TRoS grop, passera pas
Dernière modification par Cassin ; 19/10/2019 à 12h46.
Un écrivain qui se livre, c'est un peu comme un canard qui se confie.
Ces polémiques sur l'abbréviation de The Rise of the Skywalker sont insupportables ! Je me barre du topic !
Envoyé par Julizn
On peut pas simplement dire SW9?
Ces acteurs ne sont pas des joueurs.
Le dernier trailer avant la sortie du film sera diffusé lundi soir aux États-Unis :
Donc 2 trailers, je comptes pas le trailer D23 parce que bon... Une ba d'un nouveau film composé au 2/3 d'extrait d'anciens films.
Il est loin le temps où on avait droit aux teaser, puis au teaser-trailer et enfin au theatrical trailer...La seule raison d'aller sur un site d'Apple et d'utiliser une de leur cochonnerie. (QuickTime)
Ces acteurs ne sont pas des joueurs.
Tiens une révélation en me réveillant, je viens de me rendre compte d'une des raisons pour laquelle la prélogie m'insupporte même après toute ses années : son manque cruel d'imagination.
Ce qui m'avait vraiment marqué étant gamin dans la trilogie originelle, était ce que reprséentaient les Jedis : des être qui avaient la capacité de transcender l'aspect purement physique des choses et puiser dans cette énergie invisible et omniprésente. Les combats entre Jedi, au sabre laser, étaient avant tout des épreuves mentales. Obi-Wan/Dark Vador, Luke/Dark Vador, Dark Vador/Luke dans tous ces combats ce n'est pas la chorégraphie ou la technique au sabre laser qui compte, c'est ce qui se passe derrière. Obi-Wan se sacrifier pour gagner du temps et communier avec la Force, Dark Vador joue avec Luke pour l'évaluer et voir s'il va l’enrôler dans ses plans, Luke ne se bat que pour gagner du temps et chercher le déclencheur de la rédemption de son père.
Le mental est tout, le physique n'est qu'une extension de celui-ci (être de lumière pas matière brute, etc).
Dans la prélogie tout cela est oublié. Le pinacle du pouvoir d'un Jedi c'est son sabre laser, les pouvoirs mentaux sont des gadgets qui cèdent vite la place au sabre quand ils montrent leur limites. Le deuxième épisode est vraiment celui où Star Wars saute le requin comme dirait les anglo-saxons, avec une arène entière pleine de sabre lasers et Yoda qui sort son mini sabre laser. Je me souviens parfaitement de ce moment quand j'étais aller voir le film à sa sortie : une excitation juvénile assortie d'un "non c'est pas possible". Dans le 3 l'empereur est symbolique de cette régression infantile puisqu'il clame un pouvoir illimité mais confronte les Jedis sabre à la main. On dirait que les scénarios de la prélogie écris par un gamin de 7 ans, incapable de comprendre la dimension spirituelle de la Force et adepte de la surenchère physique.
Accessoirement, voilà pourquoi l'épisode VIII est un vrai Star Wars qui a compris son héritage originel : la Force y est employée de manière spirituelle avant tout. Les combats au sabre laser sont soit contre des non Jedis, soit une illusion. Ils sont un moyen et non un but. On voit enfin des pouvoirs de la Force nouveaux, qui ne sont pas des simples extensions de la force brute du sabre laser (ce n'est pas dans les films, mais "oh il arrive à faire s'écraser un super-destroyer impérial rien qu'avec la Force" est mon plus grand facepalm jamais) mais bien une utilisation mentale de l'énergie qui lie toute les choses entre elles.
Dans un jeu vidéo où tout doit être quantifié et mesurable, restreindre la Force a un side-kick du sabre laser est compréhensible, dans un film c'est une aberration.
Dernière modification par Grosnours ; 20/10/2019 à 11h31.
Amen.
Yep, raison pour laquelle j'adore la force dans les nouveaux SW
J'avais adoré la force dans SW7 mais l'exemple que j'aime énormément c'est dans Rogue One quand l'aveugle qui s'est ouvert à la force par auto discipline arrive à passer au milieu des tir blaster en faisant usage de la force : J'ai adoré parce que concrètement, il avance tout doucement en ligne droite et absolument aucun tir n'est dévié. Aucun. C'est juste qu'a ce moment précis où il est en harmonie avec la force, aucun ne parviens jusqu'à lui. C'est la nuance qui est importante pour moi. C'est vraiment un tout et ça me confortait vraiment sur l'usage de la force (Et SW8 qui enfonce le clou et réexpliquant de manière explicite c'est qu'est la force , j'ai jamais été autant réconforté par un SW)
Aarghlb lub blohrub je pourtant clair, ne pas ?
CA : SW-7075-4159-1225 - Steam : mickakun - https://twitter.com/mickakun
Apparemment ils sont encore entrain de tourner
(coté Star Trek les rumeurs sorties par cette chaîne se sont souvent avérées par la suite donc a priori il est crédible dans ce qu'il raconte)
Certainement des reshoots, le tournage est terminé depuis un bon moment maintenant.
Un écrivain qui se livre, c'est un peu comme un canard qui se confie.
Ils ont fait la même sur Rogue One et Solo, ils sont rodés maintenant ^^
Un écrivain qui se livre, c'est un peu comme un canard qui se confie.
Ils présentent le film à un public test et agissent en fonction des retour.
c'est pas nouveau, ils ont changé la fin du 1er rambo suite à une projection test.
À la fin du roman, Rambo est abattu par le colonel Trautman. Cette fin avait été adaptée telle quelle mais les spectateurs de la projection-test l'avaient trouvée trop sombre. Les scénaristes ont finalement opté pour une fin plus heureuse : Trautman convainc Rambo de se rendre, ce que celui-ci finit par faire. Certaines images de cette fin alternative seront ironiquement utilisées par Stallone pour une scène de cauchemar de John Rambo dans le quatrième vole
Tain ces projections tests qui sont devenues la norme ça en dit long sur l'état créatif d'hollywood
Some days, some nights, some live, some die in the way of the samurai
Some fight, some bleed, sun up to sun down, the sons of a battlecry
Le livre est beaucoup plus violent que le premier film, Rambo y bute un paquet de personnes (flics, gardes nationaux et même des civils) avant de se faire tuer, c'est Stallone qui a fait pression sur les producteurs pour rendre le personnage plus sympathique (la seule mort du film est par accident et en légitime défense) et le faire survivre à la fin. Ce qui à mon humble avis rend la critique contre le système américain (surtout ses shériffs locaux faisant la loi et les forces de l'ordre escaladant la situation comme s'ils partaient chasser Godzilla) beaucoup plus efficace.
Mais pour eviter les fuites c'est quoi le critère pour choisir le public ? Etre sourd aveugle et muet ?
Ces acteurs ne sont pas des joueurs.
Un gros chèque et un NDA avec grosses menaces si rompu
Un écrivain qui se livre, c'est un peu comme un canard qui se confie.