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  1. #9661
    Mais du coup, ils vont prendre Dave Bautista pour jouer Catwoman?
    Et donc quand tu chies beaucoup , ça veut dire que tu manges beaucoup, et ça veut donc dire que tu est riche, CQFD

  2. #9662
    Citation Envoyé par pseudoridicule Voir le message
    Mais du coup, ils vont prendre Dave Bautista pour jouer Catwoman?
    Bautista - Catwoman.
    The Rock - Edward Nigma.
    Joker - Cara Delevigne.
    Alfred - Gaten Matarazzo.
    Batmobile - Renault Zoé.

  3. #9663
    Citation Envoyé par pseudoridicule Voir le message
    Télérama n'a pas aimé. Perso, il ne m'en faut pas plus pour me motiver à voir le flim.
    M'en fout de Télérama, mais cet avis m'a laissé blême :



    Emission de radio Friday Rocks sur Radio Sud Manche : ici
    Ma page de memes : AutisteReddingPhotoshops

  4. #9664
    Citation Envoyé par pseudoridicule Voir le message
    A noter que Keaton n'a pas fait de gonflette pour incarner Batman. Il était relativement petit en plus. Donc Pattison peut très bien s'en sortir en ayant un physique plus conventionnel que les corps boursouflés proposé par Bale et Affleck. Un Batman plus agile et se concentrant enfin sur son cerveau plutôt que sur ses muscles, ça serait un changement bienvenu.
    D'ailleurs à la sortie de Batman avec Keaton, Sly disait que c'en était fini du vrai film d'action maintenant que n'importe quel gringalet pouvait faire ce genre de films en combinaison.

  5. #9665
    Je suis allé le voir hier The Dead Don't Die, le truc c'est que j'avais extrêmement peu dormi la veille donc j'ai rattrapé pendant une très grande partie du film. J'ai trouvé ça longuet pour le peu que j'ai vu. C'est très méta, ça s'auto - référence sans cesse, les running gags sont vite lourds... Après j'avais peut - être pas le bagage cinématographique nécessaire pour apprécier cette oeuvre.

    Bref, vive la carte UGC illimité.
    Steam Bnet : Croustimiel#2275 Uplaie : CroustimielCPC NintendoID : Crousti /1822-4842-7313 #Grenouillère2015

  6. #9666
    Citation Envoyé par Pancho Villa Voir le message
    D'ailleurs à la sortie de Batman avec Keaton, Sly disait que c'en était fini du vrai film d'action maintenant que n'importe quel gringalet pouvait faire ce genre de films en combinaison.
    Il doit être rassuré maintenant que n'importe quel gringalet peut prendre 50kg de muscles pour un flim d'action. :MCU:

    - - - Mise à jour - - -

    Citation Envoyé par Croustimiel Voir le message
    Je suis allé le voir hier The Dead Don't Die, le truc c'est que j'avais extrêmement peu dormi la veille donc j'ai rattrapé pendant une très grande partie du film. J'ai trouvé ça longuet pour le peu que j'ai vu. C'est très méta, ça s'auto - référence sans cesse, les running gags sont vite lourds... Après j'avais peut - être pas le bagage cinématographique nécessaire pour apprécier cette oeuvre.

    Bref, vive la carte UGC illimité.
    Du pur Jarmush donc. A se demander ce qu'attendaient les critiques pros.
    Et donc quand tu chies beaucoup , ça veut dire que tu manges beaucoup, et ça veut donc dire que tu est riche, CQFD

  7. #9667
    Citation Envoyé par Stratosfear Voir le message
    ...

    Quitte à rebooter une troisième fois Batman...
    ...on va finir par les appeler "le batman de 1989", "le batman de 2020", "celui de 2023" etc...
    Signature Merde !

