Le FBI ne comprends pas comment fonctionnent les réseaux sociaux, visiblement:
Forcément, les réponses sont, en majorité, centrée sur Trump et les violences policières...
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Je n'ai jamais dit que ce serai suffisant en soit mais ça fait partie des solutions. Aucun pays n'est foutu de stopper la vente et la consommation de drogues, il n'y a donc aucune chance que l'on puisse retirer toutes les armes dans quelque pays que ce soit. Si déjà on pouvait arriver à les retirer des mains des civils qui ne devraient pas en avoir, ce serai bien. Le seul fait d'obliger les gens à enregistrer leurs armes et d'obtenir des permis, même s'il s'agit de simples broutilles administratives, réduirai le nombre d'armes de façon significative et donc les problèmes qui en découlent.
Le contrôle des armes ne vise pas à faire magiquement disparaitre les armes, juste à limiter leur prévalence.
Tu vas tout de suite dans le dur, mais ces noyaux de résistance, c'est quel pourcentage de la population totale ? 2%... 1% ??
Ceci dit, en France en 1944, on avait 300 000 membres de la résistance et je ne sais combien de membre de la milice, ces gens-là il a bien fallu les désarmer non ?
A la lecture des dernières pages j'ai bien envie de décerner le "zénith d'or" à Seymos pour sa zénitude et les réponses circonstanciées qu'il apporte dans ses interventions face à ses contradicteurs. Contrairement à ce qui semble affliger certains, je trouve que c'est ce qui pouvait arriver de mieux à ce topic et lui apporter un peu d'air frais.
tacere aut bene dicere
Entre les stats d’armes et de profilage raciale on en oublie Donald qui pour certains a marché hier protégé par l’armure de dieu ....
https://www.theguardian.com/us-news/...p-evangelicals
Après je ne sais plus quelle bible les évangélistes suivent et eux non plus.
*tousse*
(une déclaration de la NFL qui dit qu'il faut continuer à parler de ces problématiques)
C'est dommage je pense que leur débat public va pas aller sur le fond des problèmes que rencontre leur pays. Ils vont juste créer un débat anti-raciste/raciste. Après à voir comment la situation s'enchaîne, avec les vraies grosses problématiques que le pays va continuer à rencontrer et le débat de leur présidentiel, mais au vu des deux candidats ce sera pas du haut niveau.
Je pense que là dessus on a beaucoup plus le distingo français des villes et français des champs. Après ce sont souvent des fusils de chasse et pas des trucs aussi meurtriers que des fusils automatiques. Puis en France tu prends rarement le fusil de papy dans ta boite à gants, alors que quand je vivais au Texas on m'avait bien expliqué qu'il fallait éviter de klaxonner en voiture.
Signature merde !
Je sais pas. Desarmer LA police, ça me parait être un non sens...et est-ce qu'il y a vraiment un pays qui l'a appliqué ? Créer une police désarmée (genre police de proximité) par contre... Y'a eu pas mal d'étude qui ont montré son caractère bénéfique (ne serait ce qu'en taux de confiance population/FDO).
Definition of policing by consent
When saying ‘policing by consent’, the Home Secretary was referring to a long standing philosophy of British policing, known as the Robert Peel’s 9 Principles of Policing. However, there is no evidence of any link to Robert Peel and it was likely devised by the first Commissioners of Police of the Metropolis (Charles Rowan and Richard Mayne). The principles which were set out in the ‘General Instructions’ that were issued to every new police officer from 1829 were:
- To prevent crime and disorder, as an alternative to their repression by military force and severity of legal punishment.
- To recognise always that the power of the police to fulfil their functions and duties is dependent on public approval of their existence, actions and behaviour and on their ability to secure and maintain public respect.
- To recognise always that to secure and maintain the respect and approval of the public means also the securing of the willing co-operation of the public in the task of securing observance of laws.
- To recognise always that the extent to which the co-operation of the public can be secured diminishes proportionately the necessity of the use of physical force and compulsion for achieving police objectives.
