Marvel : Guardians of the Galaxy
Je n'ai pas fait beaucoup de jeux en 2021, mais ca sera mon GOTY. Tout est reussi bon sang, même la fin !!! J'ai vraiment été surpris par le ton sérieux et les thèmes abordés (le deuil, la parentalité), ils arrivent à te caler ca entre 2 vannes de Rocket et une réplique à hurler de rire de Drax.
Ce jeu, c'est vraiment un guide pour savoir comment faire un bon AAA Solo. Pas de thématiques "metroidvaniesque" inutile pour te faire revisiter des mondes que tu as deja vu car tu as débloqué un truc. Ici, tu débloques un pouvoir et HOP, ca ouvre la prochaine zone 10m devant. C'est simple, c'est tout droit. Mais ca marche.
Contrairement un Open world, quand tu finis le jeu, tu es content, tu as le sentiment d'avoir fait tous ce que les devs/designers voulaient, tu n'es pas là "rahhh mais oue mais bon, j'ai pas fait toutes mes quetes secondaires zut, je vais pas tout voir du jeu". La musique est géniale, on visite pleins de planètes. Ca fait franchement plaisir de voir des jeux comme ca encore en 2021.
Inscryption
Je suis moins enthousiaste que CPC.
Les premières heures de découverte des mécaniques sont sympas. L'ambiance "Ma cabane au Canada, séquestré au fond des bois..." prend bien. Et puis, au bout de 6, 7 heures, ça retombe un peu. Ce n'est pas si creepy que ça, finalement. Les nouvelles mécaniques n'apportent pas grand chose. J'ai terminé le jeu sans me servir du tout de celles introduites dans la dernière partie.
Je sais pas trop... J'ai joué à bien pire, mais je n'ai pas été emballé.
Tell Me Why terminé.
Mes théories étaient erronées, ce qui créer une bonne surprise pour les révélations finales. Malheureusement, c'est une expérience sans plus pour moi, ce Dontnod. Je n'ai pas su m'attacher au moindre personnage, à part peut-être la fameuse Mary-Ann, ce qui est très paradoxal. Au lieu de ça, j'ai trouvé Alyson et Tyler égocentriques et ingrats, même s'ils ont plus ou moins su se remettre en question au cours du dernier chapitre, ils n'étaient pas agréables pour moi. De ce jeu, je ne retiendrai que cette fabuleuse maison au bord du lac.
Quant à mon choix final :
Spoiler Alert!
Donc globalement déçue, même si l'aventure a ses bons moments.
Pour celles et ceux qui se demanderaient : j'ai adoré le premier Life is Strange.
Quelle horreur !
Devil May Cry V (5)
C'est mon premier DMC, j'ai commencé en mode humain parce que j'avais pas d'expérience sur ce jeu, je suis vite passé en chasseur de démons. Bon ya un peu de challenge mais il suffit d'avoir assez de pierres de résurrection et ça passe crème.
Ce qui est bien c'est qu'on incarne trois personnages, donc avec des compétences différentes, ça fait de la variété, ya bien des personnages féminins mais ils ne sont là que pour la galerie et Nico la badass girly qui faits "des jokes" et qui bricole de armes surpuissantes à base de cornes de démons.
C'est très joli, pas de ralentissement tout s'enchaine nickel, parfois de jolis effets lumineux (du RT peut-être). On sent qu'ils se sont fait plaisir sur les cinématiques trop cools...
Un excellent boulot aussi sur le level design, ya des passages cachés, des trucs sympa à découvrir, ça évite de tracer en ligne droite jusqu'au prochain combat
Bon pour le scénario comme je connais pas la licence pour moi c'est du grand nawak, avec Dante, son frère et toute la petite famille, on parle quand même d'un mec qui à des morceaux de moto à la place des mains. Toute cette clique à l'assaut d'une plante carnivore géante qui pompe le sang des pauvres gens...