  8. #9668
    Citation Envoyé par Haleks Voir le message
    ...on va finir par les appeler "le batman de 1989", "le batman de 2020", "celui de 2023" etc...
    Ça serait cohérent avec "le batman de 1966" (à jamais dans nos keurs)

  9. #9669
    Citation Envoyé par Couyu Voir le message

    Ça a été le même cirque avec Batfleck (moins violent ceci dit).

    Pattinson a largement démontré qu'il savait jouer depuis Twillight (High Life, Life, The Rover, Good Time, Cosmopolis, Maps to the Stars, Lost City of Z).
    Puis on se branle de votre avis bande de cons. À un moment il faudra le dire aussi.
    This ! Et depuis que je l'ai vu dans Lost City of Z je suis épaté par cette acteur. Je le soupçonne avoir un succès similaire à Léonardi Dicaprio (dans le sens : avoir rôle de minet qui deviens populaire et qui lui colle à la peau avant de montrer une panoplie de rôle bien large et convaincant)

    Mais ça va beaucoup dépendre du film en lui-même
    Aarghlb lub blohrub je pourtant clair, ne pas ?
    CA : SW-7075-4159-1225 - Steam : mickakun - https://twitter.com/mickakun

  10. #9670
    Citation Envoyé par Stratosfear Voir le message
    Moi j'laisse ça là, démerdez-vous avec.

    Et démerdez-vous avec les pétitions de fragiles qui sont déjà en ligne.
    Je pense que ce serait un bon choix pour un jeune Batman. Il a largement démontré qu'il savait jouer.
    Citation Envoyé par nAKAZZ Voir le message
    J'en arriverais peut-être à sortir des trucs du genre : "J'ai été vilain" ou "Punis-moi".

  11. #9671
    L'Empereur de Paris

    Toujours étonné par cette capacité française à positionner des films à une époque intéressante, en y mettant les moyens, pour finalement obtenir un résultat chiant. Et pour ne pas aider la plupart des acteurs sont aux fraises. Une vraie réussite.
    Honour, eh? What the hell is that anyway? Every man thinks it's something different. You can't drink it. You can't fuck it. The more of it you have the less good it does you, and if you've got none at all you don't miss it.

  12. #9672
    La pétition à faire ce serait plutôt de demander à Pattinson de ne pas perdre son temps à faire un Batman.
    (bon après il a peut-être besoin d'un gros paquet de frics, une envie de monter sa boîte de prod' ... ça deviendrait acceptable)

  13. #9673
    Citation Envoyé par Pierce Inverarity Voir le message
    La pétition à faire ce serait plutôt de demander à Pattinson de ne pas perdre son temps à faire un Batman.
    (bon après il a peut-être besoin d'un gros paquet de frics, une envie de monter sa boîte de prod' ... ça deviendrait acceptable)
    Ou juste l'envie de jouer Batman :D
    Aarghlb lub blohrub je pourtant clair, ne pas ?
    CA : SW-7075-4159-1225 - Steam : mickakun - https://twitter.com/mickakun

  14. #9674
    Dites, j'ai pas vu passer l'info mais voici ce que ces deux gamins de plus de 60 balais ont fait au festival de cannes :

    https://twitter.com/cinemacanalplus/...23836011646978

    Ils sont tellement forts Chabat et Darmon <o/

  15. #9675

  16. #9676
    Sclérose en plaque ... (il l'avait annoncé déjà à l'époque de Comédie, je crois)

  17. #9677
    Après que son nom ait été mentionné ici, et vu que j'en avais vaguement entendu parler, en bien, j'ai regardé Mademoiselle, disponible en VOD sur le site de Arté.

    A part le fait que le film avait des retours excellents, et la lecture d'un pitch de 2 phrases sur internet, je ne savais rien du film. Et c'est plutôt heureux, parce que la découverte a été plus que plaisante. Je m'attendais à tout sauf à un film de ce "genre" (et je ne parle pas (que) de l'érotisme), et j'ai réellement adoré. Un gros coup de cœur.