- To seek and preserve public favour, not by pandering to public opinion; but by constantly demonstrating absolutely impartial service to law, in complete independence of policy, and without regard to the justice or injustice of the substance of individual laws, by ready offering of individual service and friendship to all members of the public without regard to their wealth or social standing, by ready exercise of courtesy and friendly good humour; and by ready offering of individual sacrifice in protecting and preserving life.
- To use physical force only when the exercise of persuasion, advice and warning is found to be insufficient to obtain public co-operation to an extent necessary to secure observance of law or to restore order, and to use only the minimum degree of physical force which is necessary on any particular occasion for achieving a police objective.
- To maintain at all times a relationship with the public that gives reality to the historic tradition that the police are the public and that the public are the police, the police being only members of the public who are paid to give full time attention to duties which are incumbent on every citizen in the interests of community welfare and existence.
- To recognise always the need for strict adherence to police-executive functions, and to refrain from even seeming to usurp the powers of the judiciary of avenging individuals or the State, and of authoritatively judging guilt and punishing the guilty.
- To recognise always that the test of police efficiency is the absence of crime and disorder, and not the visible evidence of police action in dealing with them.
Essentially, as explained by the notable police historian Charles Reith in his ‘New Study of Police History ‘in 1956, it was a philosophy of policing ‘unique in history and throughout the world because it derived not from fear but almost exclusively from public co-operation with the police, induced by them designedly by behaviour which secures and maintains for them the approval, respect and affection of the public’.
It should be noted that it refers to the power of the police coming from the common consent of the public, as opposed to the power of the state. It does not mean the consent of an individual. No individual can chose to withdraw his or her consent from the police, or from a law.
Il faudrait se mettre d'accord: on parle de désarmer la police ou de désarmer les citoyens? Lui il parle du second et tu réponds sur le premier. Il y a des confusions similaires dans d'autres échanges.
En ce qui concerne la police, je ne vois pas l'intérêt de la désarmer, ça ne fait pas sens en dehors peut-être de certains pays. Ce qui devrai être fait, à mon avis, serai d'éviter le surarmement de la police aux USA.
Certes un tel équipement peut être utile dans le cas d'affrontement avec des gangs surarmés mais cela ne représente qu'une infime partie de la mission de la police et même pas dans tout le pays (il n'y a pas de problème de gangs dans la majeure partie des USA).
Dans le cas des missions courantes de la police, le fait d'être sur-équippés (véhicules blindés, gilets lourds, casques, fusils d'assaut, etc...) cela créé automatiquement un rapport d'intimidation inadapté et qui encourage les policiers ainsi équipés à utiliser leur matériel de façon abusive. ("quand on a un marteau, on voit des clous partout").
En ce qui concerne les fameux gangs, il existe des unités de police lourdement équipés spécialisées qui ne font que ça et qui le font bien (car le flic de base super-équipé, cela ne veut pas dire qu'il sera efficace pour autant dans ce genre de scénario).
Dernière modification par dralasite ; 03/06/2020 à 14h58.
Sauf que les hispano-américain ne sont pas des mecs d’Europe du sud...
Ils ont en grande majorité une ascendance d’Amérique centrale et ont un typage bien plus marqué physiquement que les espagnols.
Que tu n'arrives pas à faire la différence ne change rien au fait que dans la vraie vie, les hispaniques aux USA sont souvent victimes de discriminations.
Le rôle de la police de proximité n'est pas de combattre directement les gangs mais plutôt d'améliorer le contact avec la population locale (notamment les plus jeunes) afin de réduire le soutient aux parmi celle-ci et donc de limiter le potentiel de recrutement.
C'est le même problème (dans une moindre mesure) que la lutte contre les groupes terroristes se cachant parmi les civils en Afghanistan ou au Mali.
Si la seule intervention est militaire dans le but de neutraliser les mecs alors tu auras toujours un terreau favorable pour l’émergence de nouveau groupes ou le renforcement de ceux existant.
Pour moi il faut une action double :
- garder des forces "classiques" pour gérer la violence et les menaces à court terme
- avoir des forces alternatives permettant d'influencer le terrain pour améliorer la situation à long terme
Sans ça tu n'as pas de porte de sortie et on reste dans un cercle vicieux.
C'est la faute à Arteis