Les combats sont sympa mais sans plus, ya que certains boss qui posent probléme, j'ai pas trouvé la touche pour la parade, je suppose qu'il n'y en a pas ou alors j'ai loupé un truc. Les perso sont pas tous équilibrés, Dante semble bien puissant, Nero il faut connaitre et maitriser les nombreux bras mécaniques (et donc de l'entrainement), V ressemble plus à un mage si on privilégie le combat à distance, c'est le moins intéressant à mon goût.
Le probléme c'est qu'on passe souvent d'un perso à l'autre sans avoir le temps de s'habituer et de choisir une combinaison d'armes et compétences (qu'on upgrade selon nos goûts).
Le jeu invite clairement à etre rejoué une partie pour acquérir et apprendre les différentes armes et compétences, une seconde où on choisit de se spécialiser sur ce qui nous convient le mieux.
Mais bon je suis pas sur de vouloir repartir sur un new game en mode "fils de sparda" (il ya de nombreux niveaux de difficultés), même si c'est sympa.
Hutchinson
En montant la difficulté, les ennemis attaquent enfin de temps en temps et gagnent de nouveaux coups. Ils sont mieux répartis aussi (tu passes pas ta vie à affronter les ennemis les plus basiques). Le mode chasseur de démon est un peu chiant. Tu m'aurais dit que tu lançais le jeu, je t'aurais conseillé de refaire et tuer le boss du premier niveau. Ca marche comme dans le premier Ninja Gaiden en te faisant passer dans la difficulté au-dessus.
Pour parer, il faut attaquer en même temps que l'ennemi. Dante peut également parer avec ses mains avec la touche de style (en appuyant jusqu'à 6 frames avant de prendre le coup). C'est plus facile et monte une jauge qui lui permet d'infliger de plus en plus de dommage en réalisant une sorte de contre-attaque.
Pour les persos, tu les as bien cernés. Dante est bien plus fort que les autres, Nero faut être un poulpe et avoir un cerveau d'astrophysicien pour bien le jouer, et V, ils l'ont complètement raté. Donc, au final, presque tout le monde préfère Dante.
On ne se spécialise pas. Tu débloques la possibilité de pouvoir tout équiper en même temps ensuite.
Je te recommande de donner sa chance à Fils de Sparda qui est le mode le plus équilibré, surtout si tu as déjà la quasi-totalité des améliorations de vie/énergie. Mine de rien, avec l'amélioration de ton skil au fil du jeu, tu devrais pouvoir progresser bien plus rapidement que la première fois, et donc rapidement savoir si tu as envie d'aller plus loin ou pas. Au passage, Nero a du débloqué son nouveau bras et son Devil Trigger, avec les techniques qui vont bien avec, donc tu vas le redécouvrir un peu (poulpe correspond bien au personnage).
Un truc possible aussi, c'est avoir le DLC Vergil. Si on peut d'une part critiquer le fait que Vergil n'ait pas sa campagne dédiée, le personnage en lui-même est jouissif à jouer. Tu es le boss, et tu avances comme un rouleau compresseur, sans pitié pour quiconque croise ton chemin
Pas vraiment d'accord avec VDD pour l'astuce de tuer le boss du prologue pour un novice qui ne connaît pas DMC
Au début du jeu, t'es vraiment à poil, pas beaucoup de vie et de techniques, ça pique pas mal de commencer Fils de Sparda dans ces conditions là.
Si tu te sers des consommables, tu baisses quand même bien la difficulté. Ceux qui préfèrent cette approche, je leur conseille toujours de le faire en Sons of Sparda dès le début pour qu'il reste un aspect tactique dans la gestion des ressources. Ca pousse à comprendre le système de combat et ses subtilités. Et beaucoup de joueurs n'aiment pas forcément recommencer leurs jeux.
Après, faut pas le faire si on galère en human ou en devil hunter bien sûr. Ces conseils, faut les adapter à son vécu.
Fini récemment, pris en solde pendant les dernières fêtes.
There is no game! Wrong dimension : très court mais vraiment très amusant. C'est une redite sur "briser le 4e mur" comme Poney Island ou Stanley Parable, mais c'est tellement bien fait et entrainant que ça passe nickel ! C'est juste assez long pour ne pas s'ennuyer. Mes filles (11 ans) ont adoré le faire avec moi.
