Même si c'est mieux qu'avant, il y a toujours des bosses. D'ailleurs, c'est en partie à cause de ça qu'il y a des zones ou il y a des belles flaques d'eau.
Et c'est pas qu'il n'évacue pas mieux que l'ancien, c'est qu'il évacue rien du tout.
Quand ils ont annoncé le report du départ, la voiture de sécurité s'est mise à tourner sur la piste. Et ben y'a plein endroits ou elle partait facilement de l'arrière...
Envoyé par Kahn Lusth
C'est la même société qui a resurfacé le circuit qui a posé l'asphalte sur les autoroutes avoisinant la région. Et devinez quoi ?
Ben il vaut mieux prendre la départementale quand il pleut apparemment...
Achètes une GS500 d'avant 2000. Ca fait 45cv, ça te suffira largement pour le moment, ça coute quel dalle (1000€ en TBE), c'est fiable et si tu la casses, ça te coutera pas un rein pour la réparer.
C'est léger et réactif, ça se faufile partout.
Clairement le chassis est mou, mais pour commencer c'est pas plus mal. Si vraiment tu te sens limité, tu pourras toujours dans le futur changer les ressorts de fourches ou les amortos.
Et d'ici 1 à 2 ans tu passes à autre chose. Tu auras alors plus de bornes dans les pattes, et tu pourras mieux choisir la moto en fonction de tes gouts.
Personne n'a demandé un sous titre pour Scie_sauteuse ?
Je verrais bien "Clique droit".
Pas de raison qu'il y ait que Vaan qui garde un sous titre de l'irl.
Envoyé par rapport de la Délégation générale à la langue française et aux langues de France
L'antidribble (ou je sais plus quelle option) rend pas l'opération plus galère à faire ?
Moi j'aurais vu Bouftou, parce que vu comment on a du la retenir à trois pour pas péter la gueule au gars qui lui a pas super bien parlé alors qu'elle avait faim...
J'ai pas de paint, mais une belle allégorie :
- - - Mise à jour - - -
Pas d'antidribble sur la sienne.
- - - Mise à jour - - -
Jamais essayé. Par contre démarrer sans câble d’embrayage j'ai déjà fait !
Retex de ma journée piste :
C'est fait ! Veni, vidit, vicit
Plus sérieusement, j'y suis allé sans me prendre au sérieux, juste pour le fun et la rigolade et j'ai a-d-o-r-é !
Les sensations sont assez indescriptibles tellement c'est énorme. C'est à la fois un mélange d'effort physique intense, de concentration, d'excitation et d'adrénaline mais aussi de peur, de remise en question et d'humilité. Franchement, si vous avez la possibilité, faite le. Quelque soit votre machine d'ailleurs, il y avait des trucs exotiques chez nous (Varadero 1000, 990SM et d'autre choses encore plus WTF) et ça ne les empêche pas de rouler fort et bien.
Retournons au début, en ce Samedi après midi dernier. Je sors de chez mes parents, sac sur le dos, carré mat' attaché sur le côté et un sac avec le pain et les viennoiseries arnaché par dessus avec des filets araignée. J'ai sorti les bottes racing (Forma Ice Pro), mon nouvel AGV K1 et mon cuir habituel. Direction l'aglo Tourangelle pour rejoindre mon pote. 25min plus tard, je passe devant chez lui en lâchant une floppée de Pop-pop-pop-pop de mon échappement, généreux en retour, même avec ses deux chicanes. Plein vite fait et retour dans la cour.
