Pierce a raison.
Les costumes rendent jamais très bien en condition tournage, surtout pour ce genre de scène où le costume doit avant tout être fonctionnel plutôt que joli.
Je sais pas si le petit teaser du costume avait été posté ici :
Je parlais surtout du design de la moto et du costume : ils auront beau éclairer ça dans tous les sens que ça n'y changera pas grand-chose àmha.
Signature Merde !
Les experts CPC ont parlé, ca sera de la merde.
Ces acteurs ne sont pas des joueurs.
Non, on a pas encore vu la version woke de Batman. Peut-être en y incluant la Batwoman de la série qui bide ?
Frozen II. Ce film est une honte. Après l'avoir vu, mon fis me sort que l'eau a de la mémoire. Je lui ai claqué une beigne, pour avoir cru et tenté de propager la pseudo-science de l'homéopathie. C'est quoi la prochaine : dans Frozen 3, Elsa guérit Arendelle du coronavirus à l'aide d'une infusion de verveine dont elle se frictionne le dos au clair de lune, ridiculisant Paszteuhr et sa manie de vouloir trouver un vaccin ?
Pancho Villa, tu n'es pas encore prêt pour la suite :
Aarghlb lub blohrub je pourtant clair, ne pas ?
CA : SW-7075-4159-1225 - Steam : mickakun - https://twitter.com/mickakun
J'ai vu O'Brother des frères Cohen que j'avais, en fait, jamais vu. Pas grand chose à en dire mais c'était bien. Bien feel good.
Et derrière je me suis un peu plombé avec Shéhérazade et heureusement, pour le moral, que ça finit à peu près en "happy end".
Film naturaliste, acteurs non professionnels mais justes.
Marseille, vie des quartiers. Une histoire d'amour dans une vie dure comme un caillou.
J'ai pas trop de recul mais c'était bien.
Je fuis les films avec acteur non-pro depuis L'esquive.
Vu Le cas Richard Jewell de Clint Eastwood.
J'ai beaucoup aimé. Pas mal de tension lors de certains passage grâce à de très bon dialogues, j'ai été agréablement surpris par les petites touches d'humour qui arrivent à s'y caler sans pour autant casser les enjeux ou diminuer l'impact des scènes, ce sont même des moments de respiration bien venu.
Les deux perles du film sont Sam Rockwell et Paul Walter Hauser. Le premier pour son personnage mordant et le second pour rendre attachant ce Richard Jewell un peu benêt mais plein de bonnes attentions qui ne se rend pas compte qu'il est entouré d'une meute de prédateur du FBI qui ne cherche qu'à le massacrer.
Eastwood n'est d'ailleurs pas très tendre envers le FBI, ce sont tous des connards complètement aveuglé par l'envie de condamner Jewell par tout les moyens possible, jusqu'à trouver des explications improbables pour combler certains trous dans leur accusation. Les journalistes prennent cher aussi. Assoiffé par le scoop, Kathy Scruggs ( incarné par Olivia Wilde ) n'hésite pas à coucher pour obtenir des informations et se comporte comme une véritable connasse( et lorsqu'elle se rend compte que Jewell ne peut qu'être innocent, elle n'a pas vraiment de revirement de caractère hormisavant de disparaître quasi complètement du film ) et les autres journalistes sont des silhouettes harceleuses qui campent devant la maison des Jewell pour obtenir des infos.Spoiler Alert!
Je ne sais pas comment ça c'est passé en vrai mais pour la partie FBI, je ne serais pas étonné qu'ils aient eu ce genre d'attitude.
Le film contient aussi quelques moments touchant, là aussi grâce au jeu de Paul Walter Hauser.
Je n'ai pas vu de film de Eastwood depuis Gran Torino, qu'est ce qu'il y a eu de bien entre ça et Richard Jewell ?
In before pseudoridicule " gran torino c'est de la merde"
La mule c'était bien. J edgar aussi c'était sympa de mémoire mais j'avoue que je m'en rapelle plus des masses.
Puise qu'on est en mode "canard déprime", laissez-moi rajouter une pierre à l'édifice avec un morceau dont le titre est dans le ton (même s'il n'est pas issu d'un film - je recommande chaudement ces albums "solo") :
Et un bonus un morceau tragique de Varmints et regroupé sous le disque joliment nommé : And in the Endless Pause there Came the Sound of Bees - City Building (Alternate Version)
Ambiance, ambiance !