Unmetal : un bon jeu, mais sortant tout juste du jeu précédent j'ai pas trouvé ça "uber-drôle" : c'est bien rigolo et ça m'a arraché quelques sourires, et c'est très bien fait, mais dans l'ensemble pas pas aussi comique que je l'espérais (trop hypé par la critique de canard PC peut-être). Mais ça reste très sympa.
Death's Door
Je suis pas trop attiré par ce genre de jeu d'habitude, j'ai craqué principalement pour la DA. De ce côté là le jeu est très agréable à l’œil (et à l'oreille), les persos sont attachants et l'aventure se suit sans problèmes.
Niveau gameplay, j'ai trouvé que tout était propre. Les combats demandent du doigté mais rien d'insurmontable, et les boss sont bien réussis. Sans carte les niveaux sont parfois un peu labyrinthiques, mais on s'en sort. Globalement il y a un bon équilibre entre challenge et accessibilité. Mon seul regret est peut-être que j'aurais aimé un peu plus de variété dans le style de combat des NPCs, mais il y en a déjà pas mal. Et certaines tâches sont un peu pénibles pour chopper la fin alternative (trouver tout les pots...), mais avec un guide ça passe. Il sera pas mon jeu indé de l'année dernière, mais il en est pas loin.
Steam : Barraka / Barraka Frite
Fils de Sparda je suis pas sur d'avoir le niveau, si jadis j'aurais enchainé facilement sur ce mode aujourd'hui je suis pas sur d'avoir la patience, c'est que je commence à me faire vieux...
J'ai l'édition spécial de chez pas quoi, comment on débloque Vergil ?
Se spécialiser dans le sens où on choisit les compétences qui nous conviennent le mieux et investit les points nécessaires pour obtenir les améliorations des dites compétences qu'on a pas pu débloquer lors du premier run.
Justement pour moi la gestion des ressources c'est une purge dans le sens où si tu entames un combat, que tu utilises des ressources, et que tu perds ou abandonne; lorsque tu reprends à partir du dernier checkpoint tu n'as plus les ressources que tu as utilisées précédemment.
Je sais pas si je suis clair mais je pense que tu m'as compris. Donc ça incite à poursuivre le combat quitte à gaspiller beaucoup en espérant gagner, ça a un coté pervers, un peu "casino", fort déplaisant.
En tout cas l'illustration donne envie.
Hutchinson
Fini Nobody Saves The World
Nouveau jeu de Drinkbox, les devs de (entre autre) Guacamelee. Ayant adoré les deux Guacamelee, je ne pouvais pas passer à côté de celui-ci.
On retrouve le même type d'humour un peu loufoque, mais par contre on quitte le metroidvania pour un espèce de mélange de HnS, de dungeon crawler et d'action RPG.
Le principe est simple, mais très addictif: on incarne Nobody (Personne si tu es très nul en anglais ), une espèce de coquille vide qui va se retrouver avec une baguette magique lui permettant de changer d'apparence.
Cet objet va nous permettre de débloquer dans un premier temps l'apparence du rat, qui aura ses propres compétences et son propre rang(de F à S).
Les niveaux, communs à tous les personnages, se passent en remplissant plein de petites quêtes, peu importe le personnage. Le rang par contre s'augmente en réalisant des objectifs dédiés à chaque personnage, du genre tuer X ennemis avec cette compétence.
Une fois atteint un rang spécifique, on débloque une ou plusieurs nouvelles transformations, qui donnent donc ensuite accès à de nouvelles compétences, puis à de nouvelles transformations.
Et c'est l'envie de monter le rang de chaque transformations, d'en débloquer de nouvelles et leurs compétences associées qui rendent le jeu si prenant.
D'autant plus qu'en progressant, on aura la possibilité d'affecter les compétences passives et les compétences d'attaque à n'importe quel personnage, hormis l'attaque principale.
Les objectifs de rang supérieurs forcent donc à combiner ces compétences pour faire des synergies qui peuvent se révéler très puissantes (par exemple, si on a une compétence qui enflamme les ennemis, on peut ajouter une passive qui octroie un bonus lors que l'on attaque les ennemis enflammés).