Le camion est déjà là et on attend le troisième larron qui arrive de RP avec un VFR 800 RC46. On en profite donc pour charger la première moto, qui n'a pas assez d'autonomie pour faire la route derrière, c'est à dire la MT01 (non, non je ne me suis pas trompé dans les chiffres). La montée de la bête est facilité par la descente et la superbe rampe de chargement, provenant d'une ridelle de tracteur #ManouchStyle tient parfaitement le choc. Le sanglage de la moto se fait de manière sommaire. Roue en butée devant, guidon contre la carrosserie avec un petit chiffon pour protéger et sangle au cale pied, "comme en motocross" dixit mon pote plus terreux que pistard. Le VFR ne se fait guère attendre, il arrive dans la demi heure qui suit, lui aussi avec le #ManouchStyle, c'est à dire en roulant qu'avec le rétro de droite, le rétro gauche était déjà démonté pour mettre la GoPro
Venant de Paris, il refuel à la station juste à côté avant de charger (détail important) et on charge la moto exactement comme l'autre. On cale un peu tout comme on peu dedans et let's go ! Je suis derrière sur mon ER6 jusqu'à l'autoroute, ensuite on échange de position et je repasserai derrière à la sortie. On aura pas roulé longtemps avant le premier arrêt technique. 10min après le départ on se met sur le bas côté. Le superbe sanglage n'était pas forcément des plus adapté et les guidons ont tournés... On solutionne rapidement le truc et on repart. Le trajet se passe sans encombre jusqu'à Poitiers, moment où le temps décide de se jour de moi.
Ceux qui suivent mes quelques récits (ou pas), savent que j'aime bien l'humidité et que je ne suis pas dans mon état naturel quand je ne prends pas une drache sur mon trajet. Ça n'aura pas loupé. Une pluie légère à moyenne jusqu'au circuit. Coup de chance le cuir n'a pas trop trempé, à part les gants
On s'installe, formalités administratives, déchargement des bécanes et apéro avant un petit barbeuq'. On a fait dans le soft, un peu d'alcool mais en quantité raisonnable... Ce n'était pas forcément le cas de certains de nos voisins. Je trouve ça dommage tellement ça fait cliché du beauf' que l'on se traine. Je pense notamment au gros rasso style Bol d'Or, 24H moto, etc... Après le BBQ, atelier mécanique. Démontage des rétros, des chicanes et application du scotch sur mes phares avant et ma plaque, plus pour le style que par obligation (laissé au choix des pilotes le masquage des optiques). Je laisse le feu arrière bien en évidence, pour éviter tout collision au freinage.
Sur place on est 5 motards avec un peu de famille. Deux camions, un camping car, une caravane, donc on se répartie pour dormir et je prends notre camion. Carré mat', matelas quechua, sac de couchage et parfum SP98
Et oui, le VFR était plein complet... ça s'est vidé par le trop plein et donc j'ai gagné un formidable parfum gratuit. Heureusement que l'on avaient aéré avant et que l'odeur était supportable. Chasse aux caries, douche (installation tip-top, vraiment je m'attendais pas à ça) et dodo. Plutôt court. Le sol dur se rappelle à mon dos fragile, l'excitation me fait me réveiller à 5H et ne pas réussir à me rendormir jusqu'à 7H. Levé en avance à pile j'en profite pour ranger tout mon bordel et activer le mode "préchauffage corporel" du cuir aka au contact de la peau. Dehors il ne pleut plus mais il fait frais et un brouillard épais est installé. Briefing à 8H30, les débutants on vient avec les bécanes étant donné qu'on part dans la foulée.
Consignes habituelles (je suppose), drapeau, chute, toussa, toussa. Les marshalls font un tour de reco et malgré la présence de brouillard sur une partie du circuit et d'une piste un peu humide c'est ok. Pitlane, feu rouge. Contrôle des dorsales par un membre de l'organisation et feu vert ! Braaaaaap, brappppppp, Braaaaaapppp et on arrive déjà au premier virage. On se contente de suivre tranquillement les marshalls, moi je découvre le circuit. Assez technique et n'ayant pas de grandes, grandes lignes droites (heureusement pour moi). Ayant une des machines, voir même sûrement la machine la moins puissante du paddock c'était pour moi plus des traversés du désert qu'autre chose. Le 170 compteur passe en fin de ligne droite mais synonyme d'un "petit" 150 Vréel avec mon PSB-1. Je ressors de la première session, pas transcendé du tout. J'ai fait de la figuration, chaque virage me saute à la gueule, je sais pas trop quoi faire sur la piste et ça ressemble sûrement à du grand n'importe quoi vu de loin.
