un côté je trouve ça complètement con. Mais de l'autre, si ça peut pousser à créer plus de diversité dans le cinéma...
Mais je ne suis pas fan de ce genre de décisions.
C'est triste d'en arriver là surtout.
D'un côté je trouve ça complètement con. Mais de l'autre, si ça peut pousser à créer plus de diversité dans le cinéma...
Mais je ne suis pas fan de ce genre de décisions.
Il suffit d'en avoir 2 sur 4.
Et a part le premier les autres peuvent être totalement invisible a l'écran.
STEROIDS - LE PODCAST : Parole de Flic
Cette semaine, STEROIDS – LE PODCAST reste en France et plus particulièrement à Lyon, dans lequel se déroule l’intrigue de PAROLE DE FLIC, polar déviant et souvent dévié puisqu’il est produit et interprété par le seul, l’unique Alain Delon, alors au fait de sa mégalomanie !
C’est vrai : en épluchant la programmation de STEROIDS – LE PODCAST, on s’est rendu compte qu’on n’avait encore jamais chroniqué un film d’Alain Delon, soit la deuxième plus grosse « french action star » des années 80 juste derrière notre Bébel national. Du coup, on s’est dit qu’on allait remédier à cela séance tenante en abordant l’une des plus belles sorties de route de Delon : PAROLE DE FLIC, polar burné certes mais aussi « ego trip » souvent déconcertant car hanté par la peur panique de sa star de ne plus être à la page.
Tourné en 1985 par un José Pinheiro qui s’imposera en deux films (celui-ci et NE RÉVEILLEZ PAS UN FLIC QUI DORT) comme le fossoyeur de la carrière de Delon, PAROLE DE FLIC est surtout une bonne occasion pour sa vedette de rouler des mécaniques comme jamais et d’amorcer sa transformation en la caricature de lui-même qu’il allait ensuite devenir. On peut le déplorer mais Stéphane Moïssakis et Arnaud Bordas ont pris le parti d’en rire, tant le film comporte de scènes autres, de pépites mégalo-delonesques et de décrochages « over the top ». Attention risque de fous rires !
Il a l'air génial ce film !
Le PDG de Disney qui annonce au calme que Disney sera dorénavant projeté vers le streaming.
Avec l'idée de supprimer les intermédiaires (producteurs, salles, impôts ..)
Les impôts sont des intermédiaires ? Il a prévu de créer un État coupé du monde ?
En gros une plate forme de Streaming te permet d'éviter tout les systèmes de redevance dans les salles, tu payes juste la TVA dans le Pays de l'acheteur (En Europe)
+ Les aides à la création exorbitante que Paye Netflix en France, mais bon c'est la France. C'est tout de même peanuts par rapport aux coûts d'exploitation.
Enfin, être démat' te laisse tout le loisir d'optimiser ta fiscalité.
Pour ceux qui veulent un podcast ciné, je recommande La gêne occasionnée.
C'est animé par un homme sans nom, avec François Begaudeau ( ) comme interlocuteur.
Et c'est de la critique cinoche (de la vraie), ce que je trouve un peu trop rare dans le paysage.
Some days, some nights, some live, some die in the way of the samurai
Some fight, some bleed, sun up to sun down, the sons of a battlecry
Vu Solo a star wars story avec le gamin ( )
C'était plaisant, j'ai cru comprendre qu'il était pas apprécié mais quels sont les griefs principaux ?
Ha par contre si je l'avais vu avant le 9Spoiler Alert!
Acteur principal pas très charismatique, droid insupportable, et surtout le film est sans surprise et très moche et tout gris (arrivant juste après Rogue One et le 8 qui prenaient des risques et étaient graphiquement sublimes ca fait tâche)
Je ne vais ni parler de Disney, ni de MCU, ni de Star Wars, je vais juste parler d'un vrai et bon film avec des images superbes, un scénario classique mais excellent et de bons acteurs.
J'ai vu Le Lac des Oies Sauvages, un bon film noir dans la Chine des pauvres et des victimes du système.
Un des grands films de l'année 2019
J'ai adoré.
Voilà
Le jeu vidéo est une chose trop grave pour le laisser aux canards
Excellente nouvelle !
et même pour les américains, je pense, contrairement à ce que semble dire le mec d'écran large ... parce que même si Disney se lance dans cette direction, j'imagine assez mal les acteurs s'en contenter ... y aura toujours un certain prestige à être sur grand écran, à faire des avant-premières, à se lécher la pomme aux oscars, etc ... ce que ne pourra donc plus offrir Disney qui, finalement, ne pourra proposer que des carrière d'idol pour adultes (je sais je sais, ce terme n'est pas très adéquat pour le public de star wars et de marvel )
et parallèlement, la disparition des produits disney va offrir de la place en salle aux films qu'on regrettait de voir être produit par Netflix et ne pas sortir en salle ... ou des trucs qui sortaient difficilement du genre Ad Astra et devait se taper une concurrence impossible.
Je plussoie, j'avais vu deux très chouettes films Chinois à l'automne 2019 (c'est tellement loin, à l'époque on allait au ciné presque toutes les semaines...): celui-ci, et Ballade dans les monts Fushin (de mémoire; il y a des monts quelque chose dans le titre, même si ça se passe dans une ville en bord de fleuve). Je crois même que j'étais venu parler des deux ici (deux films très différents, polar social pour l'un, chronique familiale pour l'autre).
c'est chiant la 3D
Globalement, tout ce que vous dites me conforte dans mon avis.