    Merci à ceux qui ont partagé le lien, du coup.
    Globalement, tout ce que vous dites me conforte dans mon avis.

  18. #9678

  19. #9679
    4 messages plus haut, 5 heures plus tôt.
    Globalement, tout ce que vous dites me conforte dans mon avis.

  20. #9680
    Allez, pour me faire la main sur l'écriture, je colle ici mon avis plus travaillé sur Pokémon : Détective Pikachu (sur mon SensCritique), film qui comble parfaitement toutes mes attentes de vieux jeune nostalgique :

    (C'est sous balises car un peu long, mais ça ne spoil rien du tout)

    Spoiler Alert!
    Pokémon, licence la plus rentable de tous les temps qui vient tout juste de fêter ses 23 ans et qui ne s’est jamais aussi bien portée. La franchise a marqué toute une génération de gamins nés au début des années 90 et continue de vendre des palettes de jeux vidéo et de produits dérivés dans le monde entier, en battant les précédents records à chaque nouvelle sortie, preuve s’il en est que les Pokémon traversent les années et les générations sans s’essouffler. Il aura donc fallu attendre plus de deux décennies pour voir débouler un film en live action sur nos écrans. Et c’est Hollywood et plus précisément Legendary qui s’y collent, avec la lourde de tâche de combler les attentes des fans les plus nostalgiques en même temps que son public cible : les enfants. Ajoutons à cela que les adaptations cinématographiques de jeux vidéo n’ont, à quelques exceptions près, pas bonne presse. Les voyants sont donc loin d’être au vert, alors, Pokémon : Détective Pikachu réussi-t-il là où bien d’autres ont échoués ?

    Pika-chou.
    Alors évoquons tout d’abord l’objet cinématographique en lui-même, car ce n’est pas ici qu’on lui trouvera ses plus grandes forces. Rob Letterman est à la réalisation, pour mettre en image un scénario écrit à 8 mains, adaptation du jeu vidéo éponyme sorti en 2016, sans grand bruit (contrairement aux épisodes plus classiques de la série). Si le film maîtrise particulièrement bien son rythme, en offrant aux spectateurs une aventure qui ne provoquera aucun ennui, la mise en scène ne marquera pas. Le film pêche par manque d’audace, dommage car les possibilités offertes par l’univers des Pokémon n’ont que pour seule limite l’imagination. La composition est aussi plate qu’un Limonde, mais la direction artistique rattrape un peu cet aspect : le monde dépeint est coloré, chatoyant et très vivant, en plus d’être crédible alors que la tâche n’était pas aisée tant les monstres japonais peuvent vite dénoter dans un environnement réaliste.

    Car c’est bien là que réside la plus grande réussite du film : proposer un univers crédible et respectueux du matériau d’origine. Le film est bourré d’easter eggs qui flatteront le fan, mais que le profane ne saisira malheureusement pas. Par contre, ça ne l’empêchera pas de saisir tous les codes qui régissent cet univers et de comprendre son intrigue et ses enjeux dans son intégralité. Ces codes propres au monde des Pokémon sont respectés avec une minutie qui force le respect : les combats à base de capacités, les spécifités de certains Pokémon, l’intégration des régions « historiques » comme Kanto… D’ailleurs, ce respect est poussé jusqu’à justifier l’utilisation d’éléments uniques de l’univers en l’intégrant dans le lore « officiel » de manière tout à fait naturelle. Le contrat est donc rempli, impossible de reprocher à Détective Pikachu de ne pas respecter l’œuvre de base et son public qui a grandi avec la licence. Les Pokémon font partie de l’univers présenté de manière très naturelle, et bénéficient d’un grand soin dans le travail d’animation de ces monstres en CGI. Ils débordent de mignonnerie et même si, sur le papier, donner corps à ces créatures dans un environnement photo réaliste semble casse-gueule, force est de constater que le pari est réussi.