La deuxième session se passe un peu comme la première. Je n'ai pas encore pris mes repères. J'essaye de déhancher au départ mais je me fatigue vite et au final je décide de rester bien assis dans le fond de ma selle. Comme je fais dans les petits cols Auvergnats. Cette technique n'est pas franchement une réussite
Il y a une fille avec un Z750 qui est un peu comme moi, en galère et un marshall l'accompagne. J'arrive, je la double (la seule personne que je doublerai de la journée ) et le marshall décide de me prendre en main. Il me fait signe de le suivre, j'accepte ma mission.
On arrive sur le droite gauche avant l'épingle gauche (mon côté faible) qui permet de rentrer sur la pitlane. 3 - 2, frein, tête-regard l'épingle se rapproche, je penche du mieux que je peux pour suivre mon chien jaune "SCRATCCHHHHHHHHHH"
Le cale pied frotte, je suis surpris, je redresse complètement, vibreur et bac à gravier. Arrivé bien droit, j'en ressors tout seul dès que la voie se dégage et je termine ma session la peur au ventre et en signant mon meilleur chrono, 1'32''
Les deux autres pilotes roulent avec une Panigale (sûrement une 899) et un CBR600, le premier en confirmé et le deuxième en expert et profitent pour nous donner des conseils. On ne déhanche pas assez. Les photos sont parlantes, on dirait que l'on va acheter la baguette chez le boulanger ou que l'on se promène dans les bois pour chercher des champignons. C'était pas comme ça dans notre tête
On va essayer tant bien que mal de mettre en pratique les conseils.
La troisième session ira vite, 2 tours avant un drapeau rouge. Moto et pilote à terre en plein milieu de la piste... Retour au stand, pause du midi et débriefing avec les copains. L'autre barge en MT01 roule dans les 1'20, celui au VFR passe en intermédiaire, avec des temps en dessous des 1'15. Ils ont bien réussi la mise en application des tips. De mon côté il y a de l'idée mais ce n'est toujours pas ça. Pourtant dans certains virages je le sens le genou pas loin du sol.
La première session de l'après midi sera l'occasion pour moi de naitre à nouveau. Et oui Messieurs (et Mesdames), j'ai posé le genou !!!!!
Convaincu que je ne déhanche pas assez je décide de m'appliquer et le tour de chauffe se transforme en "demi-tour". J'attaque, couteau entre les dents. Ligne d'arrivée, 3-4-5-6 FREINNNNNNN 6-5-4-3-2 genou, nan ça passe pas, il manque pas grand chose. Je ne me décourage pas, gauche, droite, droite 3-4-5-6 FREIN 6-5-4-3-2 gauche, droite 3-4 FREIN 4-3-2, genou. Cette fois c'est la bonne, je le sens ! Je me jette complètement à côté de la moto et le miracle ce produit "CRATChhhhhhhh". Cette sensation
L'impression de vitesse étant donné qu'on est au ras du sol, le petit frottement, c'est franchement le kiff total. J'ai laissé durer le moment et je n'ai pas redressé du tout la moto, pas plus surpris que ça du phénomène (c'est comme un cale pied qui frotte, niveau sensation) et j'ai décidé de rempiler ça le plus vite possible. Et forcément ce qui arrive dans des moments comme ça c'est le foirage. Premier virage après la ligne des stands, c'est un gros droite en 2 parties. J'ai voulu faire frotter encore une fois, je rentre dedans beaucoup trop court. Je me focalise sur la 1ère partie et le vibreur me tend les bras. Pour l'éviter qu'une solution... Tout redresser, passer sur le vibreur en face et terminer pour la deuxième fois dans le bac. Sans dommage et je repars dans la foulée, un peu refroidi. Sans compter que la tentative de poser de genou à gauche se traduit par un méchant frottage du cale pied, signe que je n'ai pas encore la bonne position de ce côté. Même les meilleurs choses ont une fin, le drapeau à damier vient me le rappeler. Retour au stand fier comme un paon, de montrer que moi aussi j'avais frotté et plutôt bien tourné avec des tours presque tous en 1'35'', preuve de ma régularité à défaut d'être efficace (1'18' pris par le Monsieur en VFR quand il avait une GSE500).
