Sérieux ? T'es en panne et tu viens poster unrle tof ici ?
L'avait peut-être rien d'autre à faire en attendant le dépannage...
@duv37 : déso
J'ai eu une Ducati. Il m'est arrivé la même chose que toi. En rentrant du boulot. A 1h du matin. Sur l'autoroute. Sous une pluie de malade tellement forte que j'avais de la peine à comprendre le dépanneur au bout du fil.
Ce matin je pars pour déposer la moto au boulot, j'avais pas osé la prendre la semaine dernière à cause du gel. J'ai 70km à faire et j'ai 160km sur mon trip1. J'avais calculé 300km d'autonomie et un bon 370 en roulant en mode papy.
Du coup je m'inquiète pas trop.
Je sors de l'A1 à Senlis, petite descente, perte de puissance instantané, moteur qui coupe, voyant d'huile. Je fais pas le malin... Direction le bas côté, warnings et je décide de couper/remettre le contact. Ça repart sans broncher.
Quelques mètres plus loin, re-descente. Ça recoupe ! Warning, roue libre et dès que ça redevient plat je rallume.
Troisièmement descente, ça recoupe. Je vois un parking PL sur le côté, je ne me pose pas de questions, je vais dessus. Il me restait 3/4km à faire, c'était beaucoup trop joueur... Surtout que là je me trouve un coin safe sur une voie à 80km/h. Deux kilomètres plus loin c'est une 2x2 voies à 110 sans dégagement.
Au final au bout de 45min d'attente, le dépanneur est arrivé pour me transporter jusqu'à une station. Verdict : panne sèche ! J'ai remis 15L dans le réservoir.
Du coup ça va me motiver à relancer le garage qui m'a vendu la meule sur le sujet de cette jauge à essence défectueuse.
Ah oui C'est bien de connaître le kilométrage sur un plein
D'ailleurs bizarrement, j'ai eu très peu de moto avec une jauge
Et t'as pas encore réussi a te débarasser de madame
Envoyé par rapport de la Délégation générale à la langue française et aux langues de France
C'est un des rare défaut sur la street.
Envoyé par rapport de la Délégation générale à la langue française et aux langues de France
C'est une émanation de la FFMC donc j'en ai entendu parler lors des réunions publics (certain formateur (dont l'actuel secrétaire de la ffmc) viennent au réunion) et j'ai vu la page qui y est consacré sur le site de la ffmc mais après je n'ai jamais assisté à un stage.
Je ne pense donc pas pouvoir répondre à te questions.
Vous savez que je me suis rendu compte que sur la street triple, j'ai des platine repose pieds qui viennent d'une Daytona ? Et bien les pare talons de street triple oem que j'ai acheté, ils sont pas compatibles Voilà.
Du coup je vais devoir encore me contenter des trucs en fibre de chinoisium...
Mais du coup, j'ai une paire de pare talon de street triple de 2012.
Puisque ça parle d'indicateur de réserve (et que je doit attendre à nouveau de cicatriser avant de pouvoir remettre les mains dedans), quelqu'un saurait-il s'il est possible (et où du coup) de trouver des systèmes de capteur de réserve à adapter soit-même sur sa moto ? Juste le petit système de flotteur sur coulisseau qui viens mettre le contact quand il est en butée basse.
Les capteurs sont HS (voire carrément manquants) sur les Cagiva et la Fantic, et autant cette dernière il y a moyen de faire avec via un robinet 3 voies, autant sur les Cagiva le robinet est lui-aussi très particulier et pas accessible en conduisant.
Ha, et accessoirement, si vous avez une idée de ce qu'il serait possible d'utiliser comme colle ou résine pour faire l'étanchéité autour du fil, je suis preneur aussi. Je pensais à la base aux résines de soudure à froid, sauf qu'en fait c'est juste de l'epoxy et que ça ne tiens pas le contact permanent avec de l'essence.
Ca dépendra de comment je peux fixer le capteur, mais a minima étanchéité. Et je doute que la pâte à joint marche : là ce ne serait pas pris en "sandwich" entre deux plans, c'est pour faire l'étanchéité autour d'un fil.
En gros, pour faire passer le fil du capteur, je percerais un trou dans le corps du robinet. Je passe le fil, et je met la colle/résine pour faire l'étanchéité.