    En choisissant d’adapter un jeu plutôt mineur dans la très dense série des Pokémon (Détective Pikachu n’est qu’un spin-off) au lieu de transposer les aventures des jeux « principaux », le film fait un choix très malin. Car si les épisodes canoniques jouissent d’un statut confinant au culte pour les fans (surtout les premiers épisodes : Bleu/Rouge/Jaune), on ne peut pas dire que les enjeux scénaristiques soient leur plus grande force. Du coup, en choisissant d’adapter un épisode spin-off un peu plus centré sur cet aspect narratif, le métrage permet d’aborder plusieurs sujets qui, de prime abord, ne semblent pas trop coller à l’univers mignon et naïf des Pokémon. Car si le film est avant tout destiné au public de la franchise, les enfants, il se permet d’aborder avec délicatesse des sujets plus sérieux comme le deuil ou la perte de contrôle de son corps à cause d’une maladie dégénérative. Alors certes, il ne fait qu’en gratter la surface, mais il ne faut pas oublier que Détective Pikachu est en premier lieu destiné à un jeune public, ce qui pourra ennuyer un peu le spectateur plus mature : les codes du film pour enfants sont omniprésents et le film ne se retiendra pas de souligner des -nombreux mais prévisibles- twists et enjeux à plusieurs reprises, afin que les bambins comprennent bien ce qui se passe à l‘écran. Cela donne lieu à des scènes d’exposition qui s’étirent un poil pour l’adulte. De la même façon, il est conseillé de ne pas rechercher de cohérence stricte dans l’utilisation d’éléments de la diégèse du film.

    Le choix de Ryan Reynolds pour incarner Pikachu n’est pas anodin : surfer sur la vague Deadpool en reproduisant ce qui a fait son succès : un humour teinté d’ironie, de références meta et de rupture du 4è mur. Sauf que cette fois, film pour enfants oblige, toute lourdeur ou vulgarité n’a plus lieu d’être et Reynolds incarne Pikachu de manière très naturelle. Le personnage porte le film sur ses épaules et on ressentira presque l’influence de Reynolds sur le script tant les vannes balancées par la souris jaune fusent et font mouche quasiment à chaque fois. Justice Smith s’en sort tout aussi bien en protagoniste naïf et qui sert d’ancre au spectateur. Par contre, le reste du casting cabotine à mort (encore une fois, n’oublions pas que le public ciblé est jeune) ce qui pourra fatiguer rapidement un adulte n’ayant pas l’habitude des longs métrages pour jeune public. Le film n’évite pas non plus l’utilisations de clichés vus et revus, comme par exemple la stagiaire inconsidérée qui donnera le meilleur d’elle-même pour atteindre son but ou encore le flic peu compréhensif qui ne prendra pas au sérieux les avertissements des personnages principaux.

    En définitive, Pokémon : Détective Pikachu respecte de fort belle manière ses engagements : proposer un pur divertissement brossant le fan nostalgique dans le sens du poil, tout en rendant son aventure accessible au plus jeunes, car c’est bien à eux qu’est destiné le film. Le spectateur plus averti regrettera, à juste titre, un manque d’ambitions cinématographiques, mais Pokémon : Détective Pikachu se place aisément en haut du panier des adaptations de jeux vidéo, tant il fait preuve de respect pour son matériau original, fait assez rare pour le souligner. Voir Pikachu et ses compères évoluer avec un si grand soin dans l’intégration et l’animation ne peut que faire s’imprimer un sentiment de satisfaction nostalgique pur au vieux jeune qui se rappelle encore discuter de « comment ce serait trop génial les Pokémon en vrai » entre deux échanges de cartes à collectionner, dans la cour de récré.
    Dernière modification par Stratosfear ; 18/05/2019 à 01h09.

  21. #9681
    Citation Envoyé par Maximelene Voir le message
    4 messages plus haut, 5 heures plus tôt.