La dernière session ne viendra que confirmer celle d'avant. Je ne me lasse pas de faire frotter le slider droit. Le gauche pas du tout, je manque de me coller un highside à vouloir absolument le pencher. L'arrière a décroché et raccroché de suite, j'ai touché le vibreur mais sans dommage. La Madame en Z est revenue sur le plateau (je pense que c'est elle qui se l'est collé le matin) et elle représente un obstacle infranchissable. En ligne droite mon bi amputé de la moitié de ses poneys ne peut pas suivre le 4 pattes orangé. En virage je suis obligé de freiner pour ne pas l'emplafonner... Et comme je ne suis pas le seul client derrière elle, c'est trop risqué de tenter le diable. Après on n'est pas des Rossi, moi même étant très lent surtout comparé à un fou roulant en confirmé avec une CB500 qui saucissonne dans tous les sens et qui la colle à des sportives, et on est surtout là pour s'amuser. Les 2-3 fois où on a été bloqué derrière elle, elle nous a laissé passer en s'écartant gentiment et en faisant signe donc pour une fois que j'avais quelqu'un avec qui jouer un peu, je ne vais pas m'en plaindre. On rentre après une bonne session de 25min... sous drapeau rouge malheureusement. Un mec a dû se la coller pendant le dernier tour
La suite est moins gaie, remballage des affaires, sanglage des motos (cette fois avec plus de professionnalisme), à renfort de rilsan pour bloquer les chiffons au niveau des guidons et le levier de frein. sangle à l'arrière pour éviter que les roues bougent. Le résultat aura été parfait, RAS en 170km. Pour rentrer chez moi, pressé par l'horaire (arrivée 20H, 30' de déchargement, 20' de route pour rentrer avant de prendre 3H de voiture pour être au boulot le lendemain) j'ai fait le minimum. Rétroviseur gauche en place, scotch arraché. Chicanes et rétroviseur droit dans le sac et en avant ! J'vous raconte pas l'ambiance Moto GP en échappement libre le soir Il n'y a pas eu Silverstone, je l'ai refait pour les riverains (je sais c'est pas bien, mais j'étais pressé). Le posé de genou en moins et la vitesse bloquée à 30km/h max au dessus de la limite... Pour garder le papier rose en cas de rencontre mal venue avec des hommes en bleu. La pire dans l'histoire c'est aussi que j'avais complètement zappé que j'étais en pression piste, 2.1 et 1.9 bar. Je m'en suis rendu compte sur le trajet...
Si je dois faire le bilan de cette journée, il est extrêmement positif. J'ai adoré l'ambiance dans les paddocks, à la familiale. Plein de gitans ensemble c'est beau
Ce n'est pas un cas général, certains ils sont pas là pour enfiler des perles et ça se voit bien ! L'appréhension du départ a complètement disparue et moi qui pensais que je roulais un peu fort sur route me rend compte qu'au final rien du tout. Je sais pas si ça va me vacciner ou pas cette journée même si j'en ai pas trop l'impression. En revanche j'apprécie le côté "sécurisant" du circuit à la fois avec le bitume bien accrocheur, le dégagement possible, l'absence d'obstacles et la présence humaine pour la sécurité immédiate. Il n'y a pas non plus le petit côté "conscience" sachant que sur route ouverte si je pousse en fond de 3 je perds le permis alors que là je peux ouvrir en grand sans me poser trop de question.
