D'ailleurs, Yes Man le film avec Jim Carrey a été réalisé par un yes man hollywoodien, Peyton Reed, réalisateur de Ant-Man après la "défection" d'Edgar Wright.
Vu joker
C'est un très bon film, bonne prestation du phoenix. Mais je reste malheureusement sur mon idée de base c'est à dire de présenter les origines du joker enlève de son charisme. Phoenix est vraiment très bon, le réalisateur maitrise le récit le découpage, le montage, la photo tout est très bon. Mais il présente juste un être immoral, assassin qui se complait dans le crime. En quoi il diffère des films de ce type tels qu'orange mécanique, henry portrait of a serial ciller, American psycho....le contexte général à déjà été présenté de nombreuses fois dans les films Batman, reste le discour final, qui n'a pas ke panache du Dark Knight.
Mais la on présente le joker avec la carte Batman et son univers. Du coup les comparaisons sont obligatoire, et franchement Heath ledger était bien meilleur malgré la formidable prestation de phoenix !
Spoiler Alert!
Film clairement à voir car je ne suis pas sorti déçu. Je le répète c'est vraiment un bon film, mais ce n'est pas le film de l'année, et je ne comprends pas les réactions de tous les critiques.
c'est chiant la 3D
Les critiques répondent aux même mouvements de foule que le reste de la plèbe
Envoyé depuis mon Motorola StarTac et Netscape Mail 5.23
Aarghlb lub blohrub je pourtant clair, ne pas ?
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Ce que vous dites m'a enlevé toute envie de voir le Joker, même si j'étais plus curieux qu'emballé.
Vos spoilers me donnent l'impression d'une histoire de sociopathe quelconque, et pas du célèbre Joker.
C'est dommage car cela reste vraiment un bon film et Todd philipps réalise vraiment très bien avec des scènes magnifique. Le contexte est également intéressent. Mais sans s'appeler Joker (et donc le cadrer avec l'univers DC) cela aurait probablement été mieux ().Spoiler Alert!
c'est chiant la 3D
Ralala, on râle parce qu'on veut des films moins formatés que les Marvel studios, et dès que le film est moins formaté, on râle.
Moi je râle pas, je remercie même toute l'équipe du film pour m'avoir donné envie de me revoir, hier soir, La Valse des Pantins de Scorcese... C'est assez troublant les parallèles entre les deux, pas mal de scènes très similaires, mais vu qu'on n'est pas du tout sur la même trajectoire de personnage, on préférera penser à un hommage plutôt qu'à un plagiat.
Quoi qu'il en soit, putain c'est toujours aussi bon. J'avais par contre souvenir que Jerry Lewis avait plus de scènes, mais non, c'est bien un De Niro show.
D'ailleurs vu que je n'ai toujours pas vu le film je reviens sur plusieurs choses, choses qu'on a tendance à ne jamais regarder en bons experts cpc:
- Directed by Todd Phillips (jusque-là tout va bien)
- Writing Credits : Todd Phillips & Scott Silver (cf notre discussion d'hier)
- Cinematography : Lawrence Sher
- Editing : Jeff Groth
Donc Phillips a bien co-écrit le script, il n'est pas "responsable" de la photo, du cadre ou du montage.
Sans compter que la Warner a sans doute largement pris part créativement dans le film, comme ils l'ont fait dans le DCU.
Pour le moment, sachez que Imdb affiche un score moyen de 9/10 et que Sens critique affiche un score moyen de 8.3 (ce qui est plutôt excellent pour le site).
En complément de Nociné, le RPU (kamui et kwyx) n'on pas aimé le film dans After Hate et que par contre un de mes éclaireurs phares (lol) a publié un article intéressant et flatteur sur SC : https://www.senscritique.com/film/Jo...ique/203571611
Il faut vraiment que je le voie, pour Phoenix, pour mon méchant préféré de tous les temps et pour tout le cinéma des années 70 qu'il semble évoquer.
Sinon, pour ne pas parler de super-caleçon, nous avons découvert hier The Getaway de Sam Peckinpah (Guet Apens).
Sorte de Bonnie & Clyde plus moderne, mais campés par Allie McGraw et Steeve McQueen.
Doc, un braqueur détenu est brisé par la prison. Il demande à sa femme de conclure un marché avec le gros bonnet local pour le faire sortir.
Parmi les contreparties, il doit participer à un coup.
Bien entendu, compte tenu du titre, c'est un coup fourré. Le plan dérape et le couple de braqueurs grippe une machination bien huilée.
S'ensuit alors une course poursuite vers le Mexique, talonnés par les truands et les flics.
J'ai aimé le film. Son exposition en prison sur l'aliénation de Doc est un modèle du genre.
J'ai bien aimé l'ambiguïté des termes de la libération du personnage aussi, qui nous fait comprendre à demi-mot que le ver est dans le fruit.
La préparation du casse puis son exécution sont aussi d'excellents moments du genre, sans doute repris à tire-larigot depuis au ciné comme dans les jv. Peut-être une influence nouvelle vague (Une bande à part ?).
Mais tout est parfaitement maîtrisé : la réal est béton, le montage accentue l'état de tension et le script utilise ces deux moments pour mieux caractériser les personnages.
Petit clin d’œil du Mission impossible de Brad Bird avec l'accès aux égouts depuis un véhicule d'ailleurs. Mais bon, je ne vous apprendrai pas que Cruise a toujours été un grand cinéphile (et fan de Peckinpah).