  22. #9682

  23. #9683
    En ce moment, je me refais les séries Star Trek et du coup, je refais aussi les films surtout que mes souvenirs à partir du III sont très flous ( je me demande même si je les aient vu en entier). A noter que les versions que j'ai vu sont toute celle qui ont été remasterisé en HD.

    Star Trek : The Motion Picture de Robert Wise.

    Je suis toujours mitigé concernant ce film. Il contient de très beau moment, que ce soit visuellement ou au niveau de ce que le film raconte et je trouve toujours que la fin est vraiment excellente mais il y a aussi de très gros moment de flottement. Ca parle beaucoup et il manque le côté aventure de la série.

    Star Trek II : The Wrath of Khan de Nicholas Meyer.

    Souvent considéré comme le meilleur film Star Trek, je dois dire que j'ai moi aussi été charmé par cet opus mais après un re-visionnage, il faut que je me rende à l'évidence. Le film tient surtout grâce à son méchant et au drame de
    Spoiler Alert!
    la mort de Spock
    . Le reste donne surtout l'impression de voir un épisode deluxe de la série originale. Ca reste un très bon film, plus accessible que le premier et une très bonne porte d'entrée dans l'univers Star Trek.

    Star Trek III : The Search for Spock de Leonard Nimoy.

    C'est un bon film mais il est relativement oubliable ( la preuve, je l'ai vu hier et j'ai déjà du mal à m'en souvenir ) hormis la scène de retrouvaille qui est plutôt bien foutu et émouvante. J'ai souvent eu l'impression d'être devant un épisode de la série originale en plus long et qui était juste là pour réparer les événements du précédent film pour pouvoir préparer la suite des films rapidement.

    Reste que c'est un film plutôt bien réalisé, Leonard Nimoy a du talent.

    Star Trek IV : The Voyage Home de Leonard Nimoy.

    Mon préféré pour le moment.

    Déjà parce qu'il est vraiment écrit, son histoire sur fond d'écologie rentre encore plus en résonance avec notre époque. J'ai surtout beaucoup aimé les dialogues qui sont vraiment bien foutu, il y a beaucoup de blague très bien senti.

    Ensuite, c'est le premier film de la saga qui ne me donne pas l'impression d'être juste un épisode deluxe. J'ai beaucoup apprécier le fait que ce résolument tourné vers l'humour, sans que les enjeux soient diminués ou que ça tourne en comédie pure.

    Là je regarde Star Trek V : The Final Frontier. J'ai entendu que des mauvais retours dessus, j'ai peur.
    Citation Envoyé par nAKAZZ Voir le message
    J'en arriverais peut-être à sortir des trucs du genre : "J'ai été vilain" ou "Punis-moi".

  24. #9684
    Citation Envoyé par Naiaphykit Voir le message
    Dites, j'ai pas vu passer l'info mais voici ce que ces deux gamins de plus de 60 balais ont fait au festival de cannes :

    https://twitter.com/cinemacanalplus/...23836011646978

    Ils sont tellement forts Chabat et Darmon <o/
    Citation Envoyé par LeLiquid Voir le message
    Pas mal

    Il a quoi Farugia ?
    Citation Envoyé par Pierce Inverarity Voir le message
    Sclérose en plaque ... (il l'avait annoncé déjà à l'époque de Comédie, je crois)
    Du coup le vrai happening ç'aurait été Farugia qui danse la Carioca. :désolé:


    Sinon scoop sur la croisette, l'acteur Kevin Spacey ayant des démêlés avec la justice américaine se serait réfugié à Canne, il porterait une perruque et se ferait appeler Antonio Banderas.

    Citation Envoyé par Maximelene Voir le message
    Après que son nom ait été mentionné ici, et vu que j'en avais vaguement entendu parler, en bien, j'ai regardé Mademoiselle, disponible en VOD sur le site de Arté.

