Ah ok, merci !
Metal Gear Rising : Revengeance
J'ai essayé de le faire plusieurs fois et j'avais pas eu le courage passé la 3eme mission. Ce coup-ci ça a été la bonne et le jeu a le bon de ne durer que 5h30 avec un boss final qui m'a bien pris 1h30 vu comment il a été reloud.
Au moins, j'ai compris un trucs, les BTA, c'est pas pour moi.
Je pourrais pas dire, j'ai baissé au maximum les "musiques" de ce jeu pendant la partie.
Vu que t'as joué à Rising sans la musique je serais tenté de dire que c'est pas que les BTA qui ne sont pas pour toi, mais la vie.
Le week-end dernier, j'ai terminé Drainus, un shmup en yoko tout récemment sorti sur Steam et développé par Team Ladybug, qui jusqu’à présent n’avait produit que des metroidvania (par exemple, Record of Lodoss War-Deedlit in Wonder Labyrinth). Tout le monde semble aimer Drainus. Le jeu est d’une qualité bluffante. Il est vraiment beau, j’adore le style graphique. Le prix auquel il est vendu, c’est du vol (pour ses créateurs).
Il y a beaucoup de soin apporté à la narration environnementale, comme dans RayForce ou dans Blazing Star. C’est particulièrement bien fait parce que ça n’empiète pas sur le rythme. Toutes les transitions sont super fluides. Il y a aussi quelques dialogues et une histoire derrière mais, de ce côté, c’est aussi nul que, heureusement, anecdotique.
Côté gameplay, le jeu repose sur une mécanique d’absorption des projectiles blancs pour charger une arme secondaire, concept entre Giga Wing et Ikaruga. C’est un principe que j’aime et qui fonctionne très bien. Une jauge de garde se vide en permanence lorsqu'on s'en sert et se reremplit automatiquement assez vite quand on arrête. Absorber les tirs stoppent également l'utilisation de toutes nos armes, cependant et une fois qu'on a emmagasiné le maximum d'énergie possible (une limite atteinte bien plus vite qu'on ne vide la jauge de garde), quelques iframes permettent de relâcher le drain le temps de vider cette fameuse arme secondaire. Le ratio risque/récompense est excellent car plus on absorbe, plus on enchaine ces tirs qui font très mal, mais plus on risque de se retrouver avec sa jauge de garde complètement vide et obligé d'esquiver tout ce qui nous arrivent sur la tronche (ce qui n'est pas toujours possible).
Hormis cette très bonne mécanique, notre vaisseau est assez personnalisable avec des armes primaires et des passifs à acheter et équiper sur nos slots. Il y a donc un petit côté RPG avec un vaisseau qui devient de plus en plus balèse. Ca fonctionne là aussi très bien. C’est beaucoup plus épuré que dans un Jets’n’Guns, ce qui a ses bons côtés (ça prend moins de temps, c'est mieux équilibré), et ses mauvais (la partie theorycraft est forcément bien moins riche). Malgré cette surcouche, Drainus parvient à conserver une philosophie arcade plutôt que hack'n'slash.
Côté difficulté, on est sur un shmup excessivement généreux avec les ressources qu’il offre. Les vies et bombes s'accumulent à une vitesse folle. Quand on se fait toucher, on perd seulement son dernier slot d’équipement (on en a 5 + un bouclier qui peut annuler quelques bévues supplémentaires) à la Axelay, sauf en très difficile (mode appelé ridiculous) où là on explose (à moins que le bouclier soit actif et applicable). Sachant que derrière, on ramasse constamment ces items qui vous ractivent un slot. On peut littéralement traverser un stage en se faisant toucher 20 fois et sans pour autant perdre une seule des 13 vies amassées jusque-là ! En fait le jeu est très facile, que ce soit en normal ou en difficile. Un peu plus compliqué en ridiculous (sans rejoindre les standards du genre).
