Nous attendons que Trump fracasse le GOP après l'échec de la réforme de l'Obamacare.
"Parmi ces inspecteurs, se cache un thé glacé. Seras-tu capable de le retrouver ?"
"Putain Herman, ferme ta gueule et balance la trumpeterie du jour"
Trump va affronter la droite républicaine.
Qu'avons-nous comme éléments de golerie et de déstabilisation de la présidence :
Évidence N°1: Les communicants de la Maison-Blanche tentent de garder le contrôle du
compte Twitter présidentiel.
Alors que ce compte aurait dû être clôturé une fois PEPE devenu président.
Évidence N°2: Donald Trump menace les Républicains ultraconservateurs car ceux-ci ne lui sont pas acquis.
Évidence N°3 : Michael Flynn, son ex-conseiller en sécurité, intrigue en demandant l'immunité au FBI.
("Serveur, y'a du russe dans mon potage")
Une semaine à peine de l'après l’abandon du projet de loi sur l’assurance-santé, Easy D (alias raging bull)
tend la main aux démocrates.
Une stratégie risquée et étrange pour un président en mal d'appuis.
La guerre est déclarée dans le camp républicain et le Donald a tiré la première cartouche.
Furieux après l’échec de la réforme de la santé, retirée la semaine dernière faute de majorité dans les rangs républicains, le président s’en est pris jeudi à certains membres de son propre parti.
Encore une fois sur Twitter, il a ainsi promis de "combattre" les ultraconservateurs du Freedom Caucus, à l’origine du fiasco politique sur la santé, si ces derniers ne rentraient pas dans le rang.
(Ich been Fureur und Tristesse)
"Le Freedom Caucus va faire du mal à tout le programme républicain s’il ne rejoint pas l’équipe, et rapidement. Nous devons le combattre, et les démocrates, en 2018 !" a pianoté de ces petits doigts, le président.
Par cette pique matinale, Donald Trump laisse entendre qu’il pourrait soutenir des candidats plus dociles lors des primaires organisées avant les législatives de mi-mandat de l’an prochain.
Ces menaces illustrent la frustration grandissante de Donald Trump, dont l’abrogation d’Obamacare devait être le premier succès législatif.
Elles témoignent aussi des divisions persistantes au sein du Grand Old Party (GOP), qui contrôle désormais les deux chambres du Congrès et la Maison-Blanche mais reste traversé par des courants idéologiques tellement divergents qu’ils empêchent, pour l'instant, la recherche d’une unité de vision.
Les divisions sont persistantes.
Le ton menaçant du Potus n’a visiblement guère impressionné les intéressés.
: "La plupart des gens n’aiment pas être intimidés", a répliqué Justin Amash, l’un des membres du Freedom Caucus originaire du Michigan.
Prié de dire s’il trouvait les propos de Trump constructifs, il a répondu : "C’est constructif à l’école primaire. Ça peut aider un enfant à trouver sa voie, mais ce n’est pas comme cela que notre gouvernement fonctionne."
Provocateur, Justin Amash a en outre ironisé sur la promesse de campagne de Donald Trump de secouer Washington, reprochant au président d’en être vite devenu la créature
: "Pas de honte, M. le Président, presque tout le monde succombe à l’establishment de Washington", a-t-il écrit sur Twitter.
Cette administration est mort née (JELB.)... à quand la déclaration de décès ?
Un petit Born Death de Body Count en hommage à ICE-T (bof pour cette administration),
un inspecteur très "spécial de New-york"
Quel gâchis de pouvoir ! Rock&Roll Baby !