Tu le comptes comment le retour sur investissement ?
À l#heure actuelle on peut dire que 95% de l'investissement qu'on fait dans du matériel militaire sert peut-être à rien et que tout ca c'est trop de pognon claqué. Et puis d'un coup tu te retrouves dans un conflit comme celui actuellement entre l'azerbaidjan et l'arménie et t'es bien content tout de même de tout ce pognon claqué.
Tiens voici qui me rappel une histoire drôle : les stocks de masques chirurgicaux ... Du pognon de dingue immobilisé bêtement.
- - - Mise à jour - - -
Difficile de faire l'impasse sur la technologie, la recherche, l’ingénierie, etc ... que maintient et fait vivre l'industrie de l'armement. Les retombées se font sur le civil.
Tout est dans le pseudo - Vivre
Et au final peu importe la quantité, si tu t'en fais défoncer les 3/4 par des nouvelles technologies (drones).
Ou alors que l'adversaire sature tes défenses en lançant litérallement du caca par dessus la frontière :
http://www.opex360.com/2020/10/06/la...haut-karabakh/
C'est là qu'une arme EMP fout au sol tout le caca.
Pour le coup avec des pilotes humains il ne resterait plus que l'AN-2 en vol....
Guerre du Golfe 1991, M1A1 Abrams vs T-72:
A total of 23 M1A1s were damaged or destroyed during the war. Of the nine Abrams tanks destroyed, seven were destroyed by friendly fire, and two were purposely destroyed to prevent capture after being damaged.Lion of Babylon (le T-72 custom irakien):The M1A1 could kill other tanks at ranges in excess of 2,500 metres (8,200 ft). This range was crucial in combat against previous generation tanks of Soviet design in Desert Storm, as the effective range of the main gun in the Soviet/Iraqi tanks was less than 2,000 metres (6,600 ft). This meant Abrams tanks could hit Iraqi tanks before the enemy got in range—a decisive advantage in this kind of combat.
1991:The Lion of Babylon saw service in the 1991 Persian Gulf War as well as the 2003 invasion of Iraq. Like other tanks in the Iraqi inventory, Lions were mainly employed as armored self-propelled artillery, rather than in maneuver warfare roles. In operations, it fared poorly against American main battle tanks and armored fighting vehicles. For example, a 120 mm depleted uranium (DU) APFSDS round from an M1 Abrams could knock out a Lion of Babylon tank well beyond 3,000 m, while the effective range of the tungsten-core 125 mm shell used by Iraq was 1,800 m.
Within closer ranges, the Lion of Babylon was more effective, especially while within prepared positions. However, even in such conditions, the Lion of Babylon did not fare well against M1s—as proven in the Battle of Norfolk during Desert Storm, although the tank also participated in the Battle of Phase Line Bullet, where Bradley IFVs from the 4th squadron of the 7th Cavalry Regiment were driven back by dug-in Iraqi armoured vehicles at heavy cost.
2003:During Desert Storm, T-72s built in Taji were technologically 20 years out of date. Only one M1 Abrams was officially documented during the Persian Gulf War as having received enough damage to be towed and receive maintenance after being struck three times on the turret by a Lion. Another six M1A1s were allegedly hit by Iraqi T-72 tank fire in the Gulf War official report, but the impacts were largely ineffectual. According to Atkinson and Scales, Lions accounted for at least two M2 Bradley kills during Desert Storm and left several damaged, all on February 26, 1991.
In April 2003, U.S. tanks engaged their counterparts from just 50 yards, killing seven Iraqi T-72s without any losses. Such encounters exposed the poor marksmanship of Iraqi gunners, in part due to the shortage of modern night-vision and range-finder assets. The Lions were even more technologically lacking at this time, and it is not known if any improvements to the tanks were made between the Persian Gulf War and this conflict. Nonetheless, one Bradley was largely disabled by a 125 mm round from an Asad Babil tank when Iraqi armoured troops attempted to attack their American counterparts near Baghdad airport.
Mais les drones ne peuvent pas suffire. Il te faut aussi des troupes sur le terrain pour le saisir, sinon tout ce que tu obtient c'est un no mans land avec des drones. Donc si tu as des troupes sur le terrain, un appuis lourd blindé ca peut être très utile.
Et faut avoir aussi de quoi on parle comme drone, il s'agit pas uniquement de drones qui sont envoyés depuis 300km et qui repartent ensuite, une part son aussi des drones suicide a portée plus courte. Les lance drone peuvent être une cible pour des tanks.
Je pense que le fait qu'il y ait plus de drones employé ca veut pas dire al fin d'un autre élément (les tank lourd) mais plutôt que ca rajoute un truc sans en enlever d'autres.
Après, tu peux passer au Tank Drone.
Le bouclier
La lance
Et tu terminses avec des blindés légers type Uran-9
Ensuite des armes EMP, et on retourne avec de la bidasse et du blindé plus rustique.
Le drone, c'est bon pour les guerres et des opérations ponctuelles avec des opposants techniquement pas au fait.
Ca dépend, les SU-25 équipés de R-195 peuvent monter à 10000m j'ai des pages en papier glacé qui ...
ah pardon, mauvaise fiche
Les drones Bayraktar TB2 utilisé massivement par les turcs (150 produits) à 5million pièce peuvent rester en surveillance d'une zone à 7000m d'altitude (et pas 8000, mea culpa, c'est d'ailleurs le même plafond opérationnel que le SU-25) pendant 24 heures, et sont également capable d'effectuer plusieurs missions pour se réarmer en munitions.
La dernière version est capable d'embarquer des missiles intelligents de type SCALP.
Il ne faudrait clairement pas sous estimer les capacité turques à changer la donne sur des conflits de moyenne intensité avec leurs drone. ça s'est vu en syrie, en libye contre des forces peu équipées et modernes et maintenant en arménie avec des forces un peu plus équipées et modernes.
Moderne, c'est de la technologie des années 80 ?
Les USAs veulent noyer leurs adversaire avec une flotte de 500 bateaux :
https://www.military.com/daily-news/...avy-fleet.html
Au programme, sous marins, porte-avions "light" et "150 à 250" bateaux-drones.
Allez, encore un peu plus et on attendra le point Skynet de non retour
C'est l'utilisation de technologies "anciennes" pour une utilisation nouvelle, un peu comme la Première Guerre Mondiale avait remis au goût du jour les casques en acier d'infanterie, délaissés depuis la fin de la Renaissance. (mais cette fois pour protéger des shrapnel d'obus au lieu des coups d'épée)