En revanche, il a une approche old school que je déteste. Quand votre vaisseau a tous ses slots, vous êtes surpuissant. Vos armes font tout le boulot, votre bouclier compense vos maladresses. Maintenant si, par mégarde, vous perdez vos slots, le jeu devient beaucoup plus dur. Je vous donne un exemple. J’ai fait ma première partie en mode histoire en normal. Ensuite je me suis lancé dans le mode arcade (extended). J’arrive au 3eme stage de la 2eme loop (le jeu se fait en 2 loop d'environ 50 minutes chacune) et là, je fais du caca et je perds ma première vie. C'était un truc tout bête : des ennemis qui sortent de terre, j'étais juste au-dessus, j'ai perdu tous mes slots avant même que je comprenne pourquoi je me faisais toucher. Bon pas grave, j'en avais plus d'une dizaine des vies. Et ben, à cet endroit du jeu, impossible de me refaire. Comme j'avais plus de slots, chaque impact me tuait. Comme j'avais plus de puissance de feu, chaque écran devenait un enfer. Toutes les vies que j'avais accumulées jusqu'alors sont partis en fumée. L'effet boule de neige est énorme.
Et du coup, je trouve que le jeu a une difficulté mal équilibrée. Je n'ai eu aucun mal à le 1CC la partie suivante. J’ai aussi parcouru le mode histoire en ridiculous où, globalement c’était soit j’allais du début à la fin du stage sans perdre une vie. Soit j’en perdais une seule à un moment donné et là je savais que je pouvais recommencer. Si ce n'est à la fin du stage, face au boss, où tu peux toujours spammer tes bombes histoire de le valider.
Autre reproche, le mode arcade ne propose pas de jouer dans la dernière difficulté. Bon à la limite, vu comment ce n’est pas fun de se retrouver d’un coup sans slot, ok. Mais le 1CC en difficile ou en extended est très vite trivial. En ce qui concerne le scoring, il n’y a pas de classement, pas de replay.
Pour résumer, j’aurais aimé : des difficultés qui rajoutent surtout des patterns plus denses et plus rapides, et que l’on puisse immédiatement récupérer une partie de ses slots lorsqu’on respawn (au moins 2).
Autre reproche plus anecdotique, certains ennemis sont des sacs à PV, même en jouant hyper agressif. Le jeu manque de nervosité.
Drainus reste très plaisant malgré ça. C'est un jeu qui privilégie la mise en scène, l'esthétique et les sensations. C'est juste vraiment dommage qu'il ne donne pas envie d'être rejoué plus que ça. Pas une grande œuvre, mais un bon petit jeu.
J'ai fini le premier Bioshock. J'avais tenté quelques fois mais j'avais le mal de mer au bout de deux heures, là c'est passé crème. J'avais déjà fini Infinite donc je savais que j'étais là pour l'ambiance plus qu'autre chose.
Je suis mitigé dessus.
Déjà le setting, Rapture est génial, les big daddy little sisters et libertariens fous; 12h dedans t'es content. Le reste, pffff. L'histoire que ca raconte avec le protagoniste tombe vraiment à côté (le twist et les fins ), d'ailleurs il s'est passé quoi l'acteur de Jack a eu un accident après la première session d'enregistrement? Le gameplay est pas incroyable, les pouvoirs sont pas particulièrement funs (il y a des ennemis qui ont le pouvoir de se téléporter je veux pouvoir faire ça moi aussi ) et switcher entre eux les guns est pas très fluide. A force de fouiller les poubelles pour le loot ca fini par casser l'émerveillement. Les améliorations via l'appareil photo c'est rapidement lourd. Le level design est soigné au début, puis plus on avance plus c'est fait à l'arrache, et l'exploration et l'ambiance en pâtissent.
Et les 'commentaires du réalisateur', calme toi Ken.
Au final les deux heures que j'avais faites il y a plus de 10 ans c'était le meilleur du jeu, la reste rajoute pas grand chose. Dommage, ca partait bien pourtant, ça pourrait être un bon film (ah mince c'est Netflix qui s'en occupe, j'ai rien dit).
