Perso j'ai pas du tout aimé Gris. J'ai trouvé ça trop gnangnan, trop lent, sans intérêt. Heureusement que c'est super court.
Perso j'ai pas du tout aimé Gris. J'ai trouvé ça trop gnangnan, trop lent, sans intérêt. Heureusement que c'est super court.
C'est super court, c'est super basique et même si c'est clairement pas le jeu du siècle, c'est un jeu à faire un dimanche après-midi morose ou lors d'une soirée tranquille.
En ce moment, j'enchaîne Hollow Knight, un jeu où faut fouiller partout pendant des heures pour avancer de 3m (j'aime officiellement pas les metroidvania), et un Céleste où ça parle pas beaucoup mais pour ne rien dire quand même et où certains sauts sont au poil de cul.
Là, avec GRIS, j'ai un jeu où je ne peux pas me tromper de direction (c'est à peu près tout droit, tout le temps), où je ne peux pas perdre (impossible de mourir dans le jeu) et où les phases de plateformes sont à la fois peu punitives et les sauts très permissifs.
C'est pas forcément à mettre entre toutes les mains parce que ça fait parti de ces jeux à la fois "feel good" et un tantinet dépressif (contrairement à Hellblade qui est juste dépressif).
Comme le jeu ne dure que 3h, même si c'est pas votre came, vous n'aurez perdu que 3h de temps.
Ys I Chronicles+ : Ancient Ys - Vanished Omen.
Première fois que je mets les mains sur un épisode d'Ys, en l'occurence le premier épisode de la version de 2009 (Ys I & II Chronicles+ qui contient les 2 premiers épisodes), elle-même remaster de la version de 2001 "Ys I & II Complete" qui regroupe les versions de 1998 (Ys Eternal et Ys II Eternal), elles-mêmes remakes de la version de 1989 (Ys: Book I & II, qui contient les versions enhanced des originaux de 1987 et 1988).
J'ai été agréablement surpris par la nervosité du gameplay de ce 'J-RPG', qui n'a de RPG que le nom : à part acheter/gagner un meilleur équipement et sélectionner les objets actifs selon la situation, la seule notion de RPG c'est l'expérience et le gain de niveau. Niveaux qui ne donnent qu'une amélioration de la santé de notre personnage, Adol Christin.
Le jeu se présente comme un Zelda-Like, à la différence qu'il n'y a pas de bouton pour frapper : Adol attaque dès qu'on l'envoie au contact d'un ennemi, la difficulté étant d'essayer d'attaquer de biais, de côté ou à revers, une attaque frontale infligeant des dégât à notre héros, dégâts qui peuvent être assez conséquents face à des adversaires plus forts que lui.
Graphiquement, le jeu est plutôt mignon, à condition de laisser l'interface autour de la fenêtre principale du jeu. En plein écran ça pique les yeux.
De même les cinématiques n'ont pas été améliorées et on voit bien les artefacts de compression de la fin des 90s.
L'histoire est prenante, mais un peu courte... il m'a fallu une bonne dizaine d'heures pour arriver au bout, même si certains passages font s'arracher les cheveux (j'avoue que j'ai pas eu la patience de dessiner des plans pour les 2-3 niveaux avec des miroirs qui servent de téléporteurs... j'ai regardé la soluce.
Un point fort : la musique. L'OST de Ys est reconnue depuis l'époque des versions MSX, Master System et PC-Engine. Ici vous pourrez choisir à tout moment dans les options entre la version PC-88 d'origine (très soundchip), la version 'Ys I&II Complete' de 2001 (très 'MIDI' ) et la version 'Chronicles' (la plus réaliste au niveau des instruments).
Bon c'est pas tout ça, mais cette petite mise en bouche de quelques heures m'a donné envie de lancer la suite. En espérant que ça dure un peu plus longtemps cette fois.
Dernière modification par barbarian_bros ; 01/02/2021 à 14h29.
J'ai terminé la campagne de Battlefront 2.
C'est du porn pour fan de Star Wars. A part ça le scénario est hyper prévisible, les ennemis viennent directement se suicider donc c'est plutôt facile, artistiquement ça a vraiment de la gueule.
Pour un non fan, je ne pense pas que ce soit très intéressant.
Ça fait peur du coup
Jeux du moment : TEKKEN 8
Moi j'aurais bien aimé une option pour enlever les couleurs, pour un jeu qui s'appelle Gris ça m'a un peu agressé les yeux
Et encore, tu as 50 nuances de gris.
Fini The Medium.
Bonne ambiance, bel univers graphique, bonne musique.
Malheureusement servi par un "game design" de chiasse où l'ont se contente de rester appuyer sur le bouton "courir" tellement c'est mou du cul et par des phases de jeu inintéressantes accompagné d'un personnage principal qui a le charisme d'une huitre.