Pas le temps de faire des retours complets sur mes dernières trouvailles / pépites / ou pas, alors je mets des petites notes (qui reflètent mon appréciation, pas la qualité des films) :
- Kiki la Petite Sorcière d'Hayao Miyazaki (7/10)
- Jojo Rabbit de Taika Waititi (7/10)
- Violet Evergarden de Haruka Fujita (5/10)
- Millenium Actress de Satoshi Kon (9/10)
- Un Enfant Attend de John Cassavettes (8/10)
- Nouvelle Donne de Joachim Trier (8/10)
- Au Loin S'en Vont les Nuages d'Aki Kaurismaki (7/10)
- L'Homme de Rio de Philippe De Brocca (7/10)
- Le Gouffre Aux Chimères de Billy Wilder (8/10)
- Angel Heart d'Alan Parker (8/10)
- Good Time des frères Sadfie (7/10)
- Quatre Mouches de Velour Gris de Dario Argento (7/10)
- La Favorite de Yorgos Lanthimos (7/10)
Globalement une très bonne semaine.
J'ai commencé à lire Tués par la Mort de Lelo Jimmy Batista, c'est très con, bien écrit et très drôle.
À 20€ le morceau, ça fait une idée de cadeau originale pour un cinéphile.
J'ai vu My Blueberry Nights hier soir.
Alors, je ne suis pas fan de Wong Kar Wai de manière générale mais j'ai bien aimé la mise en scène dans ce film, qui était tout à fait appropriée au thème mais pas forcément excellente non plus. Du coup j'ai apprécié le film pour ce qu'il était, c'est à dire une quête initiatique. Je crois que c'est surtout que le sujet me parlait énormément et que j'avais besoin de voir ce film. Il est arrivé au bon moment.
Vous savez, c'est un peu comme un livre ni bon ni mauvais qu'on lit avec plaisir, en sachant qu'il est truffé de défauts et qui tout à coup vous parle malgré ce qu'il est.
J'ai eu cette sensation avec ce film. Il n'y a pas réellement de profondeur, il y a même un aspect très léger et la protagoniste principale est creuse au possible mais la quête dans son ensemble m'a fait du bien. Ce film se tient d'ailleurs uniquement sur ses personnages secondaires.
Bref, j'ai bien aimé, surtout parce que j'ai rangé mon esprit critique.
C'est un peu le genre de films que je pourrais regarder avec plaisir, pour me faire du bien, le genre de film que l'on aime de manière inavouable.
J'ai pas de gosses, et j'arrive à peu près à visionner un épisode de série (on va dire 40-50 minutes) par jour, peut-être deux une fois par semaine (l'équivalent d'un film au format classique, d'avant que la durée moyenne dépasse 2h). Plus que ça, j'aurais du mal; même regarder un film de 1h30 par jour en semaine, ce serait beaucoup.
Vu Uncut Gems de Benny et Josh Safdie
Howard est un joaillier new-yorkais et intrépide : addiction aux paris sportifs, vente aux enchères, prêt sur gage & co. Alors qu'il s'approche de la fortune, son entourage lui demande des comptes...
J'ai bien aimé alors que je suis plutôt lassé des films de "loser". La formule habituelle est modifiée par petites touches qui font la différence et ont relancé mon intérêt.
La scène horripilante typique du genre : le protagoniste qui se tire une balle dans le pied, on le voit venir avant lui et c'est une souffrance physique (tabassage d'accoudoir ou grignotage d'ongles au choix). Sauf qu'ici, le personnage est un excellent parieur : du coup on se laisse prendre au jeu et les coups de théâtre arrivent par des portes dérobées.
Il y a aussi une petite pointe de fantastique (?) et là encore, ça change très légèrement la formule pour se laisser séduire. J'étais à fond dans les matchs de basket, sans me dire que ça allait foirer.
Le numéro d'Adam Sandler dépasse le cabotinage très travaillé pour faire une performance. Son jeu est varié et il arrive à être touchant malgré son côté pathétique. On voit bien le plaisir qu'il a à prendre des risques mais aussi sa tristesse de se faire rabrouer par sa femme.
Par contre j'ai été agacé par une certaine tergiversation du scénario. Le personnage interprété par LaKeith Stanfield est une vraie source de frustration, trop de temps perdu avec cette histoire d'opale à récupérer (oui mais non et puis oui sauf que non...). Pourtant j'aime bien cet acteur, là c'est difficile à supporter.
Je le conseillerais aussi.
Jeux du moment : TEKKEN 8