Il m'est tombé des mains 3 fois Bioshock. Une fois lors de la sortie, une fois quand j'ai essayé le remaster, une fois quand j'ai réessayé le remaster avec l'évent du backlog.
Ça marche pas. L'univers est chouette, mais le gameplay est mou, les armes ont pas de feeling... En même temps un coup j'y avais joué après Rage 2. Le contraste !
Bioshock offre pas mal de possibilités pour les affrontements et créer des pièges en tout genre. Pour les big daddies je préparais des chemins complets de pièges sur de multiples pièces avec de nombreuses actions de planifiées à l'avance pour le plomber sans trop canarder.
Il doit accuser de son âge maintenant avec son feeling portage console et son level design limité, d'autant plus que Prey est passé depuis, mais je l'avais beaucoup aimé à sa sortie et enchainé plusieurs run à la chaîne.
This.Il doit accuser de son âge maintenant avec son feeling portage console et son level design limité, d'autant plus que Prey est passé depuis, mais je l'avais beaucoup aimé à sa sortie et enchainé plusieurs run à la chaîne.
Il ne faut pas oublier que ça reste un jeu de 2007 (avec ce que ça implique sur la narration, la mise en scène, le gameplay), qu'entre temps on a eu pas mal de FPS / Immersive Sim plus aboutis (Prey oui, mais aussi Dishonored) et que déjà à l'époque son gameplay n'était justement pas son point fort.
D'ailleurs c'est simple, si tu joue à System Shock 2 aujourd'hui, c'est Bioshock dans l'espace. C'est sans doute ce pourquoi le jeu paraît vieillot sur cet aspect.
Malgré tout, c'était un jeu à l'ambiance et à la DA exceptionnelle. Comme Erkin je l'avais retourné dans tous les sens (c'est d'ailleurs un des rares où j'avais les 1000G sur X360), mais je suis pas sûr d'avoir véritablement envie d'y rejouer aujourd'hui. J'ai peur que ça ternisse un peu le souvenir que j'en ai et j'ai tendance à penser que les bons jeux qui vieillissent bien ne sont pas si nombreux.
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GT / PSN / Steam : akaraziel
The Surge 2.
C'était (très) bien, je pense mieux que le 1 que j'avais déjà apprécié, ne serait ce que par la ville dans laquelle on évolue.
Dommage par contre qu'ils n'aient toujours pas réussi à proposer le monde en 1 seul gros bloc plutôt qu'en zone reliées entre elles par des chargements.
Fini en + de 30h (et 200 décès... mais le jeu n'est pas compliqué au delà d'1 boss ou 2, comme d'hab faut être prudent).
Un peu moins récemment Supraland.
L'univers est bien cool, les références sont innombrables, les combats sont nuls, et les puzzles sont parfois très coriaces et bien plus nombreux que ce que à quoi je m'attendais. J'ai miséré à quelques moments pour comprendre la logique du jeu.
C'était bien mais il m'a épuisé sur la fin.
Et aussi It takes two.
Je ne m'attendais pas à ce niveau de qualité. Sans être incroyable, c'est sans doute une des meilleures expériences sur ce genre de jeu en binone.
C'est très bien réalisé, très dynamiques, le gameplay en binome fonctionne bien, et le jeu ne tire pas trop en longueur et réussi à être parfois drôle malgré une histoire gentillette.
Le studio a sûrement eu bien plus de moyen qu'avec le fort mal fini The way out, et su se concentrer sur ses points forts.
Dernière modification par PaulPoy ; 01/07/2022 à 14h46.
Pas fait le NG+ ni le DLC. J'avais fait celui du parc d'attraction du 1, mais là les 30 heures m'ont suffit.
On va dire que je pense au moins avoir préféré le level design de la ville du 2, un côté un peu plus "dark souls", avec des points de vue plus lointains des zones qu'on atteindra plus tard.