Bien sur, toutes les transformations ne se valent pas, et les donjons proposent des ennemis qui ont un bouclier qu'il faudra casser avec une attaque d'un élément particulier, ce qui permet de forcer le joueur à varier son style de jeu.
Bref, j'ai passé un excellent moment, j'ai fini le jeu en 17h, sans maxer toutes les transformations. Le jeu propose un new game + permettant de conserver les rangs de ses personnages, à voir peut-être plus tard si je le refais.
Alors j'ai pas de PS5 (je présume que c'est ce que tu as vu que tu parles de Special Edition) sous la main pour vérifier, mais pour jouer Vergil; il faut aller au menu principal; ouvrir le menu de sélection de mission; et tout en haut à gauche, au-dessus de la sélection de difficulté; tu as le choix entre les trois personnages de base ou Vergil. (la touche pour switcher est indiquée à côté).Fils de Sparda je suis pas sur d'avoir le niveau, si jadis j'aurais enchainé facilement sur ce mode aujourd'hui je suis pas sur d'avoir la patience, c'est que je commence à me faire vieux...
J'ai l'édition spécial de chez pas quoi, comment on débloque Vergil ?
On est d'accord que les bras de Nero qui repop pas après un passage à la case cimetière, c'est pas une super chose
Ça, c'est un truc qui est aberrant, les démonites sont tellement gratuites à farm que cette monétisation a encore moins de sens que d'habitudeTiens, je ne savais pas ça ! Mais le jeu met clairement en avant la vente d'âmes contre argent réel donc ça ne me surprend pas...
Les seuls trucs intéressants à acheter, c'est le skin de l'arme Cavalière et de Gerbera, à cause de moves spécifiques à ces skins là. Et encore, ça n'a vraiment de sens que si tu t'intéresses à la création de combos.
-Juste au cas où pour la monnaie:
Dante Mission 13,
Faust,
???,
Profit.
Dernière modification par Zaraf ; 29/01/2022 à 16h04.
Steam : Barraka / Barraka Frite
Je suppose que t'as du tracer sans dépenser beaucoup de ressources alors. C'est ça quand on est trop performant.
Blague à part, on pourrait qualifier cela de pay to win. Mais bon c'est Capcom quoi...
Merci je vais regarder. Le plus étonnant c'est qu'ils aient pas mis ça sous forme d'un code DLC, enfin je vais pas m'en plaindre.
En l'occurrence je crois que tu peux écrire saoulé sans "a".
Hutchinson
Final Fantasy 7 Remake
PS5 - 24h - Mode classique facile
C'est beau.
Les animations des personnages sont vraiment travaillées.
Les musiques sont biens.
Les cinématiques avec le moteur ingame est impressionnant.
Et c'est à peu près tout.
Le système de combat est claqué au sol : en voulant adapter le système de combat au tour par tour "old school" à un action RPG, les ennemis volants deviennent des plaies.
Ils sont pas forcément difficiles à battre (c'est pas ce que je cherche d'ailleurs), ils sont justes inutilement frustrant.
Cloud et Tifa sont relativement sympa à jouer mais les 2 autres, c'est ultra rompiche : je me suis fait chié (d'où le fait d'être passé en mode facile assez rapidement)
Au passage, j'ai aimé aucun personnage jouable.
Me faire jouer un terroriste écologique, ça m'embarque pas.
Encore moins quand je me retrouve coincé avec un sidekick ultra lourd et qui gueule tout le temps (en plus d'être un père de substitution indigne), une nana qui a besoin de préciser qu'elle transpire et qu'elle doit prendre des douches toutes les 5 minutes, une fleuriste qui est un personnage centrale de l'histoire mais qui est juste là pour être "la gentille fille".