Dommage.
Superliminal
Excellent jeu de puzzle à la première personne, qui joue entre autres sur les perspectives pour "troller" le joueur.
Un peu dommage qu'il reprenne l'aspect expérience qui a mal tourné, et dans une moindre mesure la narration de Portal, sans y apporter grand chose.
C'est également très court (moins de 3 heures), mais à petit prix c'est tout à fait recommandable !
Non mais oui. Simplement je place Abby un poil au-dessus de Lev. Et avec Dina
Après je trouve le tour de force de ND assez impressionnant concernant ce perso qu'on déteste clairement au début mais auquel on finit par s'attacher. Au point qu'à choisir une seule survivante entre Abby et Ellie à la fin du récit, j'aurais opté pour la première.
- - - Mise à jour - - -
Bah faut dire que les spoils gâchent pas mal un scénario/narration réellement adulte (et pas "adulte vu par un ado") et plus subtil que la moyenne.
Ce serait dommage.
Du coup ceux qui ont terminé le jeu perdent 0.25 seconde à afficher le texte, ceux qui s'en tapent zappent, et ceux qui ne l'ont pas encore fait ne perdent rien. C'est tout bénéf'.
Nan mais je précise : ce qui me fait marrer dans ce cas précis c'est que les discussions autour de ce jeu arrivent toujours à ce point "olalala, quel personnage humain, quel chef d’œuvre !"
Pendant tout le jeu, chez le joueur : glissade cocktail molotov go brrrrrr
Retour dix ans en arrière à la sortie de Spec Prout.
T'obliger à commettres des exactions/être une enflure pour ensuite te faire culpapiliser, c'est un peu bidon comme concept je trouve. Ça l'était dans Spec Truc, ça l'est sûrement aussi dans The Lost of Us 2. Au moins faites que ce soit une décision du joueur, comme dans This War of Mine ou Papers, Please (mais évidemment pour ça il faut que le jeu soit suffisament difficile et exigeant pour que le joueur soit poussé à la faute contre son gré, ce qui n'est pas possible dans un AAA qui doit être finissable en easy les doigts dans le cul).
@Dicsaw Tu parles de la dissonance ludo-narrative () commune à la plupart des jeux consistant à honnir les "méchants" tueurs tout en étant un boucher pire que les personnages en face (coucou Uncharted 4).
Dans Tloutlou, c'est tout de même globalement pris en compte par le scénario, d'où le fait que ça fonctionne mieux.
Tu vas certes enchaîner "glissade, boum boum, molotov" comme tu dis mais personne dans le jeu ne va te considérer comme un gentil ou un bon samaritain, et les scénaristes ne jouent pas non plus cette carte-là. On est plus dans l'antihéros à la Breaking Bad qu'autre chose. Ça fait une sacrée différence.
Quant aux personnages "trop humains sisi" cités par Bobbin, ils sont plutôt très sages, vu le contexte, niveau exactions.
L'idée mériterait d’être creusée (et elle l'a déjà été dans pas mal de jeux au final), mais pas qu'au travers d'une narration dissociée du gameplay. Parce que d'un coté les scénaristes veulent dire des choses, de l'autre c'est un tps fluide dans lequel tu peux jouer John Wick.
Il y a pleins de petits ajouts par rapport au 1 pour en faire un tps super cool... mais c'est un peu le soucis.
Il y a cette vidéo qui en parle (CA ZPOIL !) un petit peu :
Au final j'attends la sortie du multijoueur pour m'amuser dessus. C'est cocasse.
Ben la ou ça commence vraiment à me déranger c'est quand les jeux insistent sur ces points tout en te donnant tout un éventail de possibilités rigolotes pour tuer tes ennemis.
Ça a toujours été un détail marrant de réfléchir deux secondes au personnage et aux motivations de Drake dans les trois premiers Uncharted, ça a vraiment commencer à m'agacer dans le 4 quand ND tentait de faire un scénario "mature" qui se penchait sur le "problème" (en intégrant un magnifique trophée "dissonance ludo-narrative", superbe), leur solution ? Le mentionner dans un dialogue à la fin. Génial ! Ensuite ils font dix fois pires avec The Lost Legacy.
Les personnages moralement gris je veux bien mais c'est pas l'excuse magique pour justifier les capacités de super soldat des deux personnages.
Mais faut comprendre, sans ça le jeu ne se vendrait pas bien.
Voila c'était le débat pas du tout réchauffé du jour, pardon.
Depuis que les mots dissonance ludo-narrative sont à la mode, moi j'ai surtout peur qu'on rende les jeux chiants.
Jeux du moment : TEKKEN 8