Il avait besoin d'ennemis extérieurs pour calmer l'opinion intérieure.
Il a juste prévu large niveau stock.
En plus d'utiliser le parapluie OTAN surlequel il chie.
M'sieur, on fait la guerre au terros, M'sieur on peut tirer sur un "partenaire"?
En ce qui concerne l'UE, tant qu'il se contente de balader son navire de prospection pétrolière personne ne voudra escalader au conflit armé, c'est quand il va commencer à construire des plate-formes pétrolières dans les eaux chypriotes et grecques sous escorte de navires de guerre qu'on va vraiment rigoler. (jaune ou pour de vrai, là est la question), par contre je ne me prononcerait pas sur le seuil de tolérances des autres pays.
En détruisant une bonne partie du monde et des millions de morts en 10 ans?
Le parallèle c'est qu'a ne pas le prendre au sérieux on finira avec un second génocide arménien, une fois le fait accompli établi. Sachant que le massacre des kurdes qui s'est produit récemment en turquie est totalement passé sous silence dans les médias.
Et pendant se temps les dirigeants EU se cachent derrière leur petit doigt pour ne surtout pas infliger des sanctions à la turquie.
On en est où de la Syrie et de l'État Islamique d'ailleurs ?
En gros et pour faire vite :
- Les ricains se cassent.
- Les européens se cassent.
- L'armée syrienne éclatent les mecs sur des iles entre les 2 fleuves (voir la géographie du pays pour comprendre).
- Les iraniens contrôlent le sud du pays.
- Les kurds sont en roue libre au nord.
- Les turcs font n'importe quoi.
- Les russes balancent des bombes pour le fun.
- L'état islamique revendique des attentats dans le reste du monde même si c'est pas de leur ressort.
- Et Bachar el assad fait n'importe quoi.
Le monde merveilleux de la géopolitique.
Non, Emile Zola n'est pas un fromage italien.
Il n'aurait pas un peu besoin de partenaires à ce moment là ?
Les investissements sont souvent colossaux et les majors suivies de tout l'écosystème industriel ne rechignent pas à arroser n'importe quel régime sympathisant pour peu qu'il y ait quelques gisements dans leurs zones de souveraineté (réelle ou escomptée). e.g. le guyana récemment touché par la malédiction de l'or noir.
Devinez, qui a gagné les élections à Chypre-Nord ?
Election à Chypre-Nord: victoire surprise d'Ersin Tatar, candidat soutenu par la Turquie.
Le nationaliste Ersin Tatar, soutenu par la Turquie, a été élu dimanche "président" de l'autoproclamée République turque de Chypre-Nord (RTCN),
une victoire surprise face au dirigeant sortant, a annoncé le Conseil électoral.
https://www.rtbf.be/info/monde/detai...ie?id=10611776
Fini le rêve d'un état fédéral à Chypre.
De l'Arménie à la Lybie, le sultan fait chier son monde.
Quand toute l'économie de la zone dépend du gros voisin et que ce dernier joue depuis des années sur les idées de grandeur auprès de sa population, ce n'est pas étonnant que ça finisse par fonctionner.
Le collimateur : Une guerre des drones ? Analyse du conflit au Haut-Karabagh
Le Collimateur se tourne cette semaine vers le Caucase, et vers le récent conflit azéro-arménien en compagnie de Joseph Henrotin, rédacteur en chef du magazine DSI.
Après avoir détaillé avec Alexandre Jubelin le hors-série n°74 de DSI, consacré au salon Euronaval — et plus précisément sur ce qu’on sait du futur porte-avions de nouvelle génération (3:30) mais aussi de l’affrontement gréco-turc qui se profile en Méditerranée orientale (14:00) ; ceux-ci essaient de revenir sur les grandes caractéristiques et les leçons du conflit entre Arménie et Azerbaïdjan au Haut-Karabagh.
Ils commencent par rappeler la géopolitique générale du conflit (19:00), ils reviennent sur les principales formes de ce conflit, notamment par l’utilisation de drones (25:00) face auxquels les systèmes anti-drones semblent pour l’instant inefficaces (35:00). Ils abordent ensuite l’utilisation de missiles balistiques par les deux puissances (38:00), la présence de mercenaires étrangers (45:00), et tentent de tirer un bilan provisoire du conflit (49:00).
Un autre article très intéressant sur ce même conflit.
https://warontherocks.com/2020/10/th...-two-weeks-in/
Ce musée est un des premiers trucs dont les locaux te parlent quand tu débarques à Tallinn, une vraie célébrité.
Le topic de la guerre des mots :
https://www.lemonde.fr/international...7308_3210.html
Ou comment montrer les dents à la main qui nourrit ton économie, et fait tourner tes usines.La présidence française relevait aussi les « déclarations très offensives [de Recep Tayyip Erdogan] de ces derniers jours, notamment sur l’appel au boycott des produits français », alors que ces appels se multiplient au Moyen-Orient.
https://www.tresor.economie.gouv.fr/...exterieur-turc
Domaine connexe, gros article en plusieurs partie de Diploweb sur la géopolitique du gaz naturel en Europe :L’Union européenne (à 28) demeure le premier partenaire commercial de la Turquie, l’Allemagne en est le premier client et la Russie le premier fournisseur (dépassant la Chine depuis 2018). Les exportations sont dominées par les véhicules et les équipements mécaniques tandis que le poste “hydrocarbures” est en tête des importations.
[...]
En revanche, les importations de véhicules ont significativement diminué (-30,6% par rapport à 2018) en raison de la dépréciation de la monnaie locale (qui a entraîné une hausse des prix des véhicules d’environ 30-35%) et de l’augmentation du coût du crédit qui ont affecté les ventes sur le marché domestique (-46% sur les huit premiers mois de 2019).
https://www.diploweb.com/Le-gaz-natu...re-partie.html
Voici une masse considérable d’informations contextualisées et conceptualisées pour comprendre les dessous géopolitiques du gaz naturel en Europe. Philippe Sébille-Lopez livre ici de manière pédagogique un exemple actualisé de géopolitique de l’énergie. Il décrypte notamment la stratégie des Etats-Unis autour de Nordstream 2 (NS2) pour ouvrir un marché au GNL américain. Illustré de deux cartes inédites réalisées par Charlotte Bezamat-Mantes pour Diploweb.com
[...]
L’énergie est par nature l’un des éléments fondamentaux de la souveraineté d’un Etat. Pour cette raison, les questions énergétiques et géopolitiques sont souvent liées. C’est clair pour le pétrole, mais aussi pour l’hydroélectricité des barrages, avec le partage des eaux des bassins versants entre pays, ou dans le nucléaire, avec les enjeux de non-prolifération entre nucléaire civil et militaire. A mesure que la production et la consommation mondiale de gaz naturel se renforcent, ce dernier (re)fait à son tour l’objet d’importants enjeux géopolitiques. Le fort développement du gaz naturel liquéfié (GNL) permet une diversification des échanges en multipliant le nombre de pays de destination, ce qui devrait, en théorie, réduire les tensions autour de cette source d’énergie. Mais les flux de GNL peuvent aussi comporter, comme les échanges par gazoducs, une composante géopolitique très importante.