Une entreprise française à Toulouse ne jure que par cela, avec des photos de gens en kimono qui récupèrent leurs certifications sur des tatamis.
Je pensais que les pratiquants d'arts martiaux deviendraient mabouls en voyant ça, mais je crois qu'il y a un judoka ou un karatéka célèbre derrière le délire "art martial".
L'argent achète tout ...