Le corps du robinet est vissé sur le réservoir et ton fil le traverse, c'est bien ça ?
Oui, sur la Fantic c'est l'idée :
Du coup l'idée serait d'acheter un robinet 3 positions, comme celui-ci :
De couper la crépine et la prise "principale" à la bonne hauteur, de mettre le capteur sur la prise "principale" en faisant passer le fil dans la prise, et de percer le corps sous le robinet pour faire sortir le fil du capteur. Du coup il faut faire l'étanchéité autour du fil, pour s'assurer qu'il n'y ai pas d'essence qui sorte si jamais la liaison capteur/robinet n'est pas parfaite ou si le robinet est mis par erreur sur la position "on" au lieu de "réserve".
Pour les Cagiva, c'est encore plus compliqué, puisque le robinet est déporté par rapport au réservoir et à la sonde, et que la sonde en elle-même (ref' 2) est cassée sur les deux (j'ai bien la plaque, mais le coude qui amène au flotteur est cassé et le flotteur est manquant).
J'avoue que je sèche un peu là. J'aurai tenté avec un joint à double rebord, type passe cables, mais ça va pas se monter dans ton cas.
Salut les gens. Je viens voir si y a moyen d'avoir une carte du club des canards à moto. Et oui, je suis depuis le 03/11 dernier l'heureux titulaire d'un permis A2 tout beau tout neuf et depuis le 03/12, le plus qu'heureux propriétaire de ma première moto !
36 ans, 2 gosses, un taf à responsabilités stable et chiant, 0 motards et 0 motardes dans ma famille, jamais eu de scooter/mob/50cc/125cc, et je passe le gros cube ? Hum on va dire que je fais ma crise de la quarantaine en avance .
Ce fut pourtant un sacré pataquès ! Je vous raconte.
Je me suis inscrit au permis durant mon second congé paternel début octobre 2021. On m'a rapidement briefé sur le code moto qui remplace les fiches en examen théorique, et donné des accès pour m'entrainer sur internet. J'ai bingé l'appli pendant 3 jours et suis retourné voir l'auto école pour leur demander si selon eu mes résultats étaient suffisant pour que je sois inscrit à une session prochaine de l'examen du code (je pensais qu'ils faisaient un check de leur côté). Freeze frame de leur côté et incompréhension de ma part devant leurs tronches. J'ai rapidement compris après qu'ils m'aient expliqué que désormais c'était la Poste qui gérait les examens du code et qu'on pouvait s'inscrire librement via leur site, moyennant 30 balles. Faut le savoir hein, c'était pas comme ça avant et mon dernier examen du code pour la bagnole remonte à 2004. Je me suis donc inscrit à une session pour le vendredi et l'ai obtenu du premier coup (inscrit le lundi, code obtenu le vendredi).
Virent ensuite les cours. Après une première heure de "découverte", le prof pense qu'il me faudra 35h de cours au total. Ça me va (je pars de 0). Les cours de plateau s'enchainent et je progresse convenablement, même si je galère sur 2 trucs : le lent et les 1/2 tours. Mi-novembre, le prof estime que j'ai le niveau pour tenter l'épreuve et m'inscrit pour le 25/11. Je reste serein, même le matin du jour J où on va s'entrainer juste avant, puis on va au centre d'examen, où on nous interdit d'entrer dans le bâtiment et on se retrouve à poireauter quasi 1h dehors. À mon tour de passer, et là, je me liquéfie sur la meule ! J'ai droit à deux passages et c'est pas un luxe vu la merde que je fais. À ma grande surprise, le second essai se passe bien alors que je suis toujours autant en panique. Puis vient l'évitement et là l'erreur de débutant : je regarde le cône au lieu de la fin du circuit et je l'explose. C, faute éliminatoire, ajourné, merci d'avoir joué. On peut débattre sur quel plateau était le plus dur, au mois avant, il était séparé 3 épreuves que l'on pouvait refaire indépendamment. Là tu te foires à la fin et c'est toute l'épreuve que tu peux te coller au c... Bref, dépité mais un peu consolé par mes collègues et potes motards, je reprends les cours jusqu'à mon deuxième essai programmé pour le 18 janvier. J'y vais un peu plus serein, déjà parce que je connais la piste désormais, mais aussi parce que j'ai pas mal progressé au lent. Encore 1h à poireauter dehors, sauf que si lors du 1er passage il faisait 10°C, là il fait 2°C ! Et bien sûr pas de gants d'hiver (fortement déconseillés pour le lent de toute façon). De nouveau en turbo-stress quand c'est à mon tour, je fais de nouveau de la merde au premier essai. Je recommence et semble m'en sortir puisque l'examinatrice ne bouge pas (on nous laisse finir le 1er essai quoiqu'il arrive et on nous stoppe au second dès qu'on a un C). Je suis bien parti sauf que je j'ai les mains congelées et j'ai un mal de chien à doser l'embrayage. Et arrive ce qui doit arriver : je lâche trop d'embrayage lors d'un 1/2 tour, élargis ma traj' et franchis la ligne extérieure du plateau : C.