Le style de jeu par contre (ennemis qui attendent, respawn à chaque checkpoint, etc) est peut être plus cohérent dans le 1. Les ennemis sont des sortes de zombies qui ne comprennent pas trop ce qui leur arrive, c'est beaucoup moins le cas dans le 2.
Mais ça fait un moment que j'ai fait le 1, il faudrait le relancer pour vraiment comparer, je l'avais parcouru avec beaucoup de plaisir aussi. Les 2 jeux me semble assez proches tout de même.
Et gros clin d'oeil au 1er dans le 2 sur un des perso secondaires.
Dans les points faibles j'ajouterai un manque d'originalité sur les ennemis. C'est souvent les mêmes avec des armures + ou - grosses, à quelques exceptions près. Les + originaux sont aussi sans doute les adversaires les + dangereux d'ailleurs (car notamment moins prévisibles). Les univers de fantasy sont sûrement propices à plus d'excentricité.
J'ai trouvé étrange aussi le choix d'avoir autorisé à mettre de côté les points d'xp quand on se trouve dans les stations de soin.
Je pensais qu'on ne pouvait les utiliser que pour l'équipement pas pour gagner des niveaux, sauf qu'en fait c'est possible. Du coup aucun intérêt j'ai eu l'impression à ne pas tout stocker dès qu'on retourne dans une station. Ça casse un peu la tension.
Pareil je préfère le 1er, le 2 même si il est bien il devient plus classique, avec ses gangs punko-fluos, ses agents de sécurité, ses armures qui ne sont plus des combinaisons de travail et ses armes qui ne sont plus des outils de travail... Et j'aime beaucoup l'unité de lieu du 1.
Si tu parles de the Stranger, c'est plus qu'un clin d’œil quand même, c'est simplement le perso principal du 1er.
Ce message ne reflète que l'avis subjectif de son auteur, tout avis général péremptoire indiqué en son corps devra être compris avec la mention "je trouve/pense que" ou "à mon avis" en introduction dudit avis, même si non mentionné clairement.
Fini Let Them Come, le jeu est très court, faut compter 2 bonnes heures pour en venir à bout.
Mais c'est pas bien grave, car en mode Véteran, le jeu devient un putain de défouloir qui fait trop bien le taff
On explose de l'alien non stop avec du bon son dans les oreilles, que demander de plus!
Me reste pas mal d’équipement que je n'ai toujours pas testé, je pense le relancer encore un peu!
GhostWire Tokyo
Le dernier jeu des développeurs d'Evil Within, qui mettent de côté l'horreur pure tout en conservant une ambiance horrifique très réussie.
Le jeu repose énormément sur le folklore japonais, notamment sur les yokai, ces entités spirituelles entre le fantôme et le démon.
Arpenter la ville de Tokyo, complètement vidée de ses habitants, au milieu des esprits, des apparitions et des objets qui lévitent est extrêmement plaisant, d'autant plus lorsque l'on débloque le pouvoir pour se projeter en haut des buildings.
Malheureusement, l'originalité de l'univers jure complètement avec le classicisme de son mon ouvert. On y retrouve presque toute la recette d'un jeu à la Assassin's Creed: des collectibles à foison, des tours pour révéler la carte (ici sous forme de Tori), des mini évènements et des quêtes secondaires; ainsi qu'un bestiaire restreint. Heureusement, la carte n'est pas aussi immense.
Certaines quêtes secondaires, délivrées par des esprits bloqués dans notre monde, sont plutôt sympas, jamais très longues mais quelque fois drôle ou un peu angoissante.
Passé une vingtaine d'heures à effectuer toutes les quêtes secondaires et suivre le scénario, je n'ai pas eu l'envie de trouver tous les objets, tous les tanuki ou toutes les statues et encore moins récolter les 250 000 âmes disséminés un peu de partout. J'ai terminé la quête principale, qui s'expédie finalement très vite et qui propose un fin assez convenue et décevante...
