C'est par curiosité. De la même façon que s'il y avait un code triche genre ressources infinies je l'aurais utilisé pour voir moi même.
En fait je ne serai pas chez moi quelques jours avec pas grand chose à faire, je vais d'abord y rejouer.
C'est par curiosité. De la même façon que s'il y avait un code triche genre ressources infinies je l'aurais utilisé pour voir moi même.
En fait je ne serai pas chez moi quelques jours avec pas grand chose à faire, je vais d'abord y rejouer.
Dernière modification par Yog-Sothoth ; 23/06/2021 à 11h06.
Bon, comme d'autres juste au-dessus j'ai terminé à mon tour Control, et même si ça reste un jeu sympathique, je trouve que c'est le moins réussi de Remedy, si on excepte American Nigtmare (qui est un cas un peu à part).
J'ai trouvé le scénario inutilement alambiqué, un peu comme un film de Lynch (réalisateur que j'aime pas trop), avec toujours cette horreur de collection de logs. Arrivé à la moitié je n'avais plus envie de les lire.
Les phases d'action sont moins réussis que celle de Quantum Break (mon précédent, offert par un canard généreux), l'IA est très conne, attend patiemment qu'on lui colle des headshots, et la seule chose qui modifie sa dangerosité c'est quand elle spawne en nombre ou avec des sacs à PV.
L'ambiance est sympa, mais rien de révolutionnaire, l'Ancienne maison a du cachet, certes, mais rien ne m'a vraiment paru sortir du cadre hormis peut-être le fameux labyrinthe cendrier.
Bilan : un "petit" jeu sympa mais pas mémorable. S'il ne m'avait pas été offert par l'EGS, j'aurais sûrement été plus déçu.
Pour moi le chef-d'œuvre de Remedy reste (pour le moment) Max Payne 2, avec Alan Wake en deuxième et Max Payne 1 en dernière place du podium. Mention honorable pour QB.
Je viens de terminer Shuyan Saga que m'a offert Hilikkus via cpcgifts. Il s'agit d'un graphics novel avec des phases de combat en 3D (qui peuvent être passées si on veut). J'ai trouvé le gameplay des combats un peu approximatif (à la souris), mais finalement, une fois qu'on a compris, c'est plutôt facile. L'histoire est intéressante et un bon rythme, on ne s'y ennuie pas.
A noter que la voix du personnage principal est celle de Kristin Kreuk (Lana Lang dans Smallville).
Ce n'est pas le genre de jeux auxquels je joue habituellement, mais j'ai bien aimé
Batman Arkam Knight
j'ai vraiment aimé, faut dire que j'adore l'univers Batman. Et là il est très bien retranscris, grâce aux musiques, rendu graphique, ambiance générale...
Le gameplay des missions est vraiment varié et bien trouvé, juste un poil trop de baston à voiture imo
L'ajout de la Batmobil est trop cool
Le costume de Batman de 1989 de Burton aussi
Le scénario est bien à suivre également.
Bref, j'ai vraiment accroché, fini en 20 heures environs sans rush
Jeu(x) du moment : Diablo IV; Helldivers 2; Yakuza : Like a Dragon.
Paradise Killer
Sur les bons conseils de Noël Malware, je me suis laissé tenter par ce jeu dont la DA ne m'attirait pas du tout.
Au final, on se retrouve devant un espèce de VN d'enquêtes dans un petit open world, avec des personnages et un univers improbables.
L'open world permet une exploration très libre, pour récolter des indices sur les différentes enquêtes que l'on doit mener (ou même débloquer de nouveaux objectifs).
Une fois qu'on juge que l'on a récolté assez d'indices, on choisit de débuter le procès (dont l'issue sera complètement dépendant des indices et des choix que vous ferez)
C'est vraiment un jeu original, complètement barré à la japonaise mais fait par des anglais. Le petit bémol: beaucoup d'allers retours et des collectables plus ou moins utile de partout.
Ori and the will of the wisps
La réalisation est magnifique: les environnements, les personnages, la lumière, la musique, le rythme, le level design: tout est parfaitement maitrisé.
La jouabilité est presque parfaite: une fois que l'on a la plupart des améliorations, on peut passer la majeure partie du temps à virevolter au travers des niveaux, avec une fluidité exemplaire.