    A part le fait que le film avait des retours excellents, et la lecture d'un pitch de 2 phrases sur internet, je ne savais rien du film. Et c'est plutôt heureux, parce que la découverte a été plus que plaisante. Je m'attendais à tout sauf à un film de ce "genre" (et je ne parle pas (que) de l'érotisme), et j'ai réellement adoré. Un gros coup de cœur.

    Merci à ceux qui ont partagé le lien, du coup.
    De rien.
    Hutchinson

  25. #9685
    Citation Envoyé par SuicideSnake Voir le message
    En ce moment, je me refais les séries Star Trek et du coup, je refais aussi les films surtout que mes souvenirs à partir du III sont très flous...

    Là je regarde Star Trek V : The Final Frontier. J'ai entendu que des mauvais retours dessus, j'ai peur.
    Il n' y a pas de Star trek V. La série passe directement au VI. Qui d'ailleurs est fort regardable, hormis un Willy un peu trop vieux (et un peu trop gros) pour ces "conneries".
    Ceci devrait être une signature conforme nette lisse et propre comme un cul de bébé. Elle fait trois lignes en hauteur et j'ose l’espérer moins de 100 par 40... ou alors 200? Meeeeerde Je sais plus......!!!!!!

  26. #9686
    Plop, coucou les canrards. Je ne sais pas trop si le topic est approprié, je m'excuse si ce n'est pas le cas, mais je suis à la recherche d'un film que j'ai vu au cinéma avec mon école quand j'était tout petit et pas moyen de remettre la main dessus. Ce film me hante et j'aimerais beaucoup le retrouver. Pavé incoming avec tous les éléments dont je pense me souvenir.


    Film perdu (et perché) - L’Enquête impossible

    Je cherche désespérément depuis des années un film pour enfant fantastique des années 80 ou 70, probablement Russe ou Tchèque (comme Perinbaba ou Trois Noisettes pour Cendrillon), mais qui pourrait aussi bien venir d’Europe du Nord (Norvège, Suède) que du Royaume Uni (cheveux blonds des personnages).

    De ce que je m'en rappelle, deux enfants (un garçon et sa sœur) cherchent à fabriquer une potion qui rend les gens meilleurs, car ils ont sauvé des chatons de la noyade et leur oncle veut les tuer. Ils vivent dans une sorte de grand manoir lugubre. La scène du sauvetage des chatons se passe aux abords d’une rivière, dans laquelle quelqu’un les a jeté dans un sac (possiblement l’oncle). Le garçon se jette à l’eau pour les sauver, de justesse. C’était d’autant plus risqué que le film a pour cadre l’hiver et que par conséquent l’eau était très froide. Peut-être qu’il s’agit d’un conte de Noël.

    Cependant, leur oncle, un noble qui les héberge dans son château, ne veut rien savoir des chatons et compte s’en débarrasser rapidement. Je ne me rappelle plus comment, mais les enfants découvrent un moyen de se rendre dans un monde imaginaire à travers un tableau du château, où ils pourront réunir les ingrédients d’une potion qui leur permettra de faire changer leur oncle d’avis (encore que la fonction réelle de la potion m’échappe comme je l’évoque plus loin).

    Je ne suis plus sûr que cela appartienne au même film, mais à un moment la fille est dehors, près d’un grand bâtiment où elle travaille (un orphelinat où elle vit ?), et une femme la rabroue ou bien la prévient que les chatons ne pourront pas être gardés.

    Après une messe dans une église, ils s’esquivent sans attirer l’attention des adultes et partent donc dans un univers parallèle, en passant par le fameux tableau. Ils y ont plein d'aventures, dont une bataille contre une pieuvre géante dont on ne voit rien. A un moment une enfant princesse veut obtenir une bague magique du garçon (ou un baiser de sa part en échange de quelque chose, je ne suis plus sûr) et comme il refuse, elle et sa cour d'enfants aristocrates – qui portent chacun une perruque poudrée et des vêtements à la mode du 17e siècle – se font transformer en souris blanches. Après le combat contre la pieuvre géante, la fille reproche à son frère d’avoir perdu l’épée magique qui lui avait été confiée ; elle lui assène tu perds tout. Je ne me rappelle plus qui leur a confié ces précieux objets magiques – la bague et l’épée –, ni combien ils en possèdent en tout.