Dans la suite des péripéties en revanche, j'ai trouvé tout l'acte du train un certain cran en-deçà et le cheminement parallèle du tueur finalement assez vain.
Ok je comprends le message de l'hypocrisie de la classe moyenne américaine, composée de lâches ou de résignés attendant l'électrochoc, mais ça dilue le rythme, surtout pendant ce fameux chapitre un peu longuet.
Le montage de la séquence du camion-benne est aussi assez confuse et répétitive, j'ai trouvé que ça faisait un peu tâche.
Les différentes scènes de fusillades sont sinon très bonnes, concluant la plupart du temps les montées en tension.
Petit trivia : le screenplay est de Walter Hill
Je pense que Walter Hill c'est peut être LE scenariste US de la fin des années 70 jusqu'au milieu des années 80 (avec Robert Towne). Le récent revival des années 80 a permis de revaloriser sa filmographie (au même titre que d'autre oubliés comme Sarafian).
"Elminster this, Elminster that. Give ME two thousand years and a pointy hat and I'll kick his arse!"
Je prend la discussion en cours (navré) mais j'ai pas mal lu cette critique. Je ne pourrais sans doute pas voir le film, mais je ne comprend pas cette remarque. En réalité, Alan Moore l'a fait, de donner une origin story au Joker. Et c'était juste une énorme tarte (à la crème ?) dans la figure. Outre la valse des pantins, le film me fait également penser à Héros, sorti en 2007 et que je n'ai pas eu la chance de voir à l'époque :
http://www.allocine.fr/video/player_...lm=109417.html
"Elminster this, Elminster that. Give ME two thousand years and a pointy hat and I'll kick his arse!"
Regardez The Warriors et Driver, s'il vous plaît
C'était aussi un producteur, notamment sur Alien
- - - Mise à jour - - -
Tout en étant extrêmement insatisfait de son travail d'ailleurs, contrairement à Bolland.
Et il n'était pas le seul, l'origine du joker a toujours fasciné et été réécrite.
C'est d'ailleurs une des grandes qualités du scripts de The Dark Knight, qui en fait un psychopathe affabulateur et presque protéiforme.
Il est la conséquence de la déliquescence d'une société. Le grain de folie que n'importe qui pourrait recevoir. Difficile de dépasser cette écriture je pense.
Et Southern Comfort.
Mais faites l'impasse sur Supernova, vous me remercierez plus tard. D'ailleurs c'est le premier film Hollywoodien où un réalisateur qui s'est senti floué par un studio a eu le droit d'utiliser un pseudonyme qui n'était pas Alan Smithee, ici en l'occurrence Thomas Lee.
Honour, eh? What the hell is that anyway? Every man thinks it's something different. You can't drink it. You can't fuck it. The more of it you have the less good it does you, and if you've got none at all you don't miss it.
Etre insatisfait de son travail, c'est le propre de Moore
"Elminster this, Elminster that. Give ME two thousand years and a pointy hat and I'll kick his arse!"
Je dis cela car tu es obligé de faire la comparaison avec The dark knight et le mystère des origines du joker qui n'est pas révélé. Et présenter un assassin a déjà été fait de nombreuses fois au cinéma il n'y a rien de nouveau. Dans les comics au cinema the dark knight l'a fait avec justement le joker donc rien de nouveau également et Heath Ledger était meilleur. C'est un peu l'un des rare reproche que je ferais au film et au critique qui criait au chef d'oeuvre. C'est un très bon film mais moins impressionnant qu'un orange mécanique, du niveau d'un American Psycho (je ne suis pas toujours fan de la fimographie de scorsese personnellement). Et prétendre qu'aucun film de super heros n'a placé la réalité dans ses paramètre est un peu douteux.
Le mot d'ordre des Batman de Nolan était la réalité, le premier Begins présentait des vilains crédible et le deuxième présentait un Joker magistral qui surpasse la prestation de Phoenix pourtant excellente. J'ai l'impression qu'on oublie un peu vite les films précedents sous pretexte que les films marvels sont arrivés et ont eu un succès indéniable.
Les films Marvel sont volontairement dans le family friendly. Si on veut du plus violent il suffit de regarder les séries Netflix avec par exemple Jessica Jones et la prestation également remarquable de l'homme pourpre.
Dernière modification par Amnorian ; 11/10/2019 à 10h24.
c'est chiant la 3D
En Joker qui devient fou moi j'ai préféré Michael Douglas dans Chute Libre
"I want breakfast !"
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Ou son homologue français : Disiz La Peste !
Pour le Joker, il n'y a pas une sorte de (fan-)canon qui dit que toutes ses origin stories sont fausses ?
En gros ce ne sont que légendes urbaines invérifiables, parce qu'en fait personne ne sait qui est vraiment le Joker, voire s'il n'y en a eu qu'un?
En tout cas j'aime bien, et au moins pour ce cas précis je trouverais ça bien plus sympa que les univers parallèles façon Marvel.
Killing Joke donne une origine au Joker. C'est pas plus déconnant qu'autre chose. Tant que c'est pas canon on s'en fout.
Je ne crois pas que ce soit un canon.
Mais chaque scénariste fait ce qu'il veut sur ce point, du moins de tout ce que j'ai lu.
Le point de départ Red Hood est en tout cas le plus réutilisé, qu'il soit une méprise accidentelle (Moore je crois) ou criminel (Scott Snyder plus récemment).
Aarghlb lub blohrub je pourtant clair, ne pas ?
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Burton a donné une origine au Joker également.
Putain, sérieux l'origin story de Batman, again ?