Il y a juste quelques moments où le jeu est peu lisible, du fait des effets lors des attaques.
Quelques rares passages m'ont un peu crispé, mais dans l'ensemble le jeu est assez facile.
Vraiment un excellent jeu.
A Plague Tale : Innocence
Avec le trailer du 2ème qui vient de sortir je me suis rendu compte que je ne l'avais pas encore fait ^^ Dont acte
Et ben j'ai pas eu tort. J'ai vraiment bien accroché, l'histoire est prenante et se suit bien, les perso sont sympa (même le môme, c'est dire ), la difficulté est correcte pour moi qui n'ait plus mes réflexes de 20 ans , un peu facile au début mais qui se corse pas mal sur la fin. Et puis il est super joli. Alors ouais je ne suis pas à la page niveau graphismes avec ma propension à jouer à des vieux trucs (ou à des jeux récents mais moches), mais il rend super bien.
Y'a un peu de Dishonored dedans (l'ambiance glauque, les rats, la musique), un peu de Tomb Raider (la simili infiltration, la fronde au lieu de l'arc, le craft, les... zones interactives couvertes de peinture blanche pour être sûr de ne pas les manquer ), on a fait pire comme références
Une 10aine d'heure en tout, ça faisait longtemps que je ne m'étais pas attelé à un jeu aussi "court", mais au final c'est juste la bonne durée. Je ne le regrette vraiment pas
Dernière modification par Cassin ; 26/06/2021 à 20h08.
Un écrivain qui se livre, c'est un peu comme un canard qui se confie.
Terminé aussi Control reçu gratos sur l'EGS
Sur moi l'ambiance (visuelle, sonore, lore) a fonctionné du tonnerre ! J'ai vraiment aimé arpenter le bureau et son histoire.
Petit bémol pour la difficulté, on meurt vite au début (on se fait two-shot). Tips pour se simplifier la vie : monter le lancer d'objet puis l'endurance puis la santé et ça va aller tout seul.
Pas parfait donc, mais j'ai vraiment passé un bon moment, comme souvent avec les jeux Remedy.
Question pour ceux qui les ont fait : ça vaut quoi les 2 DLC ?
Jenny LeClue - Detectivu (2019)
L'autre soir j'avais très envie d'un bon point'n'click, j'ai donc lancé ce jeu qui trainait sur mon disque dur. Perdu, Jenny c'est de l'aventure, linéaire, à la manette. Erk. Et pourtant, c'était trop bien.
Jenny, c'est une petite fille qui vit dans un bled paumé et qui rêve d'être détective. Ça tombe bien, elle va avoir de quoi faire ses preuves.
Niveau gameplay, on fait évoluer Jenny sur un plan 2D, droite et gauche, parfois haut et bas quand il y a une échelle, et on appuie sur le bouton de la manette quand le jeu nous indique qu'il y a un truc avec lequel on peut interagir. Fuuuu, ça me fait penser à Little Misfortune, et ça me fait mal à mon cœur. Sauf que la grosse différence entre Jenny Leclue et Little Misfortune, c'est que avec Jenny, on s'amuse.
Le jeu est super rythmé, ça va vite il se passe plein de trucs, les environnements changent rapidement. Mais surtout, la boucle de gameplay dont je parle ci-dessus est régulièrement brisée, puisqu'il nous est régulièrement proposé de participer à des minis jeux, des petites enquêtes, des énigmes assez simples, etc... Jamais de truc compliqué, où l'on va devoir posé son cerveau devant pendant 1h, et pourtant c'est super plaisant à parcourir.
En plus de ça, l'histoire est très bien ficelée, la mise en scène impeccable joue parfaitement sur une ambiance marquée, les personnages sont tous excellents, y a de l'humour, y a de l'émotion, du suspens. La DA est toute mignonne et très réussi, ça fait mouche. Les musiques passent bien même si elles sont plutôt discrètes. C'est propre, très propre.
À noter que ça se finit en 10h en prenant bien son temps, et qu'il y a plein de collectibles à trouver pour ceux qui, comme moi, aiment fouiller dans les ordures, et ça c'est aussi très cool.
Bon, c'est pas le genre de jeu qui va bouleverser l'existence, pas de réflexion phylosofik ou autre. Par contre c'est un excellent divertissement pour qui recherche quelque chose de soft, mais sucré et pétillant.