Objectivement, mon pilotage est trop "brouillon" pour être efficace, ce qui explique mon chrono que je qualifierai de "mauvais". J'ai du mal à sentir la moto si je tombe en dessous de 7000/8000RPM et je passe souvent mes rapports à 9000 (rupteur à 11500), donc je retombe en dessous de cette plage. Ça fait que je me traine en 2ème dans pas mal de virages et c'est pas top niveau vitesse. Typiquement le gauche droite, droite après le gros virage de la ligne des stands c'est là que je perds du temps. L'autre point, que j'ai corrigé, c'est la peur du dribble. Souvent je donnais le coup de gaz, ce qui me fait perdre du temps. Au final même en rétrogradant comme un cochon, ça passe large. Terminé le coup de gaz, faut que j'arrive à prendre l'habitude maintenant.
Niveau freinage c'est nul, je freine trop avant, pas assez fort et dès que j'arrive trop vite j'ai le réflexe de prendre le frein arrière.
Les trajectoires c'est pas toujours ça mais dans l'ensemble je trouve que ça peut aller.
L'autre gros point à améliorer c'est la chronologie. Souvent je freine, rétrograde, droit comme un i avant de déhancher et d'amorcer mon virage. Perte de temps et d'efficacité.
Voilà pour ma critique personnelle.
L'autre point frustrant, qui m'a même extrêmement frustré c'est les lignes droites. Autant c'était joussif de se coller derrière la bulle, les coudes dans les carénages, de faire "comme les vrais", d'avoir le bruit (monstrueux en échappement libre sur mon ER6) BRAAAAAAAAAAA *petite coupure lors du passage à la volée* BRAAAAAAAAA * BRAAAAAAAAAAAAA mais qu'est ce que je me trainais. Se faire ouvrir en 2 par toutes les meules c'est pas cool.... surtout pour les rattraper au freinage (et ne pas arriver à les suivre). Mais je ne regrette pas non plus de ne pas avoir débridé, je pense que passer au double de la puissance aurait été juste suicidaire pour moi. Et de toute façon j'ai de la marge, je peux descendre d'une bonne dizaine de seconde en soignant mes défauts.
Maintenant je n'ai qu'une envie ! Retourner sur piste le plus vite possible. Je veux retrouver ce mélange d'excitation, de fatigue physique et mentale. Ce halètement lorsque l'on se bat avec la moto pour en faire ce que l'on veut. Le son, l'ambiance, le racing, la fracture des rétines de façon continuelle devant les brêles de piste. Mention spéciale à la V4S des marshalls. Un MONSTRE à tous les niveaux, le bruit du V4, le pop du shifter, la roue qui se lève H24
Peut être pas en roulage mais plus sur un stage de 2 jours, pour pouvoir être conseillé et pouvoir progresser avec les exercices péda de l'encadrement. Le passage en A étant prévu l'année prochaine (2 ans de permis en Novembre), la Kawette arrivant à 52 000km, terminera sa vie sûrement sur piste. En rentrant d'OPEX l'année prochaine je la dépouille des carénages, durites avia, pneus qui vont bien, ligne d'origine (le crêve coeur), vidange de fourche et en avant Guingamp. La remplaçante je sais pas encore, soit une VFR800 soit une supersport en 600, je sais pas trop. Comme je ne veux pas exclure le duo, je pense que ce sera VFR.
Quelques photos en attendant les photos officielles et celle faites par nos spectateurs :
Nos motos le matin avant la première session
Les premières marques sur le slider
Le road 5 bouloche pas mal sur les côtés
Cool que ça t'ai plu
Par contre, un conseil qu'on m'avais donné, c'était de commencer par un stage et pas par des sessions libres. Même court, genre 1/2 journée. Juste histoire d'avoir les bases de la trajectoire et surtout de la position, histoire d'éviter les frayeurs que tu as pu avoir à vouloir absolument toucher le genou...
Du coup, je te renouvelle le conseille : hésite pas à faire un stage pour éviter de prendre des mauvais réflexes ou de mauvaises habitudes, c'est plus facile de corriger au début qu'une fois les habitudes installées
C'est malin, ça me donne encore plus envie de m'y remettre.
En fait, il suffit de prendre une meule japonaise de cylindrée moyenne, un peu ancienne et pas trop puissante.
Plus jeune j'aimais bien le Bandit. En 400 ce serait drôle