Cloud, le héros principal, devrait se trimballer avec une boite de doliprane et aller voir un psy, il y aurait peut être moins de séquences de gameplay relou à la MG5 (ie : t'avances à 2 à l'heures en suivant un couloir, dans d'autres jeux, on fait des cinématiques pour ça)
A contrario des personnages principaux, les personnages de wall market sont plutôt cool : mention spéciale pour Leslie, le héros en short que j'aurais voulu incarner et pour Corneo, qui m'a fait un peu pensé à Rufus de street fighter et que j'ai trouvé assez drôle dans son rôle de pitoyable gros pervers.
J'aime beaucoup l'attitude des TURK et il y a quelques méchants "trop d4rk badass" dont j'ai apprécié le design (même si ils n'apparaissent que quelques minutes, genre le mec au pistolet vers la fin).
Le scénario, passé la trame basique de "La shinra c'est les vilains car ils exploitent la planète" est cryptique au possible.
Qu'est-ce qu'ils font exactement pour être les méchants ? On sait pas, c'est les méchants.
Les serpillères sont parfois avec nous, parfois contre nous : ça représente qui, quoi, qu'est-ce qu'elles foutent là, pourquoi elles apparaissent ? C'est pas expliqué.
Il y a des personnages qui ont l'air d'être foutus dans l'histoire alors que, très clairement, ils ont rien à foutre là : il y avait pas assez de couches de méchants alors on vous en rajoute un peu.
Vers la fin, y'a un random pégu soldat qui a le droit à quelques scènes mais on a aucune foutue idée de qui c'est.
Bref, passé la trame principale, y'a RIEN qui est expliquée, pire qu'un dark souls.
J'ai pas du tout aimé le système de progression où les sorts peuvent être passés de personnages en personnages (les matérias) et où t'es limités en fonction des slots disponibles.
Sachant qu'à côté de ça, si j'ai une matéria qui se lie avec une autre matéria (genre les attaques de bases deviennent de feu/glace/vent/foudre) que j'aime bien, j'ai pas eu l'impression de pouvoir en avoir plusieurs.
La progression où on te rajoute / te retire des personnages est aussi supra relou parce que quand on me fait sauter le soigneur du groupe, je dois rebind les matérias pour avoir un nouveau support.
Il y a peut être des raccourcis pour faire des "sets" mais si c'est le cas, je les ai pas trouvés (pas cherchés non plus il faut dire).
En plus du système de sorts, il y a le système de compétences qui s'acquiert avec la maitrise des armes.
Cependant, pour maitriser la compétence, il faut la lancer et pour les lancer, il faut de l'ATB.
Comme l'ATB monte plus vite sur le personnage que je joue et que je jouais que Cloud, autant dire que les maitrises des autres compagnons...
A la fin, Cloud se retrouve avec 10 compétences tandis que les autres en ont 3.
Ce qui, finalement ne changeait pas grand chose parce que je spammais les 4 mêmes compétences (celle pour le choc, celle pour les dégâts à 1 barre, celle pour les dégâts sur plusieurs ennemis et celle pour les dégâts à 2 barres).
Alors peut être que c'est lié au fait que c'est une "PART 1" et que tout est expliqué par la suite.
Peut être que certains personnages ont été insérés à la truelle pour plaire aux fans (et donc que l'explication associée arrive plus tard dans le scénario).
Peut être que je joue pas "comme il faudrait".
Peut être que, peut être que...
Sauf que pour quelqu'un qui n'a jamais fait FF7 donc qui découvre un peu les mécaniques, qui n'a pas envie de trop se prendre la tronche et pour qui c'est le 2eme FF canonique (après le 13), j'ai passé 24h qui m'ont parues 240h.
Je pense d'ailleurs que vers le milieu du jeu, j'ai dû zapper des cinématiques tellement ça me saoulait.
C'était long et vers la fin, c'était une torture tellement je voulais que ça se finisse.
C'est encore un de ces jeux où je me suis fait embarqué parce que tout le monde le met sur un piédestal et où je me suis finalement fait chié de bout en bout.
J'ai vraiment un problème à vouloir absolument terminer ces jeux qui ne me plaisent pas vraiment en me disant que, si je ne les fini pas, je vais peut être louper un truc majeur qui révolutionne la lecture du jeu passé la moitié.