EDIT: Ah, petit "détail" que j'ai oublié : la fin sur un cliffhanger, ça fait très chier. Vivement la suite.
Dernière modification par Supergounou ; 26/06/2021 à 23h52.
The Legend of Kyrandia
Quelle catastrophe.
Kyrandia, c'est un jeu archaïque et anachronique dès sa sortie derrière son papier brillant. Un jeu qui a le malheur de prendre Sierra pour modèle et d'en recopier fidèlement toutes les horreurs en les mettant au carré.
Dans les points positifs :
-Des décors absolument magnifiques, splendides. Du pixel art de très haut niveau.
-Une musique sympa de Franck Klepacki.
-Une interface ultra simple à un seul clic (le seul truc moderne du jeu)
-Le premier quart d'heure, sachant que la plupart de ceux qui parlent du jeu avec des étoiles dans les yeux ne sont jamais allés au-delà.
Et c'est tout.
Parce que Kyrandia, dans les faits, c'est concrètement :
-Des labyrinthes de partout, tout le temps, qui ne servent qu'à copier-coller des tableaux pour faire faire des allers et retours rébarbatifs en permanence dans un monde vide.
-Une histoire plate comme une flaque, sans le moindre intérêt.
-Des personnages rares (il doit y en avoir 6 en tout), qui sont au pire irritants, au mieux inexistants. A un moment on rencontre Darm le vieil érudit, qui vit avec... une dragonne ! Seulement voilà on ne peut interagir qu'avec ce vieux fou qui perd complètement la boule alors que sa copine dragon est cent fois plus cool que lui...
-Des puzzles parmi les plus horribles que j'ai jamais vus, qui n'ont pas la moindre logique et pas le moindre indice, qui consistent à essayer des tas de trucs totalement au hasard. Par exemple tu vas devoir faire des potions (on ne te le dit pas), tu auras besoin d'ingrédients (tu ignores totalement lesquels), selon une certaine logique (dont tu n'as pas le moindre début d'idée). C'est le moment où je suis passé en full soluce : j'en ai trouvé une délicieusement salée sur le pitoyable game design du jeu.
-Seulement 10 places dans l'inventaire alors qu'on te demande de te balader avec tous les objets possibles, au cas où, d'un bout à l'autre de la map.
-Des softlocks de partout, tu peux être bloqué irrémédiablement parce que t'as mangé une pomme, jeté un objet au mauvais endroit, ou parce qu'il te manque un objet totalement random sans AUCUNE possibilité de savoir lequel et sans possibilité de revenir en arrière. Ou alors t'as cliqué sur un truc pour voir ce que ça fait et ça t'a tué.
-Et à l'inverse, des tas d'objets n'ont pas la moindre utilité alors que ton inventaire est limité.
Un jeu totalement surcoté qui vient rejoindre les King's Quest dans l'enfer des abominations ludiques. Il n'a que des bonnes critiques, et c'est flagrant que tout le monde lui cherche des excuses uniquement parce qu'il est beau, ou parce qu'ils étaient gamins quand ils y ont joué. Mais non, c'est une énorme merde. C'est tout. C'est le jeu le plus surcoté que j'ai jamais vu avec Landstalker sur Mega Drive.
Pandemonium
Un des premiers jeux de plate-forme 3D sur console et un des premiers jeux accélérés 3dfx sur PC, il avait laissé pas mal de souvenirs à l'époque, je me demandais ce que ça donnait aujourd'hui, c'est une découverte pour moi.
Eh bien c'est une excellente surprise Pandemonium n'a quasiment pas de scénario, son univers n'est pas follement original (il fait penser à NiGHTS into Dreams en plus sage), mais j'ai été charmé par la façon dont Crystal Dynamics fait régulièrement exploser la 2,5D et multiplie les idées de level design et de mise en scène. Le socle du gameplay est basique et pourtant il parvient à proposer de nouvelles petites choses tout au long des 18 niveaux pour ne jamais ennuyer. Les décors sont variés tout en évitant certaines facilités éculées (pas de niveau de glace, pas de niveau de jungle, pas de niveau aquatique). On peut jouer un garçon (Fargus) ou une fille (Nikki) avec une petite aptitude différente pour chaque, ce qui n'était pas fréquent à l'époque (en vrai Nikki est de loin le meilleur perso).