    Noter que le combat contre la pieuvre recèle dans mon souvenir une double astuce : déjà on ne voit rien du combat proprement dit, ce qui permet l’économie de trucages visuels coûteux ; de plus la scène montrant la pieuvre géante morte échouée sur la plage est un tableau peint, incrusté à l’écran, qui rappelle que l’histoire se déroule en grande partie dans un tableau (celui dans lequel les enfants sont entrés). Il est à noter que la scène de transformation de la princesse et de sa cour en souris blanches procède du même souci d’économie des trucages, puisqu’on ne voit que des vêtements au sol, d’où sortent des souris. A aucun moment on n’assiste à la transformation à proprement parler. Ces astuces visuelles ont sûrement pour autre fonction de rendre le film moins terrifiant, vu qu’il est destiné à un jeune public.

    Après bien des péripéties, les deux enfants finissent par revenir dans notre monde, par la voie des airs (à dos de pégase ou sur une montgolfière, je crois). Mais une fois en vue du château du départ, ils font tomber par accident la potion sur leur oncle tyrannique qui par coïncidence passe en contrebas. Cela a pour effet de le transfigurer : ses vêtements et son cheval, initialement noirs, deviennent blancs et il devient un homme bon. Le fait que la potion ait touché l’oncle de façon involontaire m’amène à penser qu’un autre usage et donc un autre effet étaient initialement prévus à son propos dans l’histoire. Le film se termine quand ils se posent au sol et que leur oncle leur parle.

    Ce film me hante, car je sens bien qu'il est complètement barré et doté d’une histoire intéressante ; or pas moyen de remettre la main dessus depuis des années, malgré de nombreux efforts de recherche. Je me souviens l’avoir vu au cinéma avec ma classe entre 1984 et 1988 ; à la même période et toujours au cinéma avec ma classe, j’en ai vu au moins deux autres produit en Europe de l’Est, notamment Trois Noisettes pour Cendrillon (1973). Le second racontait l’histoire d’une jeune orpheline accompagnée d’un berger allemand et d’un lynx (à un moment le lynx gratte un peu à l’endroit où est enterré le chien et la fille lui demande de le laisser tranquille ; dans un autre passage on lui rase la tête à cause d’une épidémie de poux). Ce second film s’approche de Kounak le Lynx fidèle (Friends for Life, 1971) mais ce n’est pourtant pas lui.

    Pour ce qui est du film que je recherche, il s’agit soit d’un film de fantasy, soit d’un conte de fée, car le merveilleux et la magie semblent omniprésents une fois que les deux personnages principaux sont entrés dans le monde parallèle (dont l’accès réside dans un tableau accroché au mur) où se déroule la majorité de l’intrigue. De plus l’histoire semble être une métaphore du passage de l’enfance à l’âge adulte, une sorte de récit initiatique. Les deux acteurs principaux sont des enfants qui ne dépassent pas la dizaine ou la douzaine d’années, blancs aux cheveux blonds dans mes souvenirs. Je les crois frères et sœurs ou au moins cousins. Je suis quasiment sûr que le châtelain leur est apparenté, mais il pourrait tout aussi bien être le directeur d’un orphelinat où les enfants seraient hébergés. Le monde de départ semble se situer quelque part en Europe, entre le 18e et le 19e siècle, possiblement au début du 20e siècle ; en tout cas le monde contemporain et sa technologie sont exclus du film (pas de voiture automotrice). J’ignore si les enfants sont orphelins ou bien si leurs parents ne peuvent pas s’occuper d’eux. Tout le film est centré sur le point de vue des deux enfants : ce sont eux les héros ; une fois qu’ils sont dans le monde parallèle, tout se passe au niveau de leur point de vue. Les autres protagonistes doivent être à l’image de la princesse et de sa cour, à savoir un monde magique peuplé majoritairement par des enfants.