Je ne sais plus quel jeu m'a fait ça et derrière c'était vraiment mon "jeu du moment", celui que je recommandais à tout le monde... mais depuis cette expérience, j'ai vraiment peur de passer d'un autre titre qui me procurerait cette émotion.
FF7 c'est des souvenirs qui remontent à....20 ans, quasi.
Souvenirs d'un jeu intéressant mais truffé de combats répétitifs, chiants, empêchant d'atteindre l'endroit suivant.
D'un jeu obligeant à jouer avec une soluce de 500 pages sur les genoux pour ne pas louper une materia planquée dans un coin.
A l'époque la 3D en elle-même avait un waow effect qui participait de la hype, ça, les chocobos et d'autres trucs inexplicables.
J'avais aimé à l'époque, même si j'ai pas dû faire plus de 20/30h tellement c'était devenu une purge de traverser la map (à cause des combats).
Aujourd'hui, remake ou pas, j'ose pas y toucher, ou alors un genre de pack promo à 15€, dans 5 ans, osef. Les mécaniques de J RPG c'est pas pour tout le monde.
J’ai terminé Windjammers 2. A vrai dire je ne l’ai pas terminé terminé, je n’ai toujours pas réussi le mode arcade en difficile. C’est très court (5 matchs) et pourtant c’est vraiment très dur. Je n’ai pas encore abandonné mais je n’ai pas envie d’y passer 5H non plus. J’ai quand même fini le mode arcade en normal en un crédit (ce qui est beaucoup plus facile) et remporté une vingtaine de matchs en ligne.
Windjammers 2, c’est un jeu vieux comme le monde des jeux vidéo puisque c’est un genre de jeux de tennis arcade qui puise dans le hockey sur table. En gros Pong en un peu plus évolué. Le jeu a clairement été conçu pour les duels sur canapé car tout le gameplay s’appréhende en 5 minutes montre en main.
Si on n’a pas d’amis, il y a un mode arcade Vs CPU et on peut jouer en ligne ; mais bon, sans l’ambiance canapé, pour moi, on tourne vite en rond. Ils n’ont pas fait l’effort d’introduire un mode carrière, c’est dommage. Le contenu est vraiment très chiche pour un jeu de sport aussi simple. Le roster est également peu fourni, manque de diversité (2 persos féminins sur 11, et elles ont le même gabarit, une seule personne de couleur qui, en plus, est caricaturée de façon raciste sur la carte du mode arcade) et l’équilibrage est à retravailler (certaines super sont vraiment nulles). L’équilibrage global est à retravailler (il faut rendre les lobs et les smashs plus rapides).
Autre déception, on ne peut pas enregistrer ses matchs alors que le jeu est totalement déterministe. C’est le genre d’oubli que je ne pige pas.
J’aurais aussi aimé pouvoir consulter plus en détails mes statistiques et que les 2 mini jeux du mode arcade ne soient pas dans le mode arcade (c’est chiant de les refaire) mais développés à côté.
Après le cœur du jeu est addictif. Graphiquement, c’est coloré, inspiré, propre. Le fond du gameplay est très nerveux, très arcade, on est tout de suite dedans. Il offre d'excellentes sensations. C’est vraiment du hockey sur table en mieux. Je n’ai pas joué au 1er mais, à priori, le but était d’y être le plus fidèle possible. Bref un titre dont la valeur dépend du nombre d’amis joueurs susceptibles de squatter votre espace de jeu.
S’il vous fait de l’œil juste pour le mode arcade, attendez une promo.
C'est exactement ça. Le jeu n'est pas conçu pour ceux qui étaient passés à côté de FF7, il est conçu pour ceux qui ont joué à FF7 quand ils avaient 13 ans et en sont ressortis sexuellement chamboulés.
Et ben ! Maintenant tu dois être un fervent avocat de la licence !
Undertale
Chamboulé oui, sexuellement non.C'est exactement ça. Le jeu n'est pas conçu pour ceux qui étaient passés à côté de FF7, il est conçu pour ceux qui ont joué à FF7 quand ils avaient 13 ans et en sont ressortis sexuellement chamboulés.