Dommage que tout ça soit terni par les approximations de la plate-forme à l'occidentale : maniabilité raide, gestion des collisions hasardeuse, qui rendent la difficulté déjà élevée rageante et quelques passages insupportables.
Attention : le nGlide de la version GOG n'est pas à jour et le jeu ne fonctionne pas. Il faut télécharger une version récente et changer les DLL. Autre bug : la musique ne boucle pas, et je n'ai pas trouvé de solution pour ça.
Je viens de terminer INFRA, et c'était un sacré bon moment.
Le jeu est généralement décrit comme un Half-Life sans flingue. Vous jouez un "structural analyst" et vous allez inspecter différents lieux (majoritairement des environnements intérieurs de type industriel) avec plusieurs objectifs, plus ou moins optionnels :
- photographier tous les dysfonctionnements avec votre caméra,
- réparer ce qui peut l'être,
- retrouver votre chemin jusqu'au prochain lieu.
Le jeu est assez long. J'ai mis 22h pour le terminer en essayant de faire un maximum de chose (j'ai raté pas mal de choses vu les succès).
J'avais peur que les puzzle soit répétitifs (on manipule souvent les mêmes pièces et certains éléments reviennent régulièrement) mais je ne me suis pas lassé. Quelques rares énigmes (qu'on pourrait compter sur les doigts d'une main) m'ont saoulé et poussé à chercher de l'aide, pour des raisons différentes (zone un peu trop grande, manipulation un peu bizarre à faire, etc).
Il y a même un fil rouge (voir plusieurs) et j'ai lu avec plaisir les différents documents disséminés au travers des niveaux.
Bref, si vous aimez explorer des lieux urbains ou résoudre des énigmes liés à l'environnement, ce jeu est fait pour vous.
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J'ai également terminé deux autres jeux :
Qomp est un jeu de plate-forme à la mécanique originale : la seule chose que vous pouvez faire est d'inverser la gravité de votre cube. Une sorte de VVVVVV où le concept aurait été poussé encore plus loin.
C'est propre et ça fonctionne très bien. C'est très court donc aucun risque de se lasser. J'aurai quand même aimé en voir un peu plus.
Beyond a Steel Sky est un point & click 3D. Le jeu est jouable (je l'ai terminé après tout) mais avec le recul, il se trimballe d'importants défauts :
- le personnage principal est un idiot insupportable. D'ailleurs les personnages sont tous inintéressants (allez, on peut compter une exception).
- les énigmes sont trop simples. Le jeu introduit un système de "hack" prometteur mais il n'est jamais exploité de façon intelligente.
- le scénario est éclaté au sol. L'élément déclencheur tient la route, mais le twist final est vraiment digne d'un très mauvais film.
Ok, merci. Je suis pas contre l'anglais (j'ai le niveau, moi ), mais si la VF est bonne, pas de raison de se priver. Le jeu est justement installé là, faudra que je pense à le lancer...
Ikenfell (2020)
RPG tactique indé à gros pixels. Maritte part à la recherche de sa sœur à l'école de magie d'Ikenfell et se retrouve plus ou moins à sauver le monde en compagnie d'une petite bande d'élèves.
Le twist des combats (qui se déroulent au tour par tour sur une grille, à la manière d'un Trails), c'est la mécanique de timing : appuyez sur un bouton pile au bon moment, et votre sort tapera un "Great" (ou un "Nice", un peu moins bien) qui infligera de gros dégâts. Ratez votre coup, et ce sera un "Oops", réduisant vos flammes de l'enfer à une pichenette inoffensive. Idem en défense : un "Oops" vous exposera à des dégâts critiques, tandis qu'un bon timing permettra au contraire d'encaisser convenablement.
J'avoue, c'était chouette pendant les premières heures. Mais ça devient vite répétitif : il faut le faire pour CHAQUE sort, pendant CHAQUE combat. Parfois pendant une bonne dizaine de minutes (voire plus) pour les gros boss. Et vu que le timing est différent pour chaque sort, que les sorts sont plutôt nombreux et qu'il n'y a pas d'indicateur visuel ou sonore unifié, même avec la pratique, rien ne garantit de rentrer du "Great" ou du "Nice" à tous les coups : la fenêtre est serrée, et l'échec est assez punitif (un boss peut étaler l'équipe en quelques tours si le joueur ne se mange que des "Oops").