Le système de combat, à base de pouvoir à charger à la première personne est dynamique et plutôt agréable mais tourne vite en rond, d'autant plus que les ennemis sont peu variés (bien que la plupart très stylés).
Bref, un jeu à l'ambiance vraiment excellente pour ceux qui ont un attrait pour le Japon, au gameplay agréable mais entaché par des mécaniques répétitives, un open world petit mais surchargés de collectibles et un déroulement bien trop convenu par rapport à l'originalité de l'univers proposé.
Fini Celeste et j'irais pas chercher trop la masse de contenu annexe. C'était une expérience intéressante, le jeu est très bon et son propos est fort. Mais je le redis, j'ai vomis du sang a le finir. Je termine en 9h avec environ 90 fraises, et avec 2500 morts. Je suis morts plus de 100 fois sur certains passages, et je n'ai pas envie de souffrir plus, je préfère garder ce bon souvenir.
Fini The Dark Side Detective, un petit point and click qui nous mets dans la peau d'un détective du paranormal. J'aime beaucoup le format du jeu, avec plusieurs petites enquêtes qui se terminent en environ 1h, c'est pratique pour jouer sur de petites sessions. Le jeu est bon, le ton est très léger et y'a quelques bonnes blagues.
Fini Metroid Dread, je vais pas revenir sur ce que j'ai dis plusieurs fois dessus; le jeu est très bon, mais pas du niveau d'un Super Metroid.
Dernière modification par nefrem ; 04/07/2022 à 13h39.
Ahahah, on t'avait prévenu.
-Les Forces des Ténèbres
Tu oublies Ori and the Blind Forest et Ori and the will of the wisps
Ahahah, on t'avait prévenu.
-Les Forces des Ténèbres
Un bien meilleur jeu que Super Metroid qui est sorti juste un an avant sur le même support s'appelle Mega Man X. Tu choisis encore plus l'ordre dans lequel tu effectues ta progression et c'est plus clair car le choix se fait depuis un menu. Le level design est bien meilleur, on ne se paume jamais, il n'y a pas de backtracking (une fois le boss vaincu, tu reviens à la sélection des niveaux). Tu débloques encore plus d'upgrades et les armes sont plus variées. Les wall jump sont mieux fichus, les mouvements sont plus fluides, précis et nerveux, il n'y a pas tout ce lag sur le saut qui donne l'impression d'être sur une autre planète. Le jeu est moins sombre pour rien, moins topographique de ses intestins, plus varié dans ses décors, plus varié dans ses défis, le challenge est plus intéressant et les boss sont une réussite.
En plus, Super Metroid est clairement une copie bas de gamme de Mega Man X puisque dans Mega Man X, on affronte des Reploids, et dans Super Metroid, on affronte des Metroids, comme de par hasard (ça m'étonnerait que ça ait un quelconque rapport avec Metroid 1er du nom).
Nintendo, ce sont des bons gars mais, malheureusement, ils auront toujours avancé dans l'ombre de Capcom. Je pense que sans cette concurrence, ils auraient vraiment pu percer dans le jeu vidéo.
Le message du sieur Kriegor est suffisamment tendancieux pour entrainer la confusion, effectivement. Perso je ne prendrais pas tout ce qu'il raconte au sérieux, surtout si ça ne parle pas de jeux à belt scrolling où on peut cancel le dash tout en hyper jump à rebours de l'hypertiming, en tenant compte bien sûr de la granularité du threading impact reverse.
Je suis d'accord. Trop léger en contenu/exploration à mon goût. C'est un super jeu mais pas excellent.Je n'ai joué qu'au premier, et non, pour moi ce n'est pas aussi bien que Super Metroid.
De toutes façons ça me paraît plus logique qu'un jeu soit comparé à d'autres du même genre. Je trouve que la comparaison avec Megaman X n'a pas lieu d'être (aussi bon soit-il dans son genre).Certes, mais le mot n'a pas été écrit une seule fois.
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