C'est peut-être pour ça que j'ai un avis très mitigé sur le remake, j'ai pas perçu le chamboulement sexuel.
Je dirais que t'es un peu passé à côté du jeu pour la partie gameplay. Y'a quand même des mécaniques plutôt cool en ce qui concerne les combats.Final Fantasy 7 Remake
PS5 - 24h - Mode classique facile
Pour le scénario, le problème étant que le jeu joue à fond la carte de la nostalgie, tout en proposant du neuf ce qui n'en fait pas totalement un remake non plus (et c'est bon point). C'est clairement adressé aux fans, sans quoi tu passes forcément à côté de pas mal de références même essentielles pour le scénario.
Là où je trouve que le jeu se plante lamentablement c'est :
-La partie technique et certaines de ses textures d'un autre âge (mais c'est sans doute plus le cas sur les versions PS5/PC).
-Certaines ajouts (genre Roche qui sert à rien).
-La partie exploration est une catastrophe. Le level design a facilement 10 ans de retard.
-Les quêtes secondaires sont anecdotique alors le lore FF7 est super sympa.
Perso je pense que j'aurai certainement pas aimé ce FF7R si il n'y avait pas eu la nostalgie derrière.. Et même là je ne sais même pas encore si j'ai envie de faire la suite ou pas.
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GT / PSN / Steam : akaraziel
Je dirais qu'il est aussi passé à côté du scénario quand je lis son commentaire...
Ok, le jeu joue la carte de la nostalgie, mais tout y est expliqué (sauf Zack qui est, je suppose, le "random pégu soldat" dont il parle, qu'un mec qui ne connaît pas FFVII ne pourra pas vraiment identifier). Les "serpillières", que je suppose être les fillers, le jeu te dit quand même littéralement, au cours de cinématiques, que ce sont
Spoiler Alert!
Les joueurs qui ont fait le FFVII original auront évidemment vite compris ce qu'ils sont, ou en tout cas leur rôle dans l'histoire. Les gens qui découvrent FFVII pour la première fois, probablement pas. Mais Leur implication est vraiment expliquée texto. Ce qui donne le discours un peu méta qui a été souligné par de nombreux journalistes qui ont parlé du jeu :
Spoiler Alert!
Mais bon, pour comprendre une histoire dans un jrpg, il ne faut pas passer les cinématiques. Les heures de discussions entre les personnages, c'est un peu une des caractéristiques première des jrpg. Si on n'aime pas ça, autant ne pas s'essayer au genre.
Et oui, le gameplay, forcément, si on se limite à un seul personnage sans jamais switcher durant les combats, on passe à côté et on galère contre certains ennemis.
Bref, le jeu a ses défauts, on ne peut pas le nier, mais y a un moment où il faut reconnaître que le jeu n'est pas pour soi. Si on s'emmerde au point de passer des dialogues et de ne pas aimer le système de combat, à quoi bon s'acharner. En plus, le terminer en 24h... Faut sacrément rusher quand même
Je t'avoue que je ne me rappelais plus si la présence des "serpillères" étaient bien expliquée ou pas.
Pour ton deuxième spoiler, c'est LE point qui me fait penser que les suites pourraient être intéressantes, j'ai envie de voir jusqu'ou ils vont pousser le scénario.
Clairement. Le jeu est pensé comme ça, même si je déplore aussi une IA quasi nulle quand elle contrôle les équipiers.Et oui, le gameplay, forcément, si on se limite à un seul personnage sans jamais switcher durant les combats, on passe à côté et on galère contre certains ennemis.
C'est clairement rushé. Même en ayant été déçu, j'ai quasiment fait le double d'heures (44 pour être un peu plus précis) parce qu'il y quand même pas mal de trucs à voir.Bref, le jeu a ses défauts, on ne peut pas le nier, mais y a un moment où il faut reconnaître que le jeu n'est pas pour soi. Si on s'emmerde au point de passer des dialogues et de ne pas aimer le système de combat, à quoi bon s'acharner. En plus, le terminer en 24h... Faut sacrément rusher quand même
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