À ce moment, j'ai songé à laisser tomber, à passer à autre chose. Sauf que bon, entre le matos et le permis, j'ai foutu déjà pas mal de thunes là-dedans. Et puis merde, c'est pas un numéro de chien savant à la con qui va m'empêcher de réaliser un rêve de gosse. J'attends néanmoins d'avoir la date de mon prochain passage pour reprendre des cours. Et je vais donc attendre... 9 MOIS !!!!!!!
Covid, service public toujours un peu plus raboté, bref 3 examinateurs pour tout le département, et pour tous les permis (du A au E donc). Je m'étais fait une raison quand je reçois un mail du ministère de l'intérieur fin aout dernier. Oui car depuis juillet 2022, les créneaux d'examens du permis de conduire sont nominatifs et attribués directement par le ministère de l'intérieur. Donc je reçois un mail fin aout (je me souviens, j'étais en train de tailler mes haies) m'annonçant que je suis convoqué pour mon 3e passage à l'examen du plateau le 20 septembre. Je suis à la fois content et apeuré. Quelle gueule va avoir mon niveau après 9 mois sans entrainement ? Curieusement les cours que je reprends se passent à merveille. Je reprends vite mes marques et torche le plateau en pilote auto sans faire aucune faute, m'autorisant même de battre mon personnal best au lent (18,3s). Le jour J, je suis prêt. Le plateau coule de source et j'y crois. Si j'arrive à gérer mon putain de stress, le 3e essai sera le bon. Les emmerdes commencent à l'échauffement sur le plateau d'entrainement, où on se retrouve à partager la piste avec deux autres écoles. À 4 élèves par école, c'est donc 12 meules qui jouent au petit-train sur la piste. Une vraie blague. Mon prof se permet d'ailleurs une réflexion que je n'apprécie pas du tout : "je vous rappelle que c'est du bonus l'échauffement, y a des auto-écoles qui ne le font pas". Je lui réplique : "t'es gentil mais on le paie ton bonus". Bref j'arrive au centre d'examen remonté et ça ne va pas s'arranger car non seulement une 4e école se pointe avec 2 élèves, ce qui porte le total de candidats à 14, mais en plus on apprend qu'on va passer en derniers. Et allez re-poireautage dehors en plein vent et oh c'est pas des gouttes que je sens ?
Curieusement je ne stresse pas, déjà parce que j'ai déjà fait des cours sous la flotte, mais aussi parce que je suis saoulé au plus haut point. C'est mon tour. Allez merde qu'on en finisse !!! Le premier passage se passe bien mais je pose un pied de trop. Je me repositionne et recommence. Je me mets à commenter à haute voix ce que je fais pour rester focus : "allez redescends en 1re, check le cône, hop coup de gaz et regarde la sortie. Voiiiilà ! Il dit toujours rien l'autre abruti ? Parfait on continue". Après un évitement de tout beauté, je m'arrête entre les 4 cônes bleus et attend l'examinateur, le palpitant cherchant à me sortir par la bouche.
"C'est bon, vous l'avez."
Je sais qu'il faut ne pas trop exulter devant les autres, par respect pour les candidats malheureux mais aussi pour celles et ceux qui attendent leur tour. Je suis donc allé derrière le bâtiment pour hurler de joie dans mon casque.