Hélas, c'est loin d'être le seul défaut. L'histoire est sans intérêt, l'écriture est du niveau d'une fanfic quelconque et les personnages sont ratés sur à peu près tous les plans : des personnalités univoques, une inclusivité LGBTQ+ à grand renforts de clichés (pourquoi pas, mais il faudrait que les dialogues soient à la hauteur), des développements qui tombent à plat, des interactions légères qui peinent à arracher un sourire, des moments d'émotion qui ne font qu'agacer… allez, achevons le tronçonnage : des portraits moches pendant les dialogues, des sprites dégueu sur la carte et en combat, décidément rien qui ne parvienne à nous rendre attachante cette petite bande d'apprentis sorciers.
Puisqu'on parle des graphismes, ce n'est pas non plus honteux, mais rien de transcendant. Les décors sont plutôt mieux réussis que les personnages, même si le fait de cantonner l'essentiel de l'aventure à un campus limite quelque peu le potentiel de dépaysement. Les différents donjons se renouvellent plutôt pas mal, avec de petits puzzles spécifiques à chacun ; c'est malheureusement la répétitivité des combats random (évitables mais pas tous) qui vient quelque peu gâcher le plaisir de l'exploration.
BREF, un jeu qui passe à côté de son potentiel. C'est d'autant plus dommage que la musique est EXCELLENTE (c'est d'ailleurs une cover de qualitance qui m'a révélé l'existence du jeu), il n'y a quasiment rien à jeter dans le soundtrack (à part une chanson à la con, vous saurez laquelle si vous y avez joué) et plein de mélodies qui restent dans l'oreille longtemps après les parties.
Pour le reste, je ne trouve pas que ça vaille la peine d'y passer 20 heures, même en automatisant les timings ou en cheesant les combats (le jeu propose les deux options). Je ne sais pas pourquoi je me suis obstiné à le finir, sans doute le biais des coûts irrécupérables.
Titanfall 2 en solo, deux fois d'affilée. Vraiment un bon FPS comme je ne m'y attendais pas, c'est la misère niveau IA mais peu importe je ne m'attendais pas à une campagne aussi bonne avec un mélange de fusillades, de séquences de plates formes et de combats entre Titans qui font office de boss avec un bon arsenal de flingues tous funs à utiliser. C'est court mais c'est bon et ça me convient. Un troisième run me démange les doigts.
Des screens avec un ReShade maison
Dernière modification par Anonyme220825 ; 28/06/2021 à 14h17.
Tomb Raider (2013)
Il m'avait rebuté à l'époque parce que trop difficile au niveau des combats (j'avais lâché l'affaire au niveau du bidonville et des trouzaines d'ennemis qui débarquent de partout). Là j'ai décidé de retenter ma chance en ravalant ma fierté et en le mettant en mode Facile. Bon, ça me correspond bien mieux.
Au final le jeu est plutôt bien foutu niveau progression, le début est un peu chaotique, on s'emmêle dans les touches, Lara n'arrête pas de glisser / tomber / chuter / dégringoler / se viander, mais au fur et à mesure, on se rend compte qu'on n'a plus aussi souvent qu'avant besoin d'appuyer sur la touche pour se rattraper in extremis, les sauts s'enchaînent avec plus de fluidité, on enchaîne les mouvements sans même y penser, et on finit par retrouver les sensations des vieux TR à se déplacer latéralement sur les corniches avant de se hisser pour sauter en face
Un écrivain qui se livre, c'est un peu comme un canard qui se confie.
Franchement je l'ai bien aimé ce premier TR, plus que sa suite (Rise). Le scénario du premier que tu fais a un fil conducteur simple et fort - sauver tous tes copains - alors que la suite m'a moins impliqué. Et la suite intègre un craft beaucoup torp compliqué.
Bref profite bien.
Oui l'histoire est simple mais se suit sans fioriture ni prise de tête
Après, on ne joue pas aux TR pour leur scénar, je doute que beaucoup de monde se souvienne de ceux des premiers jeux
Un écrivain qui se livre, c'est un peu comme un canard qui se confie.