    Je me souviens encore que la qualité de l’image semblait excellente, en couleur, et que malgré l’économie sur les effets spéciaux évidente (voir les scènes du combat de la pieuvre géante et la transformation des nobles en souris blanches), le film semblait disposer d’un solide budget (nombreux acteurs et décors, qualité du jeu d’acteurs). La difficulté insurmontable rencontrée pour retrouver ce film paraît d’autant plus ahurissante que ce dernier paraît être de très bonne facture. Il faut reconnaître que les oublis des noms des différents personnages et de l’intrigue du film n’aident pas vraiment à retrouver son titre. Par exemple, il n’est pas dit que sauver les chatons soit le but final des deux enfants, mais juste une raison supplémentaire de partir à l’aventure. En outre, la vision que j’ai du film remonte à plus de 35 ans ! Il existe de nombreuses zones d’ombre, comme par exemple qui leur apprend l’existence de ce monde parallèle et comment le rejoindre, le nombre des épreuves qu’ils traversent, qui les aide, qui cherche à les arrêter, etc.

    L’unique référence trouvée sur le web est à ce jour la demande d’une personne cherchant un film proche du mien sur un forum spécialisé dans les dessins animés et films pour enfants. Malheureusement, elle ne trouva pas réponse à sa question malgré l’aide des forumeurs du site, le manque de précisions de sa demande n’aidant pas. Le lien de la recherche de film en question, dont le titre de topic est approprié : http://www.planete-jeunesse.com/foru...pic.php?t=4499
    (titré L’Enquête impossible, qui donne son sous-titre à ce document). Voici les éléments résumant le film pour cette personne :
    - c est passé tout début 90's ou deuxième moitié 80's
    - c est un film/téléfilm de fantasy avec de la magie
    - le héros si je me souviens bien est un enfant
    - à un moment ou un autre, une princesse (ou une sorcière?) est transformée en souris blanche (je crois à la suite d'un baiser mais pas sûr)
    - il y a une histoire autour d'une bague (pas sûr)
    - à un moment le garçon la jette dans l’eau d'un lac.


    Voilà. J'espère que la communauté des canards m'aidera à retrouver ce film oublié.

  27. #9687
    Merci de vos réponses concernant Détective Pikachu, je suis du coup allé le voir et je suis du même avis que les autres canard, un bon film pour enfant qui ne casse pas trois pattes à un canarticho mais surtout une retranscription génial de l'univers en film !
    Si pokémon doit exister dans la vrai vie ça serait comme ça

    Ma grosse déception c'est de ne pas en voir plus en fait x) !
    Aarghlb lub blohrub je pourtant clair, ne pas ?
    CA : SW-7075-4159-1225 - Steam : mickakun - https://twitter.com/mickakun

  28. #9688
    Vous êtes sérieux avec votre Pikachu là ? CPC a été racheté par jv.com ?

  29. #9689
    Citation Envoyé par gnak Voir le message
    Vous êtes sérieux avec votre Pikachu là ? CPC a été racheté par jv.com ?
    Si t'aime pokémon, que tu joue à tout les jeux, tu prendras plaisir à voir tes pokémon prendre vie. C'est juste ça
    Aarghlb lub blohrub je pourtant clair, ne pas ?
    CA : SW-7075-4159-1225 - Steam : mickakun - https://twitter.com/mickakun

  30. #9690
    Citation Envoyé par gnak Voir le message
    Vous êtes sérieux avec votre Pikachu là ? CPC a été racheté par jv.com ?
    Ouai, ça manque d'aigritude, de pisse, de vinaigre, d'agressivité et d'arrogance pour du CPC
    Citation Envoyé par ackboo
    La torpille de World of Warships est l'arme la plus jouissive depuis le railgun de Quake 3.

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