Suite du programme : la conduite. "Tu vas voir c'est une formalité, en plus tu as l'xp du permis B tout ça". Mouais c'est quand même un autre délire, je ne veux pas prendre ça à la légère. Toujours est-il que les 4h de cours de conduite (dont 1h de nuit) se passent royalement. J'ai juste eu besoin de m'adapter à la vitesse sur route. Hé oui, 0 xp en 2 roues à part sur le plateau avec une vmax à 50-60km/h. Du coup débouler à 110 sur nationale dédoublée, ben ça impressionne. Bref, convocation pour l'examen de conduite le 03/11. Allez savoir pourquoi, j'ai pas dormi de la nuit et suis arrivé à l'examen mort de trouille. Et croyez-le ou non, mais dès l'instant où j'ai franchi le portail du centre d'examen sur la moto pour commencer l'épreuve, j'ai laissé tout le stress derrière moi et ai vécu l'épreuve comme une balade.
Et voilà, le verdict est tombé le lundi suivant et me voici désormais titulaire du A2.
Maintenant, il faut trouver la pétoire. Budget limité et pas envie d'une MT-07. J'avais un temps jeté mon dévolu sur la CB650R, mais trop chère même en occase. J'ai découvert alors les SV650. Pas chère, bridable, V-Twin... Hum intéressant. J'en avais même repéré une dans mes prix pas loin de chez moi, mais le temps que je me décide, elle était partie.
Et c'est là que je la vois, fraichement rentrée chez un concessionnaire célèbre du coin. Un collègue m'avait appris son existence et j'avoue qu'elle m'avait tapé dans l’œil : la SV650X, la version café racer de la SV. Mais bon va la trouver d'occase...
Ben elle est là, en super état, dans mes prix, et à 20 bornes de chez moi !
Visite, test par mon collègue car non bridée, négociation bridage/carte grise/support de plaque court, rassemblement des thunes...
Et le 03/12 dernier, la voilà chez moi !
Je n'ai pas eu l'occasion de rouler depuis que je l'ai ramené à la maison (temps pourri et un lumbago bien véner qui m'a bloqué le dos pendant 2 semaines). Vivement ma première vraie balade !
Voilà vous savez tout. Je vous embête pas plus.
edit : j'arrive pas à uploader des photos. Je verrai ça plus tard.
Dernière modification par IrishCarBomb ; 03/01/2023 à 16h40.
GG Irish !!
J'ai fait l'inverse de toi (niveau moto, hein...pour le permis, j'te laisse avec tes aventures). SV650 pas X, puis CB650R.
Et je suis encore sur la CB650R, et c'est de la balle. Mais oui, les prix sont ultra abusés !
Bienvenue chez les funambules de la route. Tu vas avoir peur parfois, mais tu vas kiffer beaucoup.
Envoyé par Kahn Lusth
Bravo!
ça m'a rappelé mon passage... même cas que toi (avec quelques années de plus), jamais mis les fesses sur un 2-roues motorisé avant, et plateau obtenu au 3e essai -- c'est surtout le stress qui est difficile à gérer en effet.
Et plus d'un an pour le passer à cause du covid.
Par contre j'ai réussi à me foirer à la conduite... bon y'a que 98,5% de réussite au premier coup, faut bien des boulets pour se planter
D'ailleurs j'ai été faire une balade le week-end dernier, ben... pas très fun. Pas de neige évidemment, mais les routes mouillées et assez crades, la roue arrière a dérapé au premier virage donc j'ai fait la suite en mettant aussi peu d'angle que possible : pas marrant.
(et je suis revenu, j'ai regardé la pression... 1,5 bars au lieu de 3 normalement, tu m'étonnes que ça tenait pas la route . Chuis un peu con des fois quand même.)
Les photos de la louloute :
J'ai prévu de remplacer l'affreuse cartouche d'échappement d'origine par une de chez IXIL, plus jolie (plus fine en tout cas) et avec un joli bruit tout en conservant un volume très raisonnable (j'aime pas les sons qui arrachent les oreilles comme les pots Akra).
Je ne l'ai pour l'instant que ramené du concessionnaire. Ce fut d'ailleurs une sacrée première : 20 bornes sous la flotte par 4°C et avec un vent de travers. J'ai d'ailleurs pu découvrir que les gants d'hiver tiennent chaud aux mains... temporairement.
Sinon je fut agréablement surpris du confort de cette moto, même avec les bracelets. On est certes un peu plus penché qu'avec un large guidon de roadster, mais moins que sur une sportive (j'ai profité durant mon passage chez le concessionnaire d'être servi par le big boss en personne pour poser mon cul sur une Panigale V4. C'est un délire la position de conduite).